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  • dazibao dazibao 16 novembre 2008 09:31

    Les adeptes de l’église de bobologie vous convaincront sans peine, que l’ennemi ne consiste pas en ces bombes concues pour tuer in fine, mais bien les centrales électro-nucléaires françaises...



  • dazibao dazibao 14 novembre 2008 18:23

    Mais avons-nous véritablement le choix ? Le combat anti-nucléaire me parait tellement dépassé eu égard aux nouvelles échéances, qui se présentent à nous. J’en citerai deux : déplétions pétrolière & gazière, changement climatique.

    Au sujet de ce dernier thème, "La revue durable" consacre son dernier numéro aux dégâts causés par les centrales à charbon. Dégâts humains dans les mines de charbon (L’équivalent de plusieurs catastrophes de Tchernobyl chaque année), et dégâts environnementaux, liés aux émissions massives de GES, causées par ces centrales.

    Et là, la position des tenants de l’église de bobologie devient vite intenable. Ils doivent évidemment lutter contre le changement climatique. Donc inciter à renoncer aux centrales thermiques de production d’électricité. Mais par quoi les remplacer ? Des énergies renouvelables ? Pas sérieux. Elles ne représentent à l’heure actuelles, qu’environ 2 % du totale de l’énergie produite, hors centrales hydrauliques (Cf. toujours "La revue durable" n° 31, page 15). Que reste t’il alors comme leviers d’action ? La décroissance de la consommation d’électricité et... les centrales électro-nuclaires.

    Du fait de d’électrisation des moyens de transport à venir (Voitures, transports en commun, vélos,...) ainsi que du mouvement en cours de re-localisation de l’économie, il est peu probable, que la consommation globale d’électricité diminue fortement en Europe occidentale dans les prochaines années.

    Alors...



  • dazibao dazibao 9 octobre 2008 21:58

    Quels cadavres reste-il à découvrir dans les placards US ?


    - L’évolution extrèmement rapide de la dette publique américaine, qui va d’ici à la fin de l’année faire rendre l’âme au dollar US,

    - l’éffonrement des fonds de pension américain, qui, je vous le rappelle, sont contitués d’actions.

    A propos de ce dernier évènement, s’il se produit, comment ne pas imaginer comme "dommage collatéral"à cet évènement, un mouvement de colère des salariés américains, qui voient de la sorte leurs plan d’épargne retraite fondre comme neige au soleil ? Des manifestations ? Une répression ? Et une reprise en main "énergique" de la part de ceux, qui ne veulent pas tout voir s’écrouler ? Une dictature en somme au pays de l’Oncle SAM...

    Riez, riez. Mais dépechez vous, car bientôt, vous pourriez pleurer.



  • dazibao dazibao 9 octobre 2008 06:19

    Oui. En clair : "Demain, on rase gratis"... 

    Comment rebatir une croissance avec une industrie dites-vous dont la retraite des salariés de ces industries est uniquement fonction des cours boursiers (Les fameux fonds de pension) ? Assistera-t’on bientôt à une manifestation de la vox populi demandant des comptes, quant à l’utilisation qui a été faite de LEUR argent ?

    C’est bien, vous êtes optimiste. Mais un conseil quand même, quand vous marchez, regardez ou vous posez les pieds.



  • dazibao dazibao 8 octobre 2008 22:14

    La dette d’un pays n’est pas en soi un problème. La "qualité" de celle-ci dépendra essentiellement de deux facteurs :


    - La capacité de remboursement cette dette, via la capacité contributive de l’économie du pays en question,

    - Les biens ayant été acquis au moyen de cette dette (biens, qui peuvent naturellement contribuer à alimenter la croissance citée précédemment).

    Si ces deux conditions sont réunies, le pays dont on parle bénéfice d’un "effet de levier". Autrement dit, la dette contribue à améliorer son assise économique.

    A l’inverse, quand cette ne finance rien d’autre que du vent, ou des créances pourries (n’ayant aucune valeur de marché), ou des guerres sans fin à l’autre bout du monde, le pays, qui a eu la folie d’agir de la sorte ne possède aucun actif viable, mais rien d’autre qu’une montagne de dettes. Mais tout n’est alors pas perdu. On peut "vendre" cette dette au reste du monde, quand on n’a plus rien d’autre à fourguer. Via les bons du trésor américains. Ou les crédits sub-primes, que l’on cache dans des instruments financiers via la titrisation.

    Et on agit vite à la façon d’un junky. la dette alimente bientôt la dette, uniquement pour continuer à jouir des bienfaits de la société de consommation (Cf. le niveau d’endettement des ménages américains, concurrencé par celui de l’état fédéral). Dette financée par d’autres. Dans le cas d’espèce qui nous occupe (Les états bientôt désunis), ceux qui financent cette dette (pour combien de temps encore ?) sont dans l’ordre décroissant : le Japon, la Chine et la Grande-Bretagne. Vous avez la, le tiercé des pays, qui connaitront le plus de difficultées si les états (bientôt désunis) étaient contraints "déposer le bilan" (Comme l’Argentine dans les années 90).

    En attendant, profitez du spectacle unique (Mais pas gratuit), qui vous est offert par la maison BUSH and C° : la chute d’un empire : celui de l’empire américain (Bon titre de film ça, non ?).

    Alors personnellement, loin de me réjouir de cette perspective, je suis heureux seulement que d’une chose. C’est, que cette crise mette en exergue un nouveau principe : celui de réalité. Fini la croissance basée sur endettement dont la contrepartie est inexistante. Il faudra revenir à un système monétaire gagé sur quelque chose de concret (Or, ou d’autres biens matériels). La confiance, on le voit actuellement, n’est pas un gage suffisant pour bâtir une économie solide.

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