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cyril

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  • cyril 10 août 2015 14:57

    Le système technicien nous englobe pour faire de nous un rouage dans la machine globale.

    Les techno-scientistes (en symbiose avec les militaires) nous impose ces nouvelles technologies sans débat aucun.

    La science est vendue aux industriels pour le dogme de la croissance, de l’emploi.

    Pour faire passer ces chaînes technologiques, nous avons à faire à des manipulations (propagande, communication, etc..) qui nous « montrent » le produit sous l’angle du bien-être.

    Or, la technique n’est pas neutre !

    Nous sommes tous des moutons qui acceptons tout car nous ne pensons plus, n’avons plus de sens critique.

    La tyrannie technologique nous précipite dans un monde de contraintes après le monde du contrôle et de la surveillance.

    La plupart de ces « innovations » sont inutiles. L’innovation n’est qu’un prétexte pour siphonner des fonds publics et asservir encore plus le peuple pour le plus grand profit d’une minorité. Les 2 seules innovations importantes dans l’ Histoire humaine ont été la maîtrise du feu et la vapeur !

    La question essentielle n’est pas d’utiliser ou pas (bien que cela soit très important malgré le despotisme d’Etat et privé qui nous oblige à changer nos façon de faire) ; la question est : doit-on engager des recherches dans tel ou tel domaine ? Pourquoi faire ? Est-ce que cela apporte vraiment quelque chose à l’ être humain ?

    Nous ne sommes pas en démocratie mais en oligarchie techno-scientiste. Donc , ne subventionnons plus la recherche ! Arrêtons ces barbares qui fabriquent un monde froid, rationnel, inhumain, anti-social, destructeur de nos milieux de vie.

    D’aucun ont peur du fascisme ; nous avons déjà le fascisme techno-scientiste ! Le plus gros du travail est fait !



  • cyril 11 mars 2015 19:30

    Que ce soit capitalisme privé ou d’état, le résultat est le même : destruction de notre planète pour faire du fric !!

    Le capitalisme nous entraîne à la catastrophe, basta !

    Vous ne parlez pas non plus de ce que l’on produit et pourquoi faire ?

    Tout cela c’est du verbiage et du pipeautage !

    Le système de production capitaliste nous détruit à petit feu, mais cela vous vous en foutez ! Et ce ne sont pas les timbrés technoscientistes et la soit-disant révolution 2.0 ou autre qui y changera quoi que ce soit !

    Alors, votre actionnariat salarié ou pas, ce n’est que du vent tant que nous ne prendrons pas conscience de l’ineptie de ce système de production !



  • cyril 24 février 2015 19:12

    La question simple est la suivante : est-ce que le système capitaliste est viable ? Non !

    Le capitalisme de type fordiste est arrivé à sa borne historique fin années 60 début années 70. Production de masse et compromis capital-travail.

    Une relance néo keynésienne a alors été tentée par l’administration Nixon pour relancer la machine (taux d’intérêts bas et dette avec comme préalable des taux d’intérêts hauts pour attirer les capitaux étrangers, ceci avec comme présupposé le dollar comme monnaie marchandise délié de l’or afin de pouvoir mondialisé les échanges de capitaux et permettre aux USA de vivre à crédit ). Cela a fonctionné quelques temps. Mais la 3ème révolution technologique déjà en mise en oeuvre (information, communication) a augmenté significativement la productivité et donc sapé le travail vivant.

    Il n’y a que le travail vivant qui produit valeur et survaleur (microsoft par ex réalise ses profits grâce aux licence et au brevets) .

    La bulle internet a bien montré que les nouvelles technologies ne créent pas de valeur supplémentaire dans la globalité d’où l’éclatement de la bulle par manque de production de valeur réelle par rapport au potentiel envisagé !

    C’est pourquoi, les capitalistes se sont retournés sur une valeur bien plus prosaïque qui est l’immobilier (quand l’immobilier va tout va !) avec pléthores de produits financiers qui ont aussi permis de « garer » du capital fictif.

    Jusqu’à l’éclatement de la bulle via les subprimes

    Le contexte aujourd’hui est d’invoquer l’innovation et les nouvelles technologies afin d’essayer de trouver des porteurs d’espoir pour le capital fictif !

    Or, cette quête est vaine car comme dit plus haut, les nouvelles technologies ne permettront jamais de retrouver des masses de valeur comme du temps du fordisme triomphant !

    D’autre part, cette fuite en avant détruit inexorablement notre milieu naturel de vie, engendre des guerres, de la paupérisation.

    Que vous le vouliez ou non, le capitalisme se dirige vers son effondrement !

    La politique néolibérale ou la politique néokeynésienne ne changeront rien à l’affaire.

     Pour le p"tit charles : si l’Allemagne fait des bénéfices, c’est que les autres (proncipalement l’UE, lui achète à crédit ! Donc, l’ Allemagne n’est rein sans les autres et la dette ! Il ne s’agit pas d’incompétence, mais de politique !



  • cyril 3 octobre 2014 15:40

    Ce que ne dit pas R. BRANCHE est que Nous citoyens est un conglomérats de la droite libérale et conservatrice !

    On y retrouve les prédateurs habituels du capitalisme qui ne créent rien, mais exploitent les forces de travail !

    On y retrouve notamment quelques zoziaux des soit-disant PIGEONS, de la manif pour tous, de l’école privée !

    Donc ce collectif est dans la lignée des vautours qui n’en ont jamais assez de rafler les subventions de l’ Etat et de racketer le peuple (le vrai et le seul, celui qui crée les richesses)

    Que vous soyez un inconditionnel de FILLON qui est un salopard comme bien d’autre, cela ne m’étonne pas !

    Aux citoyens d’en bas de vous combattre comme les ennemis que vous êtes !



  • cyril 5 janvier 2014 19:59

    M.Luçon,


    Je suis d’accord avec sur l’analyse globale que vous faites du « passage » aux 35 heures. Cela s’est fait à effectif constant voire moindre avec augmentation de la productivité. Pour bon nombre de filières, cela était infaisable et irréaliste au vu des contraintes (notamment dans les hôpitaux).

    On peut gloser à l’envi sur les fonctionnaires, mais force est de constater que quel que soit le parti, on tient à ses fonctionnaires territoriaux (on embauche par vision électoraliste, népotisme et/ou clientélisme !).

    Il faut aussi prendre en compte le marché de l’emploi interne au pays qui diffère d’une nation à l’autre. Travail des femmes, intérim, CDD, activité partielles, etc.

    Les caractéristiques de la France sont que nous sommes un pays où le travailleur a une des plus grande productivité au monde (ce qui a d’ailleurs entravé en partie la création d’emploi au passage des 35 heures), un plus grand nombre de salariés en intérim, plus de femmes au travail (grâce à la protection sociale !).

    Malgré ce qui est dit, le passage au 35 heures a était producteur d’emplois

    Cependant, l’incurie des « décideurs politiques », le conservatisme des bureaucrates d’état et la forteresse patronal ne permettent pas à notre pays de construire une vision à long terme de baisse du temps de travail.

    Il faut aussi prendre en considération : la durée affichée à la durée effective de travail, la durée d’utilisation des équipements notamment par une nouvelle organisation du travail (2x8, 3x8, etc.), le financement de la RTT. Un salarié est-il productif à plein régime pendant toute la journée ? Je ne crois pas. La productivité baisse à mesure que le temps passe. D’où, aussi, la question de la fatigue, de l’épuisement, du turn-over, de la casse du collectif, etc.

    Le patronat joue sur plusieurs tableaux afin de limiter voire supprimer les effets d’une baisse de la durée du travail avec les dérogations fournies par les lois et l’ assentiment des décideurs sur des pratiques illégales.

    La solution n’est pas de revenir aux 39 heures (payées 35 comme le voudrait M. DASSAULT qui profite allègrement des commandes de l’état). Dans une conjoncture de fort chômage entretenu par les décideurs et le patronat pour faire du chantage à l’emploi et casser les droits sociaux durement acquis, il faut une contestation forte pour généraliser les 35 heures voire moins (je rappelle que c’était une revendication en Allemagne, il y a quelques années). Le temps libre recouvré pouvant être utilisé selon le bon vouloir des salariés.

    Pour une étude poussée et très bien documentée, vous pouvez lire le livre de Gilbert Cette (chef des études macroéconomiques pour le France à la banque de France) et Dominique TADDEI (expert auprès de la commission européenne et de différents gouvernements sur l’aménagement du temps de travail). Le livre s’intitule : « Réduire la durée de Travail, de la théorie à la pratique » 10/1997 au livre de poche. Vous y trouverez l’historique des aménagements de la duré du temps de travail, des études d’exemple par pays (USA, Angleterre, Belgique, Suède,etc. et tout une étude pour la France).

    Ces auteurs sont pour une baisse de la duré de travail dans un cadre concerté et financé.

    Dernier point : pour les profs, comme pour d’autres professions, il na faut pas oublier la nouvelle politique de management issue des pratiques du privé qui font que beaucoup d’ activité chronophages sont venues alourdir le travail de coeur des ces professions, ex : évaluation, entretien avec les parents, mise en oeuvre de projet collectif, etc.

    La question est trop complexe pour la résumé à quelques préjugés hâtivement lancés !



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