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Chem ASSAYAG

Chem ASSAYAG

Au carrefour de plusieurs mondes : je travaille dans le secteur de la high-tech et des nouveaux médias depuis de nombreuses années, oenophile (j'ai créé une entreprise dans l'univers du vin), amateur de photo et photographe amateur, passionné d'arts plastiques, et auteur (poésie, nouvelles, textes journalistiques...Voir ici), Très actif sur Agoravox à ses débuts (par exemple j'ai participé au livre Présidentielle 2007.).
J'anime le blog NEOTOPIA
 
 
 
 
 

Tableau de bord

  • Premier article le 13/06/2005
  • Modérateur depuis le 05/07/2005
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Derniers commentaires



  • Chem ASSAYAG Chem ASSAYAG 12 octobre 2005 10:34

    Nico, mon âge avancé (en tout cas comparativement à vous) smiley me permet de constater que l’usage des transparents était beaucoup moins répandu et systématique que ne l’est celui de Powerpoint ou de ses équivalents. Il devient assez rare de voir circuler des documents autres que des ppt (mis à part des docs plus techniques) pour décrire un marché, des produits.... En soi je n’ai rien contre Powerpoint (et je m’en sers comme tout le monde) à partir du moment où cela reste un outil parmi d’autres et non pas le vecteur unique de la communication en réunion.



  • Chem ASSAYAG Chem ASSAYAG 6 octobre 2005 12:11

    Votre article fait montre d’une mauvaise foi certaine. Quand vous dîtes « Hier, on a appris d’un coup que Nicolas Sarkozy pouvait être terrassé par une migraine, qu’il pouvait, pendant quelques heures, une journée, davantage ?, être indisponible pour les affaires de l’Etat. Que se passerait-il si, par un hasard dont l’histoire est riche parce qu’elle s’écrit le plus souvent dans la tragédie, un acte terroriste se produisait le jour même où le titulaire des affaires de police se trouvait affecté par ce mal ? Comment s’organiserait le pouvoir ? Comment s’échangeraient les informations et se dérouleraient les multiples réunions, graves, tendues, qui s’organisent dans de telles circonstances ? Qui prendrait les décisions ? ». La même question se poserait en cas d’accident de voiture, d’avion, d’infarctus, d’hémorragie cérébrale... ou tout simplement si Nicolas Sarkozy était à l’autre bout du monde en visite, et j’en passe, mais là cela ne semble pas vous troubler. Et pour cause car vous savez très bien que des procédures sont prévues pour faire face à ce type de problème. d’ailleurs l’hospitalisation récente de Jacques Chirac, qui, cas aggravant est garant de la dissuasion nucléaire, n’a pas donné le sentiment que le pays s’arrêtait. En forcant le trait de cette façon vous ne servez pas la question récurrente et légitime que vous soulevez (le droit à l’information sur la santé des hommes politiques).

    cordialement

    Chem Assayag



  • Chem ASSAYAG Chem ASSAYAG 3 octobre 2005 17:43

    Au delà de la situation que vous décrivez et du comportement surréaliste de l’employé de la fourrière et des contractuelles vous abordez indirectement un problème crucial : comment fait-on pour se déplacer à Paris avec des enfants ? Au delà des remarques habituelles du style « vous n’avez qu’à déménager » (toujours très constructif) c’est une question centrale dans le contexte des transports à Paris. Moi je serai ravi de me passer d’une voiture (ce que j’ai fait jusqu’il y ’a quelques années et continue de faire pour mes déplacements personnels) mais comment fait-on pour prendre les transports en commun avec des enfants en bas âge* ? vous avez déjà essayé avec une poussette à la station Chatelet ou St-Lazare ou dans un vieux bus ? Et si vous arrivez dans la rame ou le dit bus vous avez déjà affronté le regard furibard des autres passagers qui vous toisent tel un pestiféré ? Et encore la poussette ça va, mais quid des handicapés en fauteuil ? Pour eux c’est carrèment la jungle. Alors d’accord à 200% pour réduire le poids de la voiture en ville mais avant il faudrait aussi s’intéresser aux problèmes concrets des habitants de façon globale.

    * l’autre option étant évidemment une ville habitée uniquement pas des CSP++ célibataires ou retraités. Pas très exaltant comme projet de société.



  • Chem ASSAYAG CA 27 septembre 2005 12:10

    L’auteur de l’article parle de sophismes mais certaines de ses assertions sont pas mal non plus « Ce qui semble difficile à comprendre pour certains, c’est qu’il y aura toujours des criminels, et que la police arrivera toujours en retard sur les lieux d’un crime ». Effectivement quand il y’a crime la police arrive après ou alors elle regarde sans rien faire mais c’est plus rare et plus inquiétant,

    ou encore

    « L’État n’a aucune responsabilité légale dans la protection des citoyens contre la violence » c’est l’exacte anti-thèse d’une des défintions de l’Etat (voir Max Weber) défini justement comme l’entité ayant le monopole de la violence légitime.

    Je ne sais pas ce qui se passe au Canada et/ou au Québec mais effectivement certaines de vos préoccupations semblent assez loin de notre perception de la réalité de ce côté-ci de l’Atlantique.



  • Chem ASSAYAG Chem ASSAYAG 23 septembre 2005 16:21

    Je n’ai pas lu le livre que vous commentez, mais il me semble, d’après ce que vous en relatez, qu’il aborde surtout la question du chômage d’un point de vue macro-économique et donc finalement d’une façon assez abstraite. Or le chômage est une expérience que nous vivons tous directement (nous-mêmes ou à travers nos proches) et elle ressort d’une vision micro-économique. Il y’a là un décalage qu’une seule approche économique ne peut résoudre. Enfin j’ajouterai que se focaliser sur le chômage est réducteur et ce pour deux raisons : dans de nombreux pays des gens sont exclus des statistiques car considérés comme définitivement inaptes au travail. Ils ne sont pas chômeurs officiellement mais sont bien en situation de précarité et/ou de marge sociale. D’autre part la question des « travailleurs pauvres », c’est à dire ceux qui cumulent tous les inconvénients - pénibilité du travail, salaire très faible - n’est pas abordée. J’ai la conviction que le niveau global de précarité (qu’on définirait comme un seuil en deça duquel les revenus de quelque nature qu’ils soient sont insuffisants pour vivre « correctement ») dans la plupart des pays avancés est plus ou moins le même, simplement les individus sont rangés dans des catégories statistiques différentes.

    Cdt,

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