Merci à vous de ce commentaire si pertinent sur l’enfer consumériste et la misère symbolique que je côtoie chaque jour du côté d’Aulnay sous Bois, tiens encore un bois où y’a pas de bois. Les fringues de marque sur les fesses des petits blacks pauvres, ça me glace.
Merci pour la référence à Stiegler, je vais chercher. cdlt Astears