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  • Blé 3 janvier 2008 07:39

    Je ne suis pas plus pessimiste que cela. Etant de condition modeste, j’ai appris très tôt à me contenter de ce que j’avais, et j’ai toujours peu.

    Les états européens, plus précisément l’aristocratie européenne, les élites politiques, économiques et médiatiques ont mis au service de l’économie de marché leurs peuples. Ces derniers ont du mal à trouver la démocratie dans une société qui se résume en tout et pour tout à des échanges marchands dans tous les domaines.

    Comment en serait-il autrement quand on constate que cette économie de marché est aussi contraignante pour les individus qu’un régime totalitaire (les crimes et la violence en moins). Mais celle ou celui qui ne suit le mouvement peut crever, d’ailleurs c’est ce qui se passe chaque année, des êtres humains meurent de froid sur l’autel de la déesse « économie de marché ».

    2008 ressemblera comme une petite soeur à 2007, les puissants pomperont peut-être un peu plus les peuples car il va falloir pallier aux conséquences des subprimes, il y aura un peu plus de violence entre les gens et entre les peuples, l’économie de parché en a besoin pour fonctionner correctement. Par conséquent, le plus grand nombre se rapprochera un peu plus du statut de « serf ».



  • Blé 11 décembre 2007 21:37

    La mondialisation n’a pas besoin de citoyens ni de peuples, elle n’a besoin que de ressources humaines. Quand un président se permet de dire à un peuple de travailler plus pour gagner plus, ce président gouverne pour sa caste (qui n’a pas besoin de travailler plus pour s’enrichir puisqu’elle fait travailler les autres)qui est une caste internationale.

    Peut-on être citoyen dans un pays qui se dit démocratique lorsque l’individu est en situation de survie parce que tout en travaillant il n’arrive pas à joindre les deux bouts comme on dit. J’ai l’impression que pour les multinationales, le modèle politique idéal n’est pas le modèle démocratique mais plutôt le modèle chinois ou du magreb, la main d’oeuvre est corvéable à merci, pas trop regardante sur le salaire et sur le nombre d’heures, ni sur l’état de leur environnement.

    Les lois du commerce s’imposent à tous et à tout, l’économie de marché confisque les droits des peuples en Europe, leur manière de vivre, leur culture, comme ailleurs.

    Les nouvelles technologies ne promettent pas plus de facilités pour vivre mais plus de répression et de surveillance de la part de ceux qui détiennent le pouvoir sur les citoyens/consommateurs.



  • Blé 10 décembre 2007 21:05

    J’adhère complètement à l’analyse de l’auteur de cet article.

    Cependant n’a t-on pas le droit de s’intérroger sur la finalité de cette politique qui va en définitive à contre courant de la civilisation.

    Cette richesse accumulée pour quelques uns au détriment du plus grand nombre ne remet-elle pas en question le droit de vivre tout simplement ?

    Au fait, une idéologie qui ne permet pas de discussion et qui ne laisse pas de place aux voix du peuple,ça s’appelle comment déjà ?



  • Blé 2 décembre 2007 07:18

    A lire l’auteur de cet article, l’individu arrive au monde déjà cravaté ou portant des talons aiguilles. Entre sa venue au monde et le moment où il/elle a conscience de lui même il n’y a rien, aucun environnement social, culturel,économique, linguistique, religieu,c’est le grand vide.

    Cet individualisme ressemble étrangement au mythe de la genèse. Avant l’instant « T » il n’y avait rien. Un grand souffle a tout créé, a tout organisé et vous êtes prié de le croire.

    Le mythe de l’individu ne serait-il pas une nécessité pour subordonner tout être humain à un projet économique et pour imposer une certaine vision du monde ?



  • Blé 29 novembre 2007 06:34

    Cet article me permet de mieux comprendre les enjeux d’un choix qui est avant tout un choix politique et de société.

    L’industrialisation des esprits ne date pas d’hier, aujourd’hui elle est un peu plus intensive, le temps presse.

    Si la raison des humains n’arrive pas à modérer l’expension du capitalisme sauvage, les conséquences de cet archarnement économique sur l’environnement pourraient bien mettre un frein sinon un arrêt à cette poursuite du tout rentable.Tempêtes, innondations, feux, touchent tout le monde, les éléments ne font pas de distinctions entre les gentils et les méchants.

    Chacun lutte dans son coin pour modérer les privatisations (ou les futures privatisations), mais ne serait-il pas plus rationel de mettre en commun tous ces efforts.

    Pas de domaines et d’activités qui ne soient remis en cause par l’économie de marché. La lutte des écolos, l’affaiblissement de l’état, la santé, l’enseignement, la justice, etc... passent au rouleau compresseur des intérêts privés. Cette privatisation globale pourtant confisque aux jeunes d’aujourd’hui et des générations futures, un environnement qui est un bien commun ;

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