Le pire , c’est Henri François. Quel aigri , quel frustré celui là ( et tétu en plus ...) . Si tu n’aimes pas les français, mon bon Henri , dégage , ils ne te retiennent pas . A propos , tu es français aussi ce me semble ? . Que se passe t’il alors ? Pourquoi n’est tu pas conséquent dans tes choix ? Va donc t’installer ailleurs , le monde est grand ! La soupe est meilleure ici, peut-être ? Ah , on comprend mieux. Il faut de la patience , des fois . Des types comme notre compatriote le Riton qui ne nous supporte plus - et qui est néanmoins toujours présent ici , rien que leur présence dans une piéce fait cailler le lait tant ils dégagent du négatif ... Et dire que ça vote , ça ........
clojea , ce n’est pas exact . Ayant vécu entre les années 70 et 80 aux Cornillettes ( blois ) , puis aux trés emblématiques Tarterêts , de Corbeil-Essonnes , je peux certifier qu’alors il n’ y avait de violence et d’insécurité que de façon epsilonesque par rapport à ce qu’il y a maintenant . Renseignez vous mieux ( et n’acceptez que les témoignages de premiére main ).
Excellent article , Paul villach . Juste un petit détail : n’écrivez pas , svp , les élites , mais plutôt les prétendues élites , ou les élites autoproclamées , ou ce qui tient lieu d’élites , ou encore ceux qui ont le culot de prétendre constituer des élites , ou bien encore tout simplement : les « élites » ; L’importance des guillemets n’est pas mince . Cordialement