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bravecounass

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  • bravecounass 13 août 2010 16:30

    Moueh,

    Article d’assez piètre qualité qui flirte avec la théorie du complot et le négationnisme climatique. De toute façon, on ne résoudra la crise (si on la résous) que par 2 voies contradictoires :

    - Une régulation mondiale des flux financiers et une taxation forte des ressources planétaires non renouvelables, ce qui passe obligatoirement par une « gouvernance » à échelle mondiale (ou du moins une synchronisation, mais c’est bien plus difficile) et l’émission d’une monnaie de référence : ce qu’est exactement ce que présente et critique l’article. (Ce qui n’exclue en rien la pertinence d’un questionnement sur la souveraineté de cette gouvernance.)

    - Une repli massif vers le local, c’est à dire une fragmentation du monde où les nations retrouveraient le 1er plan, c’est à dire un appauvrissement massif et une montée certaine des nationalismes avec un risque fachisant et totalitaire fort. (n’oublions pas que la CEE a été créé dans le but d’éviter les conditions ayant mené à WW2, une telle solution passe évidemment par l’éclatement de l’UE qui ne serais pas sans conséquences).

    Ma préférence va personnellement à la 1ère solution, et même si le FMI n’a pas fait les preuves de son humanisme, c’est probablement l’organisme le plus approprié actuellement pour la mise en place d’une régulation commune efficace. Plutôt que critiquer son action essayons de prendre le train en marche et d’influer sur l’orientation de ce truc tentaculaire. Le fait que sa politique actuelle reflète le credo libéraliste en vogue ne signifie pas qu’il en sera tjs ainsi. Le prochain patron pourrais fort bien être un chinois, qui, n’en déplaise à certains, sont à peu près les seuls à faire preuve de maturité dans la gestion de la crise.

    De toute façon, de nombreux pays en lutte contre l’« impérialisme » occidental n’accepteront pas d’abandonner leur souveraineté au profit du FMI, du moins sans contrepartie. Cf. l’initiative de banque centrale d’Amérique latine « sud » en cours de pourparlers pour être étendue à l’Afrique.

    Il faut arrêter avec la théorie du complot des bilderbergers et autres. Inutile de vouloir trouver des boucs émissaires, nous sommes suffisamment cons pour foncer dans le mur tout seuls, le système à simplement acquis une cinétique suffisante pour se nourrir de son propre fonctionnement.
    Il y a bien évidemment une « caste » de dominant/possédant qui n’a d’autre but que de conserver sa dominance, mais très peu sont assez cons pour mettre le feu à leur propre maison. Ils sont justes trop aveuglés par leur idéologie pour la remettre en question. Il est stupide de penser q’une poignée d’hommes synchronisés puissent contrôler l’ensemble du système ; il y a bien trop de paramètres et trop peu sont maitrisables.
    Nous sommes peut être des moutons mais il n’y a pas de bergers, juste d’autres moutons en tête du troupeau. Et contrairement à ce que vous semblez tous penser ici, chaque mouton poursuit des intérêts qui lui sont propres, même si une socio-culture commune les rends plus ou moins convergents. Si suffisamment de moutons changent de perspective, l’orientation du troupeau suivra peut être, en totalité ou en partie, et évitera peut être la falaise.





  • bravecounass 8 mars 2010 13:54

    Vos interventions n’apportent rien au débat ; internet a vu la création d’un mot pour l’occasion : le troll. Ne m’en voulez pas si je ne prend pas le temps de polémiquer, je ne suis malheureusement pas payé pour ca.



  • bravecounass 8 mars 2010 12:47

    Au vu de l’emploi que vous faîtes du terme utopie, je préfèrerai personnellement le terme ’enjeu de civilisation’.
    Nul besoin que l’objectif soit utopique, il suffit qu’il soit partagé par une grande majorité.
    Le vrai problème du système actuel, c’est l’atomisation de la société en entités soi-disant indépendantes. Cf. Danvlh, « le ’bonheur’ après lequel vous semblez tant courir, n’est tout simplement pas le même pour tout le monde. »
    Or, nous vivons dans le même monde et sommes tous inter-dépendants, d’autant plus à l’ère de la mondialisation, notre bonheur dépend donc directement de celui des autres. Une civilisation perdure grâce à un état d’équilibre, au même titre que la biosphère (dont nous commencons à peine à appréhender la complexité).
    Lorsque chacun réalisera qu’il est dans le même bateau que l’ensemble de ses semblables, l’objectif commun s’imposera de lui même : maintenir le bateau à flot ; et cela n’as rien d’utopique, du moins je l’espère. Mais je suis d’accord avec vous sur un point, la poursuite de cet objectif commun, ensemble, devrait nous permettre de sortir de la morosité et du fatalisme qui domine nos sociétés occidentales.



  • bravecounass 4 août 2009 10:53

    Au vu de certaines réactions, il n’y a pas que les italiens qui glissent vers le fascisme. Les périodes de crises ont toujours favorisé le repli identitaire, il est assez hallucinant de voir que ce sont les gens sensés être les plus éduqués, une certaine ’élite’, qui se précipitent vers un nationalisme fanatique. Et dire que la plupart se qualifient de ’libéraux". La seule chose à laquelle ils sont ouverts, c’est l’argent.
    Les Bois-Guibert et autre petit bourgeois bien pensants sont à vous dégouter d’être français. Voilà qui donne envie de s’investir dans ce beau pays, qu’on qualifie encore de celui des ’droits de l’homme’.
    Je ne sais pas ce qui reste de l’humain dans ce monde mais de toute évidence, ce n’est pas ici qu’il faut le chercher.


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