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Antoine Gitton

Antoine Gitton

Avocat au Barreau de Paris, chargé de cours de droit d’auteur pour le master II Nouvelles Technologies de Paris X. Président de l’association Mens Publica auteur de l’ouvrage "Liberté du public et police des oeuvres"

Tableau de bord

  • Premier article le 20/03/2006
  • Modérateur depuis le 25/08/2006
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Derniers commentaires



  • Antoine Gitton Antoine Gitton 4 septembre 2008 13:29

     Merci pour votre commentaire. Il s’agirait alors d’une diffamation privée et non publique R.621-1 du code pénal punie par une contravention de première classe. Mais il est probable que le juge retiendrait la bonne foi de l’HADOPI et relaxerait des fins de poursuite.
    Le contentieux administratif (en l’état du projet de texte) me semble la meilleure voie. 



  • Antoine Gitton Antoine Gitton 4 septembre 2008 10:52

     Agoravox a raccourci le titre qui est, j’y tiens : "HADOPI / DADVSI 2, la riposte gratinée - la géniale justification d’une prise en otage de l’abonné à un FAI : "Si ce n’est toi, c’est donc ton fils" 

    AG



  • Antoine Gitton Antoine Gitton 28 août 2006 12:32

    Cher Demian,

    « qui n’est pas tout » , comme vous le montrez. Il faut que le public réalise - et veuille ? - que l’on ne consomme pas plus l’art que l’alphabet, bien que l’on doive nourrir et promouvoir les constructeurs des lettres que sont les créations artistiques, musicales ...



  • Antoine Gitton Antoine Gitton 28 août 2006 11:48

    « Le cas de M est exemplaire des bonnes pratiques. Il s’est fait un nom alors même qu’il aurait pu rester dans l’ombre de son père, mais il ne s’est pas reposé sur les majors, il s’est fait connaitre et apprecié par le publique, via les concerts (ce qui est d’ailleur ce qu’il préfère) un artiste, un vrai, c’est cela ! Les majors ensuite, ne font que participer à l’emballage... Si elles interviennent sur le contenu, c’est de la censure et du formatage déguisé. »

    Je souscris largement à ça. L’auteur et interprète crée et imagine son oeuvre vers son public. C’est le premier seigneur. Sans doute le public a t-il - et pour cause - trop été considéré comme un consommateur. C’est le premier terme à réfuter. Ensuite, si l’on considère la question de l’art musical, c’est le spectacle vivant qu’il faut ramener en premier.



  • Antoine Gitton Antoine Gitton 28 août 2006 11:11

    « Cela n’a pas l’air d’émouvoir le juriste auteur du présent article qui semble chercher des justificatifs historiques là où il n’y a qu’une vaste volonté malsaine de répondre aux verrouillages de puissants lobbies »

    Rappeler les origines vichystes et corporatiste de la loi de 1957 au détriment des titulaires de droits originaires et légitimes, les auteurs, c’est prendre clairement position. Je m’étonne de votre interpellation. La dialectique de combat qui a surgi avec le débat sur la loi DADVSI a figé les positions de chacun et a conduit à un enlisement, sans doute parce que le camp du public n’a pas su expliquer pourquoi il était le même que celui des créateurs, habilement récupérés par les producteurs - et les éditeurs - C’est la légitimité de votre revendication que je tente de donner. Vous en faites bien ensuite ce que vous en voulez, enfin non, j’espère qu’il en ressortira une situation légale et contractuelle rééquilibrée comme il se doit avec en premier, le créateur, pour le public. C’est ce que j’ai topujours dit et écrit. Je regrette ce pauvre manichéisme qui n’est pas la moindre des raisons de la force du discours patrimonial et marchand et qui tend à accréditer le reproche de démagogie que l’on oppose au « camp du public ». Ce débat mérite mieux. Mais c’est vrai qu’il oblige à pposer des questions essentielles et anciennes de civilisation. Il faut les faire remonter pour asseoir votre revendication.

    Antoine Gitton


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