Issu de la France qui se couche pas et qui dort tard, je pense être bien du côté honnête de la fracture sociale car se lever trop n’apporte qu’a son patron et ruine l’imagination.
ncore d’autres tirades de Sergio ( France Inter 2006, tiré du blog Olvier Bouba) :
"Ce n’est plus la flexibilité qui sauvera la France , mais la précarité ! "précarité = emploi, rigidité = chômage" a-t-il affirmé. Et de se féliciter, donc, de la mise en oeuvre du CPE ("superbe idée"), qui permet d’atteindre cet objectif optimal de précarité . On peut se réjouir également d’une autre de ses affirmations : si un salarié est bon, "on peut le garder 10 ans" (sic !). Au-delà, c’est vrai, ce ne serait pas raisonnable... Ou encore : "il n’y a pas de licenciement abusif", si on licencie, c’est nécessairement parce que le salarié est mauvais."
Une chose est sûre , s’il avait du compter sur sa finesse et son esprit d’analyse pour fonder un tel empire que celui de Dassault, aujourd’hui il pointerait aux assédic.
Encore d’autres tirades de Sergio ( France Inter 2006, tiré du blog Olvier Bouba) :
"Ce n’est plus la flexibilité qui sauvera la France , mais la précarité ! "précarité = emploi, rigidité = chômage" a-t-il affirmé. Et de se féliciter, donc, de la mise en oeuvre du CPE ("superbe idée"), qui permet d’atteindre cet objectif optimal de précarité . On peut se réjouir également d’une autre de ses affirmations : si un salarié est bon, "on peut le garder 10 ans" (sic !). Au-delà, c’est vrai, ce ne serait pas raisonnable... Ou encore : "il n’y a pas de licenciement abusif", si on licencie, c’est nécessairement parce que le salarié est mauvais."
Une chose est sûre , s’il avait du compter sur sa finesse et son esprit d’analyse pour fonder un tel empire que celui de Dassault, aujourd’hui il pointerait aux assédic.