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boronali

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Maître de son Haut Chateau...

Tableau de bord

  • Premier article le 24/03/2006
  • Modérateur depuis le 15/11/2006
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Derniers commentaires



  • boronali boronali 8 septembre 2006 18:49

    « blogueurs influents » ... Peut-être, mais surtout blogueurs influents qui ?

    Il y aurait-il un spécialiste des médias en mesure de répondre à cette question ?

    Que l’on taxe Glen Reynolds (Instapundit), Corry Doctorow (Boing Boing), Régine Debatty (We Make Money Not Art) et d’autres pointures de cette envergure d’être des blogueurs influents dans leur domaine d’expression respectif, je le conçois sans équivoque ...

    Mais ceux cités dans cet article, hormis être d’une quelconque influence dans le choix d’un nouveau téléphone portable ou d’une webcam ... Franchement, je ne vois pas ...

    « Lemeurland », c’est quelque peu grinçant pour Loïc le Meur, qui n’a certainement pas mérité cette appellation péjorative.

    En revanche, « Clochemerle 2.0 », cela serait bien plus flambard pour la soit-disant blogosphère influente française, non ?



  • boronali boronali 5 août 2006 13:16

    Excellent 1001, excellent ...

    (le contrait eût été étonnant)



  • boronali boronali 17 mai 2006 06:34

    >>> par Sarah (IP:xxx.x42.102.18) le 16 mai 2006 à 15H45 @boronali

    « faux, une entreprise individuelle n’a pas de capital. »

    Mais si, lire ici : EURL.

    Sarah, encore faut-il savoir de quoi l’on parle : vous confondez Entreprise Individuelle et Entreprise Unipersonnelle (à responsabilité limitée).

    Une entreprise individuelle (dénomination juridique), ou dans le langage courant une « entreprise en nom propre » ou « travailleur indépendant » ou « profession libérale » ... est le fait, pour une personne physique de s’enregistrer comme étant directement et sous son nom exploitant d’une activité professionnelle. Pour ce faire, nul besoin de dotation en capital social (ce qui n’empêche le créateur d’une entreprise individuelle de prévoir un budget de démarrage de son activité, budget constitué de fonds personnels et/ou de concours bancaires ...)

    L’EURL ou pour être plus prosaïque, la SARL à associé unique est une entreprise sociétaire, soit une personne morale (par opposition à une personne physique) normalement constituée et donc juridiquement et financièrement autonome (sans rentrer dans les détails ...) détentrice d’une activité professionnelle qu’elle exploite elle-même, distinctement de ses propriétaires. Il lui faut donc ses propres moyens d’action, soit, notamment, des fonds (monétaires) propres qui lui sont fournis à création sous forme de capital social.

    Concernant le capital social d’une SARL/EURL, il était d’un montant minimum imposé de 7 622,5 euros jusqu’au 31 décembre 2003. Depuis le 1er janvier 2004, il n’y a plus besoin de doter une SARL d’un capital minimum, d’où l’effet d’annonce gouvernementale et purement publicitaire de la « SARL à UN EURO ».

    Mais pourquoi pas la « SARL à 10 centimes d’EUROS » ?

    Dans la pratique, la SARL à un euro est quasi impossible à créer pour la simple et bonne raison que pour la constituer, il va falloir déposer le capital social auprès d’une banque sur un compte créé pour la SARL et qu’il sera facturé à la SARL un forfait d’ouverture de compte professionnel d’un montant d’environ 25 euros (variable selon les banques ...). Ce qui veut dire que dès sa création, votre société va se trouver en situation de fonds propres négatifs (1 euros - 25 euros = - 24 euros ...)

    La seule façon de pouvoir immatriculer effectivement une SARL à 1 euro est de la doter dès la création de comptes courants d’associés suffisants pour supporter sur quasi fonds propres les coûts de création et de fonctionnement ...

    Mais là, il faudrait, à mon avis, faire une véritable cours de droit des sociétés et d’ingénierie financière pour que le lectorat d’Agoravox apprécient à leur juste valeur les enjeux de la création et de gestion d’entreprises ... Vaste programme !



  • boronali boronali 16 mai 2006 15:18

    @ T-h : « toute entreprise même unipersonnelle a un capital » :

    faux, une entreprise individuelle n’a pas de capital.

    Seule les entreprises sociétaires consitutées sont dotées d’un capital (social) propre dès lors qu’elles sont différenciées juridiquement de leur propriétaires (associés ou actionnaires) ex type : une SARL.

    Monsieur CHOUARD, votre démarche est intéressante même si elle démontre trop brillamment votre méconnaissance des mécanismes financiers qui vous poussent à faire des amalgames préjudiciables.

    Sans reprendre l’ensemble de votre argumentaire, le postulat originel qui est le vôtre :

    La captation de richesse par des actionnaires « oisifs » (sic !) serait un frein manifeste à la diminution du chômage.

    Si vous retournez sur le site de l’INSEE pour consulter la nomenclature des entreprises françaises, vous constaterez qu’il existe :

    - 2 500 000 entreprises en France,
    - 1 500 000 de ses entreprises n’ont aucun salarié,
    - la plus grande majorité des autres entreprises se situe entre 0 et 100 salariés.

    Soit le fait que la quasi totalité des entreprises françaises ne reverse aucun dividende (qui se trouve par ailleurs à la ligne D42 de votre tableau TEE, soit 199 milliards d’euros ...) à des actionnaires « oisifs ».

    Le cas échéant, les sociétés non cotées (soit en France 2 400 000 et quelques ...) reversent, quand elles le peuvent, des dividendes à leur dirigeants actionnaires , à leurs cadres actionnaires, voire depuis le développement de l’épargne salariale en France à leur salariés actionnaires ... (rappelons au passage, toujours d’après l’INSEE, que le salaire moyen des vilains patrons français se situe à 3 800 euros bruts mensuels !)

    Maintenant, que l’on puisse se rebeller contre le fait que des retraités en Floride sirotent des margaritas payées avec des dividendes versées par des sociétés françaises, cela reste joliment anecdotique :

    Ce ne sont pas, et ce depuis plus de 10 ans les sociétés cotées qui créent des emplois en France, mais bien les TPE/PME, maintenant, il est envisageable de se questionner sur les vraies mesures incitatives à l’embauche proposées aux entreprises françaises ...



  • boronali boronali 8 mai 2006 12:06

    Amusant de constater qu’au final, Internet ne fait que réinventer le colportage ...

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