La photo que Nicolas Cadène a choisi pour illustrer son article est un bon symbole de ce qu’il signifiait.
Le Pen fut un épouvantail que l’Union de la gauche de Mitterrand avait mis là où il était jusqu’à hier soir pour diviser la France par la politique de la peur.
Cette politique de la peur, qui s’est déchaîné au cours de cette campagne contre Nicolas Sarkozy, comme l’a souvent rappelé hier soir Simone Veil, a subit une défaite sans appel. C’est probablement également la défaite définitive du PS de l’Union de la Gauche.
Encore une démonstration d’une administration tatillonne, qui ne cherche qu’à restreindre le plus possible les libertés.
On en profitera pour noter le ridicule de cette règlementation qui a obligé les médias a donner le même temps de parole à Sarkozy et à Shivardi alors qu’absolument personne n’a voté pour ce candidat pathétique qui fait honte à notre système « démocratique ».