Quand la « caste journalistique » déroulait le tapis rouge à l’héritière de la PME Le Pen ça ne dérangeait nullement nos amis frontistes. Mais maintenant que les médias dominants regardent de plus près le programme de l’héritère, voilà que ses aficionados crient au loup et font passer leur championne pour une victime du « système ». Drôle de système qui permet à la soi-disant victime d’être omniprésente dans les
médias dominants : pas une semaine ne passe sans que sa tronche ne défile à la
tv ou que sa voix graveleuse passe à la radio. Au risque de décevoir ses supporteurs, nul doute que la
coqueluche des médias est « le diable utile » au système. Une « pestiférée » ne déjeune assez souvent avec les journalistes de la
presse mainstream.
Yubelblatt, j’ai lu hier un article signé par un certain G. Marx sur le site de la loge judéo-maçonnique hatikva (
http://www.hatikva-75.fr/spip.php?article859). Ce monsieur abonde dans votre sens en affirmant que « depuis 2000 ans les gaulois puis les Français ont consommé ces quartiers arrières et ces carcasses jugées non casher sans que cela ait donné lieu à la moindre objection ». Conformément aux règles de la Torah, les juifs ne mangent pas le quartier arrière d’une bête abattue, cette viande est commercialisée dans les boucheries dites classiques. Pas la peine d’attendre la réaction de nos experts de l’indignation sélective, touche pas à cette pratique là c’est très dangereux !
Snoop alias jocob le simplet, toujours aussi ridicule !
Les Arabes ont tous rejeté le nazisme et même lorsque les soviets pactisèrent avec les allemands entre 1939 et 1941, les communistes maghrébins virent dans le pacte une « alliance avec le diable » et le dénoncèrent vivement.
En revanche, tes coreligionnaires de la Fédération
sioniste d’Allemagne n’ont pas hésité à envoyer un mémorandum au parti nazi le 21 juin 1933 :
" Dans la fondation du nouvel État, qui a proclamé le principe
de la race, nous souhaitons adapter notre communauté à ces nouvelles
structures... notre reconnaissance de la nationalité juive nous permet
d’établir des relations claires et sincères avec le peuple allemand et ses
réalités nationales et raciales. Précisément parce que nous ne voulons pas
sous-estimer ces principes fondamentaux, parce que nous aussi nous sommes
contre les mariages mixtes, et pour le maintien de la pureté du groupe juif.
Les Juifs conscients de leur identité, au nom desquels nous parlons, peuvent
trouver place dans la structure de l’État allemand, car ils sont
libérés du ressentiment que les Juifs assimilés doivent éprouver ; ...
nous croyons en la possibilité de relations loyales entre les Juifs conscients
de leur communauté et l’État allemand.
Pour atteindre ses objectifs pratiques, le sionisme espère être capable de
collaborer même avec un gouvernement fondamentalement hostile aux Juifs... La
réalisation du sionisme n’est gênée que par le ressentiment des Juifs à
l’extérieur, contre l’orientation allemande actuelle. La propagande
pour le boycott actuellement dirigée contre l’Allemagne est, par essence, non sioniste...
" Source : Lucy Dawidowicz, A Holocaust reader, p. 155.
Pire, Edwin Black a montré dans son livre : «
L’Accord de Transfert : l’Histoire jamais racontée du Pacte Secret entre le
Troisième Reich et la Palestine juive : 1984 » la collusion et la collaboration des sionistes avec le régime hitlérien, notamment l’accord «
stratégique » proposé aux Nazis. Voici un extrait
de ce projet de traité, qui a été établi une année et demi après l’éclatement de la
guerre, le 11 janvier 1941, par l’Irgun Zwei Leumi (organisation terroriste
sioniste activant en Palestine avant 1948) :
« L’Organisation
nationale militaire (ONM) connait bien la bonne volonté du Gouvernement du Reich
allemand et de ses autorités envers les activités sionistes à l’intérieur de
l’Allemagne et envers les plans d’émigration sionistes, pense que :
1. Des intérêts
communs pourraient exister entre l’établissement d’un nouvel ordre en Europe en
conformité avec la conception allemande et les vraies inspirations nationales
du peuple juif telles qu’elles sont incarnées par l’ONM en Palestine,
2. La
coopération entre l’Allemagne nouvelle et un Etat hébreu rétabli serait
possible ; l’établissement de l’Etat juif historique sur une base totalitaire
et lié par un traité avec le Reich allemand serait dans l’intérêt du maintien
et du renforcement de la future position de pouvoir allemande au Moyen-Orient
».
Faut savoir que cet extrait d’un
document politique sioniste a été rédigé par Menahem Begin, futur Premier ministre
israélien. De 1933 à 1941, le
groupe sioniste allemand s’engagea par exemple dans une politique de
collaboration avec hitler. On peut lire dans le livre de Bar Zohar, "le
prophète armé : ben gourion« , qu’itzhac shamir commit »un
crime impardonnable du point de vue moral : prôner une alliance avec
hitler, avec l’Allemagne nazie contre la Grande-Bretagne". Dans
une lettre adressée aux dirigeants nazis, ce shamir a écrit ceci : "En
matière de conception, nous nous identifions à vous. Pourquoi donc ne pas
collaborer l’un avec l’autre ?". Malgré leur passé, shamir
et beghin occuperont le poste de premier ministre. Etrange n’est-ce pas ?
Non, à sion tout devient possible.
A l’auteur, lorsque Vincent Geisser parle d’une certaine forme d’islamophobie musulmane, il fait surtout allusion à ce qu’il nomme les « facilitateurs d’islamophobie » autrement dit des individus de culture musulmane qui cautionnent les dérives islamophobes d’une certaine élite française. Il s’agit de porte-parole autoproclamés de l’Islam et des musulmans de France. En réalité, leur rôle consiste à jouer les « musulmans de service », cette nouvelle catégorie d’acteurs a remplacé en quelque sorte les « beurs de service » des années 80. Parmi ces « facilitateurs d’islamophobie », Vincent Geisser cite dans son livre « la nouvelle islamophobie » le cas de Farid Smahi, un ex-conseiller fn d’Ile de France viré par l’héritière après plusieurs années de « bruns services ». Il était le seul arabe du fn, plus exactement un fils de Harki. L’héritière se targue de réhabiliter les « harkis » tout en virant le seul harki membre de la pme familiale. De l’hypocrisie !
Tout comme vous ce Farid se présentait comme un « expert du vécu », tenait le même discours fantasmatique sur le « péril vert ». A la pme Le Pen, on l’a trouvé un peu mou, pas assez facho et finalement on l’a remercié le jour même de l’intronisation de l’héritière.
Rassurez vous, vous ne faites pas partie de la catégorie dite « des facilitateurs de l’islamophobie ». Vous inclure dans cette catégorie serait vous faire trop d’honneur, vous êtes plutôt ce que Sifaoui a appelé un « mohamed de poche », celui de l’officine anti-laique du protégé de la loge judéo-maçonnique b’nai b’rith, l’illuminé cassen. Rôle que ce Sifaoui a refusé de jouer, il a expliqué cela dans un article :
Comment peut-on imaginer un seul instant qu’une nana qui vit dans un hôtel particulier à saint-Cloud puisse se préoccuper du sort de la plèbe ?
Plèbe que l’héritière méprise si l’on croit la journaliste qui a infiltré la pme familiale, Claire Checcaglini. D’après cette journaliste, elle a qualifié ses ouailles de « cons », va-t-on placer l’héritière sous protection policière comme ce fut le cas pour Sophia Aram qui après avoir évoqué dans une chronique les « gros cons » du FN a été menacé par les frontistes ? Non, pour la simple raison que « ces cons » vouent un culte à leur championne.
L’héritière n’est pas la seule à mépriser les électeurs de la pme Le Pen, sa belle-mère Jany s’est laissée aller à quelques confidences : « Les braves gens du Front, quand je les embrasse, j’oublie complètement qu’ils sont moches » (propos cités par R. Dely « histoire secrète du fn », P.201).
Depuis quand l’extrême droite est-elle du côté des ouvriers ? Les chemises brunes qui allaient tabasser les ouvriers en grève, ça vous dit quelque chose ?
La pme familiale a toujours été du côté du patronnât, dès 1979 le vieux fustigeait « la fiscalité dictatoriale » ou « l’imposition fiscale comparable à la Gestapo ». Dans son manifeste intutilé « droite et démocratie économique », il proposait de limiter les dépenses de protection sociale tout en supprimant l’impôt sur le revenu, l’isf ou encore les cotisations patronales. Le clan Le Pen milite pour le fort ( on situe cette famille dans la branche des 0,5% de français les plus fortunés) contre le faible et propose d’en finir avec
toutes les aides sociales. C’est le parti de l’anti-France, normal qu’il adopte des mesures favorables aux plus riches.