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Asaln

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Tableau de bord

  • Premier article le 24/12/2011
  • Modérateur depuis le 13/01/2014
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Derniers commentaires



  • Asaln 2 novembre 2017 10:26

    D’accord avec le camarade fouteur de pied dans le plat : il faut qaund même une certaine dose de naïveté pour penser qu’un état va se laisser destructurer sans rien faire.
    Soit il accepte un phénomène majoritaire établi depuis longtemps et « prouvé » par les urnes (et oui c’est comme en « démocratie représentative » ) et il possède alors aussi le droit de le combattre, soit il dénie un phénomène pas clairement majoritaire, d’autant plus qu’il est « officiellment » illégal , et là c’est du velours pour l’état central.

    On oublie un peu vite aussi la corruption de toutes ces élites (indépendantistes compris) et pour qui joili chiffon rouge peut être utile.

    Certain confondent leur propre volonté révolutionnaire et l’indépendance catalane. Mais du point de vue politique les indépendantiste en place n’ont rien de révolutionnaires, ce sont même des euro péistes convaincus et des libéraux tout aussi ardus : qui a bousillé le système de santé catalan en résuisant la focntion publique de 20% et bien d’autre mesures ultra-libéral, pas le gouvernement central de droite mais bien les socialiste catalan, tout aussi, inféodés au fric et à la mondialisation que les socialistes français. Alors des communistes révolutionnaire purs et durs les défendre... ça fait sourire, ou il leur manque un tout petit peu de formation, en dehors des slogans.

    Après certains veulent peut-être en faire un mouvement révolutionnaire. Et c’est bien leur droit. Mais ils oublient deux trucs importants : comme le rappelle E. Todd ce sont le jeune qui font la révolution, et la Catalogne comme l’Espagne sont des peuples de vieux qui ne font plus d’enfants et bourrent le mou de ceux existants à la téloch et aux réseau sociaux, des consommateurs quoi. Ensuite il faut pour faire une révolution une forte minorité agissante, c’est à dire prête crever sur des barricades, pas à s’indigner sur Twitter ou Fesses de Bouc ! Enfin il faut une « majorité silencieuse » tellemment opprimée ou ayant ce sentiment qu’elle laissera faire. l Catalogne n’est pas dans ce cas : les gens aux commandes profitent très bien du tourisme, de la construction, de l’Europe et de la corruption omniprésente en bordure méditerranéeenne...IL ne vont pas lâcher la prois pour l’ombre. Ah au passage ce sont aussi eux qui possèdent les média (y compris « indépendantistes »). En plus, des xénophobes aux anars en passant par les communistes révolutionnaires et les les bobos écologistes, il y a vraiment de tout dans l’indépendantisme, et ça ne fait pas un groupe cohérent avec une stratégie de lutte

    Et dernier point, pour mettre le feu aux poudres il faut un ou des hommes (ou femmes) qui son prêts à y laisser leur peau si besoin, des idéaliste pragmatiques qui se saliront les mains s’il le faut. Ce que les tenants de la démocratie représentative appelle des « populistes ».

    Et là je voudrais bien savoir ou ils sont tout ceux-là.

    C’est peut-être pas fini mais c’est pas pour maintenant et en plus je vous fais grâce de l’aspect économique, pas pour la Catalogne ou l’Espagne mais pour l’Europe et même plus, sachant que notre système est sur un baril de poudre avec des effets de levier pire qu’en 2007-2008, des banque qui sont engangées pour 30 à 100 fois leur fonds propres et au delà de la capacité des états.

    Mais ce genre de chose n’est jamais fini si elle est a un fondement. Mais c’est l’affaire des catalans, il leur faudra trouver une autre héros que Puigdemont et un autre chemin que la xénophobie pour certains.En attendant Ite missa est.

    Ceci dit je trouve aussi que la ploutocratie remporte un peu trop de victoires depuis les années 80 et ça me chier aussi.



  • Asaln 23 octobre 2017 12:39

    Déjà rien que le titre ça fait peur.On est sommés d« être catalan... sinon quoi ?

    Je ne suis pas Catalan. Et je n’aime pas l’imposition »nous somme tous« , parlez pour vous : »je suis« mais ce genre de slogan augure d’un diktat assez piteux.

    Ensuite les Catalans ne veulent absolument pas que nous le soyons tous (et je connais très bien la Catalogne), c’est même l’idée de base de l’autonomie et de l’identité culturelle.

    Enfin, du point de vue politique, le mouvement indépendantiste est traversé de très nombreux courants totalement contradictoires, des européistes béats aux anarchistes en passant par des limite poujadistes »qui ne veulent pas payer pour les pauvres du sud de l’Espagne« et qui pensent ainsi faire des économie d’impôts.
    J’ai eu une fois une discussion très serrée avec un chauffeur de taxi qui n’arrêtait pas de cracher sur les »Gitanos« (entendre les Andalous) qui à l’époque construisaient la Catalogne (ils ont été remplacés ensuite par les Sud-Américains). Le discours était tout à fait ce qu’il y a de pire dans le genre »les Bougnouls« etc (regardez le comportement de certains indépendantistes corses de base ou les motifs de nombreux »indépendantistes« d’Italie du nord.

    Pour terminer la seule chose sur laquelle on peut être d’accord c’est la liberté des Catalans à se définir comme peuple et, si peuple il y a, mais ça ça dépend d’eux, à se déterminer quand au régime politique qu’ils désirent et à leur indépendance ou non.

    Enfin ce n’est pas parce qu’un grand nombre de gens décident d’un truc qu’ils ont raison, c’est juste leur choix. Il ne faudrait pas confondre la démocratie représentative ( pas démocratique du tout d’ailleurs) et la vérité. Mais reste qu’on a le droit de choisir, c’est vrai à condition que ce choix soit réel et pas sous la pression.

    Mais non je ne suis pas Catalan, j’ai beaucoup de respect pour mes amis Catalans mais je ne suis pas Catalan, je crois que je le saurais, qui plus est ces slogans stupides et mondialisés sont totalement contre-productifs. Aujourd’hui tout le monde est tout le monde au moindre problème et personne n’agit à son niveau, on se contente de »se sentir« comme les dames patronnesses »pensaient aux pauvres". Pitoyable.



  • Asaln 22 février 2017 18:45

    @Bernard Dugué

    Déjà, je l’ai dit, le concept de démocratie, qui est très loin de se borner à définir un mode électif (revoyez vos classiques et ce depuis les Grecs) ne vous permet en aucun cas de soutenir votre thèse.
    Ensuite la notion de « perdant » : vous conviendrez aisément que c’est une catégorie pour le moins vague (et je suis gentil) mais surtout utilitaire à un système : en l’occurrence le capitalisme libéral, ou l’usage utilitaire de l’histoire (avec la notion de perdant de l’histoire), ce qui ne démontre donc rien du tout, car prendre comme concept de départ un argument issu du système qu’on est sensé analysé s’appelle une tautologie. Si cela peut-être utile en rhétorique, cela ne peut être utilisé dans une démonstration.
    Enfin, dans la même veine, mettre sur un plan d’égalité (même du point de vue du traitement ) Islamiste, Lepeniste, Trumpiste, Mélenchoniste etc. est une erreur colossale, c’est prendre des vessies pour des lanternes ! En aucun cas les causes, les raisons, les histoires, la culture, le vécu, les buts, les moyens, les espérances, les analyses, les croyances, y compris les aliénations ne sont comparables, sauf à les réduire à cet argument de « perdant » qui n’a aucun sens et aucune réalité du point de vue des faits historiques ou géopolitiques, surtout si l’on agrège les catégories que vous mentionnez.

    On ne peut donc être d’accord avec vous. Dans cet article je vous trouve extrêmement léger. C’est plus un cri du cœur qu’un démonstration sérieuse. Que vous ayez le droit de le pousser, certes, mais cela ne suffit pas à en faire un bon texte, désolé. Ça n’est pas parce que tout le monde a le droit de dire (et a un jour dit) des conneries qu’elles deviennent pour autant des vérités.

    Ne défendez pas cet article, vous l’avez raté, ça arrive.



  • Asaln 17 février 2017 14:12

    Dès le départ, avec le pseudo-concept ou la pseudo-catégorie (comme vous voudrez) de « perdant », c’est comment dirai-je ... perdu. Mais on continue avec la restriction du concept de démocratie à la démocratie représentative (ou plutôt simplement élective) comme pratiquée (ou pas ou mal) « chez nous », et paf re-perdu. J’arrête ou ça va être un massacre conceptuel smiley

    C’est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases...



  • Asaln 25 juillet 2016 16:24

    Déjà se proclamer de « gauche » et aller voter à une primaire « y faut’ l’ faire » mais à une primaire de « droite » c’est dire dans quel marasme idéologique se trouvent les « électeurs de gauche » ou ceux qui se réclament de gauche bien que n’ayant plus grand chose à voir avec elle.

    Pour faire simple nous avons des électeur socialistes qui sont en train de réinventer la roue, en l’occurrence l ’ entrisme, vieille lune trotskiste... La formation politique de ce parti laisse vachement à désirer... si elle existe encore ce qui m’étonnerait beaucoup, à moins qu’on considère les techniques marketing comme de la formation politique.

    Ensuite il m’étonnerait beaucoup que l’ingénierie sociale ait oublié cette possibilité, alors même que ça fait belle lurette que les instituts de sondage intègrent les « électeurs stratèges », variable insignifiante d’ailleurs.

    Enfin toutes ces « stratégies » ne servent à rien puisque, à l’arrivée, on aura la politique de l’ Europe. :

    http://ec.europa.eu/europe2020/pdf/nd/csr2013_france_fr.pdf
    http://ec.europa.eu/europe2020/pdf/csr2016/csr2016_france_fr.pdf

    et ainsi de suite.

    Il ne reste que bien peu de choses à l’électeur lampiste : la vitesse et la brutalité d’application de cette mise au pas.

    Et là c’est vrai il n’y a pas l’épaisseur d’une feuille de papier à cigarette entre les uns et les autres de « droite ».
    Tout juste pouvons-nous espérer qu’un « socialiste » soit un peu moins brutal, bien que les coup de menton d’un Valls et le cynisme des Macron, Sapin, Moscovici et autres Vallaud-Belkacem ne soient pas à même de rassurer quiconque.

    En définitive la seule question qui vaille est : « Faut-il encore aller voter ? »

    Et en cas de réponse positive je suggère d’en revenir à la formule simple de ma grand-mère : « Le plus rouge possible, ça aura toujours le temps de rosir ! »

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