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David Fayon

David Fayon

Diplômé de Télécom ParisTech, de l'université Paris VI et de l'IAE de Paris, j'ai débuté ma carrière en 1995 chez Alcatel en tant qu'ingénieur R&D. J'ai développé une triple compétence système d'information/Web, marketing et gestion à travers les postes successifs. Administrateur des postes et des télécoms, je suis à La Poste depuis 2000, d'abord directeur marketing de ColiPoste, puis responsable de l'outil des contrôleurs de gestion à La Poste, je suis actuellement directeur du programme d'innovation ouverte Time To Test.
Outre mon activité professionnelle, je mène une activité de veille active sur le numérique, tant sur les évolutions techniques que sur les usages et les comportements sociaux induits.
Membre de plusieurs associations pour le développement du numérique en France, je suis auteur dernièrement de « Made in Silicon Valley - Du numérique en Amérique » et de « Transformation digitale 2.0 », Pearson et de nombreux articles dans le domaine. Et webmestre du site L'actualité du Web et du numérique. Je peux être suivi sur Twitter (@fayon).

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  • Premier article le 22/05/2007
  • Modérateur depuis le 05/09/2008
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Derniers commentaires



  • David Fayon David Fayon 3 juillet 2007 18:21

    En complément et pour aller dans le sens d’une « mission transverse », l’Atelier a publié le 02/07/2007 une réflexion d’une Commission du Sénat.

    Une commission du Sénat préconise la mise en place d’un commissariat au numérique pour mieux coordonner les initiatives publiques et envisager sereinement les nouveaux défis du numérique.

    A l’occasion des dix ans de l’ARCEP, la Commission des affaires économiques du Sénat recommande la mise en place d’un commissariat au numérique. Ce commissariat rattaché au Premier ministre aurait comme but de chaperonner les initiatives menées par les différents ministères. C’est en tous cas une des préconisations du rapport d’information sur la régulation concurrentielle des télécoms à l’ère du numérique. « Il est urgent de donner un pilotage politique aux services de l’Etat, concernés par le numérique, mais éclatés entre des ministères aux logiques concurrentes », explique Bruno Retailleau, rapporteur du texte.

    Un régulateur félicité pour ses initiatives

    La nouvelle structure permettrait de coordonner les forces et de mener une meilleure politique d’investissement pour rattraper le retard que la France a pris dans le secteur. Selon la Commission, cela ne remet pas en cause le travail effectué par l’Arcep, jugé globalement positif. « La régulation sectorielle a acquis une crédibilité certaine auprès des acteurs économiques ; en outre, cette régulation a été efficace puisqu’elle a permis au régulateur de remplir convenablement ses missions, parfois délicates à concilier », est-il indiqué dans le rapport. Celui-ci souligne ainsi le rôle joué par le régulateur en matière de dégroupage et de couverture du territoire en réseaux mobiles.

    De nouveaux défis en perspective

    Mais aujourd’hui, la convergence du secteur des télécoms et de l’audiovisuel posent de nouveaux enjeux que le régulateur sectoriel ne peut résoudre seul. Ce à quoi il faut ajouter la question de l’attribution du « dividende numérique », qui concerne l’affectation des fréquences libérées à partir de 2008 en raison de la fin de la diffusion de la télévision en analogique. Le rapporteur, qui se prononce contre une fusion entre le CSA et l’ARCEP, envisage plutôt une réorganisation de l’Etat numérique. En effet, pour le moment, l’architecture institutionnelle est trop éclatée. Une meilleure coordination et un rassemblement des forces - chaque ministère dispose de sa cellule orientée nouvelles technologies - permettrait « d’exploiter le manque à gagner de 0,7% de croissance annuelle du PIB dû au retard français dans le numérique ».



  • David Fayon David Fayon 25 mai 2007 12:29

    L’ordinateur à ’100 dollars’ répond à un besoin et a de l’avenir.

    Le parallèle est tentant avec l’automobile. Renault a prouvé avec la Logan que l’on pouvait produire une voiture ’low cost’ répondant aux besoins des pays émergents (et même des pays riches pour les conducteurs ne souhaitant pas une automobile sophistiquée) tout en dégageant de la marge.

    Il pourrait en être de même pour l’ordinateur ’low cost’ pour lequel il existe un marché gigantesque. Les questions sont de connaître :
    - la variable économique (lieu de production et coût associé, coût d’acheminement, coût des composants éprouvés et effet-volume sur la résultante prix, etc.),
    - quid de l’accès à l’électricité dans les pays émergents dont l’ordinateur est tributaire ainsi que de la robustesse à la température par exemple,
    - quid du SAV et de la maintenance en cas de panne,
    - quid de la formation,
    - quid de la politique des PVD pour relayer et appuyer un tel projet séduisant car réducteur de la fracture numérique.


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