@Fifi Brind_acier Ma première réponse a été effacée par une déconnexion impromptue. Je serais plus court : 1)Vous parlez à propos de l’immigration (au moins de masse) de « chaos » 2)Vous dénoncez (certaines) des causes de « chaos » 3)Vous les dénoncez bien parce que vous jugez qu’elles sont à l’origine de choses néfastes. 4)Mais cependant, vous villipendez tout ceux qui sont contre le « chaos » ! . Que l’immigration de peuplement subie par la France et à visée tant de contrôle salarial que de destruction ethnique et culturelle ne soit pas organisée par les pays d’origines des colons mais par nos élites mondialistes apatrides ne rend aucunement la chose plus acceptable.
@La Dame du Lac C’est beaucoup mieux que l’équivalent. « God Save the Queen » est une reprise de cette musique ! . Sinon je sais que vous n’aimez pas la Marseillaise parce qu’elle est le symbole de la Révolution que vous honnisez, et dont on peut constater aujourd’hui qu’elle n’a pas tant amené une libération du peuple qu’un asservissement plus perfide. Même si son centralisme forcené et son nettoyage des enchevêtrements juridiques était dans la ligne des efforts unificateurs de la royauté. . Cependant, musicalement j’apprécie cette musique, et ses paroles me semblent inspirantes. "Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs ! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire !
@Abou Antoun En Suisse c’est un unilinguisme local. Chaque région a sa langue. Le bilinguisme, c’est deux langues parlés par une même personne, et si toute une population fait cela, ce n’est pas stable. Bruxelles est un exemple typique, l’évolution « unilingue flamand/bruxellois » => « bilingue avec le français » => « unilingue français » a fait basculer lingustiquement la ville en moins d’un siècle. On peut avoir un « territoire billingue » où l’on voit de manière stable des populations unilingues avec à la marge un nombre conséquent de bilingues. Mais si le bilinguisme est étendu à l’essentiel de la population alors l’une des deux langues finira, plus ou moins vite, par réduire l’autre au rang de folklore.
La stabilité linguistique dépend aussi, à l’ère moderne, de l’appui que peut avoir une langue. En Suisse, le français a le poids de toute la France située à côtée ; l’italien celui de toute l’Italie. Le romanche, sans soutien aucun, est petit à petit effacé, grignoté par l’allemand, ses isolats se réduisant de manière naturelle. C’est pour cela que l’anglais n’est pas menacé au Québec, il a le poids de tout le Canada anglophone sans parler des Etats-Unis. Puisque ils sont dans une culture ressentie forte, ils ne l’abandonneront pas.
Le français est dans une situation bien plus délicate. Son poids déclinant au sein de l’ensemble canadien tend d’ailleurs à aggraver la situation.