Aujourd’hui est un jour de fête. Sarko l’a enfin dans le cul. Personne, y compris tristus 1er, ne m’empêchera de goûter à ma joie de voir enfin ce détritus de la démocratie choir comme la grosse merde qu’il est. J’exprime ici, en cet instant, des années de colères contenues avec plus ou moins de succès, avec leur lot de frustration, elle aussi contenue, année après année, jusqu’au dégoût.
Je rêve d’un monde où ces charlots siono-démocrates iront se faire bénir sous d’autres cieux, avec leur presse de merde qui affirme, s’agissant de l’émergence d’un “Macron“, je cite :
« ce qui me fait dire qu’elle a déjà été largement anticipée par les électeurs »
Nathalie MP, à ce stade, je ne saurais trop vous conseiller de vous rendre invisible pour défendre de telles thèses ineptes. Vous fabriquez vos lutins. Au moins, faites nous la grâce de ne pas nous prendre pour des ânes. Les électeurs n’anticipent que sur la base de la médiocre information qui leur est fournie. Cette bande d’enfoirés qui nous manipule choisit ses poulains. Ca a commencé par Pompidou, vous connaissez la suite. Bonne nuit
on les creve quand, tous ces enculés ? Menacez de mort vos banquiers de merde. Si on est des millions, ce que nous sommes, ils vont vite fait remballer leurs conneries. Ils sont en train de niquer les assurances vie de nos vieux, et du même coup nos maigres parts de patrimoine épargné par des générations de besognieux qui, eux, avaient les pieds sur terre. Au pilori, ces charognes
avant d’en arriver là, il faudra combattre la nouvelle manœuvre fallacieuse de ces escrocs, qui réduirait l’offre politique à sa plus simple expression, qui n’est déjà pas bien consistante. Les “petits partis“ de “petits électeurs“ ne s’y verront pas représentés, les manipulateurs auront gagné leur paradis et nous auront confisqué le pouvoir ad vitam æternam.
merci pour cet article qui, pour le moins, pose question. Vous avez abordé le problème de la fiscalité :
"Pour mémoire, il s’agit de la base sur laquelle est assise le calcul
des taxes locales, calcul qui n’a pas été réformé depuis sa création en
1970.
...Des transferts très
importants de charges vont donc se faire de contribuables à
contribuables. Et le petit pavillon risque de coûter très cher à ses
propriétaires en taxes locales."
Au regard de la quasi faillite des départements et bientôt des grandes régions, n ’y a-t-il pas, en plus, le risque de voir son investissement s’évaporer par une débauche fiscale locale, pour compenser les pertes de dotation de l’état ? Les banquiers, eux, empruntent à taux négatif.
Le marché risque de s’éclaircir considérablement, à moins que les propriétaires ne sous-louent une chambre, ce qui risque de s’avérer indispensable, pour surmonter les augmentations de charges que les municipalités ne manqueront pas de nous imposer.