La référence fondamentale du sociologue Antoine Courmont mériterait d’être développée : « La
donnée est le couronnement provisoire d’une série d’approximations sur
laquelle nous nous accordons pour représenter un phénomène »
Soyons fou, est-ce que je fais fausse route en affirmant : aucune règle d’évolution de la représentation numérique du réel ne peut prétendre anticiper l’évolution du réel.
Puisqu’il en est ainsi, je demande à être enterré avec ma voiture pour qu’elle me conduise droit dans les voies de l’au-delà. Ainsi faisaient les Scythes.
Merci pour cette réponse assez complète. Il faudrait ajouter des considérations techniques sur la sécurisation de ces PME.
On devrait harceler nos banquiers-décideurs avec ces questions, en prévision du jour où ils voudront nous faire gober le vote électronique. Si on creuse, je pense qu’on trouve dans les deux cas des séquences électroniques qui mettent la machine en défaut : validation de faux votes ou acceptation de fausse monnaie, de mémoire je dirais que ça passe par des astuces semblables pour utiliser les failles des protocoles. En résumé : j’accepte le vote électronique le jour dans un monde où le PME sera sûr.
La réponse à votre question explicite, c’est pour sûr la même que la réponse à la question implicite que je vous posais. Coluche aurait dit « merci de l’avoir posée ».
Un indice vers la réponse : on a fortement incité les gens à utiliser leur CB, et les naïfs (dont j’ai été) ont pensé que les banques voulaient promouvoir un système qui leur coûtait moins cher que les chèques. Ces naïfs n’imaginaient pas que super-banquier avait d’autres ambitions que de jouer son rôle de facilitateur de transactions.
Vous qui savez comment ont évolué les dispositifs par lesquels on réalise des transactions monétaires, pouvez-vous me confirmer ce que dit wikipedia, à savoir qu’1,3 milliards de personnes utilisent un porte-monnaie électronique.
Parce que mon conseiller financier a pas l’air au courant.
remarque : post inspiré par ce que dit troletbus plus haut.