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Christophe Arvis

Christophe Arvis

36 ans. Diplomé d'Economie, de Science Politique, de Finance et de Théologie.
Directeur Exécutif d'une société de conseil en financement entreprises
Ancien Secrétaire Général de l'Institut Turgot, think tank francophone

Tableau de bord

  • Premier article le 29/05/2007
  • Modérateur depuis le 28/02/2008
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Derniers commentaires



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 7 juin 2007 08:39

    Je suis d’accord avec cette remarque. Pour autant les autrichiens ont justement lutté contre cette mathématisation de l’économie que l’on trouve chez les néoclassiques. Pour faire une critique du libéralisme, il ne faut pas faire l’équation trop simpliste libéraux=néoclassiques. J’ai discuté il y a peu avec un économiste membre du conseil scientifique d’Attac et celui-ci ne connaissait même pas Mises et l’école autrichienne. Comment répondre au libéralisme si on le connait mal ?. Alors que les tenants de l’école autrichienne ont trouvé une certaine influence aux Etats Unis via certains think tanks. De même Microsoft a sollicité l’aide de certains lobbystes proches des ces idées, à Bruxelles pour lutter contre les directives anticoncentrations.



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 6 juin 2007 17:48

    Merci. Je partage totalement votre point de vue

    Christophe Arvis



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 6 juin 2007 17:09

    Dommage le lien avec Libé ne marche pas



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 6 juin 2007 11:34

    C’est effectivement comme vous dîtes la comparaison entre N et N-1, c’est le principe de l’utilité marginale décroissante. Pour le reste, impossibilité de comparer les utilités interpersonnelles, agencement ordinal en focntion de notre propre échelle de valeur. Je pourrais même rajouter approche axiomatique normative contre toute forme d’empirisme...tout ce discours emprunté à Mises, Rothard, Any Rand, Hoppe et j’en passe, je pouvais moi-même le tenir à mes propres étudiants en économie lorsque j’étais chargé de cours, tant j’étais très influencé par tous ces auteurs et toutes ces idées. Pour autant toutes ces idées très riches intellectuellement ont une conséquence : déligitimer toute intervention de l’Etat dans l’économie et la société. J’ai adhéré à cela à une époque. Mais j’ai eu un vrai choc en allant aux Etats Unis en surtout en Grande Bretagne, qui ne sont pas des pays de l’idéal libertarien, je vous l’accorde. Pour autant ils ont insuflé des politiques libérales bien plus prononcées que chez nous. En passant du temps en Grande Bretagne et en visitant avec des amis acteurs sociaux dans ce pays, les régions où ne vont jamais les touristes (et même les anglais aux-mêmes), j’ai pu mesurer les conséquences humaines parfois dramatiques d’un libéralisme trop idéologique sur une société désormais profondément fracturée, que même le réinvestissement public depuis les années Blair n’a su corriger. Cela m’a fait sortir le nez de mes bouquins de l’école autrichienne et m’a obligé à reconsidérer toute la logique du raisonnement économique qui a conduit à cette situation. Y compris à réfléchir à nouveau sur les fondements épistémologiques. Tous ces penseurs restent toutefois intéressants sur les effets pervers d’un interventionnisme de l’Etat. J’ai eu aussi grand intérêt à rencontrer Hernando de Soto qui a su aider les plus pauvres à sortir de la pauvreté par son approche originale du capital mort, et qui mériterait sans doute le prix nobel. Toutefois, je suis aujourd’hui un pragmatique et non un idéologue, c’est ce que je reproche beaucoup aux libéraux et libertariens. Pour eux peu importe les conséquences, notamment humaines, seul compte le respect de la logique rationnelle du raisonnement économique qui pour eux est forcément vrai, « apodictiquement vrai » selon l’expression chère aux autrichiens. En tant qu’être humain et en tant que chrétien, il y a des limites que ma conscience ne peut supporter, sauf à chercher à justifier l’injustifiable. Bien cordialement

    Christophe Arvis



  • Christophe Arvis Christophe Arvis 31 mai 2007 10:32

    Je suis entièrement d’accord sur le problème d’optimisation des ressources. Le Modem est doit faire face à un défi de professionnalisation de ses structures. Sur le fond idéologique, je rejoins ce que tu écris et j’essaye à ma mesure d’y participer sur mon blog : http://christophearvis.typepad.fr/mon_weblog/

    Christophe Arvis


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