eau-mission

@Fanny

Bon, laissons @rosemar faire le taf. Un qu’avait pas été voir à l’académie m’avait dit qu’il s’agissait d’un « a » privatif (« a priori » ayant alors un sens proche de « sans préjugé »).

C’est un prof de maths qui m’a dit de m’arrêter d’entretenir l’exception sur le deuxième accent d’événement, d’écrire évènement sans complexe, car d’après lui c’est un typographe à court d’« è » qui a introduit cette pseudo-exception dans le dictionnaire.

Pas d’accord sur la rancune des récalés des grandes écoles. Perso j’ai raté 2 fois l’X et je sais pourquoi. Si bien que je reconnais pour ce qu’elles sont les qualités de ceux qui ont réussi (ayant suivi les mêmes programmes qu’eux), et ne me reconnais pas dans votre description.

C’est surtout la manie de créer des barrières entre les gens qui est critiquable. Une autre critique valable, c’est le côté « bachotage » des classes préparatoires. On m’a dit aussi qu’à l’occasion de la cérémonie de remise de diplôme à l’X, il fallait pas mal de sens critique pour ne pas se sentir enrôlé dans le corps d’élite. C’était avant le discours halluciné de L.Alexandre.

@Octave Lebel

Veuillez excuser l’interlocution d’un pseudo à qui vos attaques continues contre le RN ne font ni chaud, ni froid : la petite entreprise LePen n’a jamais eu ma faveur.

Que répondez-vous aux accusations d’Asselineau concernant les votes de JLM au parlement européen (erreurs fréquentes de bouton) ?

Bien vu.

Dans le temps, vous avez phosphoré sur le projet Désertec. Avez-vous une opinion sur la culture d’algues en mer ? Je suis étonné de voir pousser des ombrières dans mes collines, et disparaître les voiles à l’horizon.

@njama

Pour les nuages, je voulais rappeler la nécessaire méfiance des résultats des modèles, à partir du moment où la réalité simulée devient un peu complexe.

J’avais un oncle ingénieur et pas peu fier de sa science, il ne jurait que par l’ostéopathie. Perso, je raconte urbi et orbi que seul un bon acupuncteur a su me soulager d’une sinusite printanière invalidante. Ce qui relève de la magie, c’est que la médecine officielle arrive à occulter les succès de ces thérapies.

Il faut dire qu’après l’acupuncteur qui me guérissait durablement, j’en ai consulté 10 autres qui au mieux me soulageaient quelques jours. Ces profiteurs servent la cause de l’allopathie.

Bref, il va falloir m’instruire si je veux justifier mon pseud’eau. La dame a la modestie de dire que toutes ces histoires de cohérence permettent de fournir des pistes d’explication de l’efficacité des techniques de soin alternatives. De son exposé je retiens la mise en cohérence des spins de molécule d’eau liées à un même support (même si je n’ai pas localisé le récalcitrant qui se maintient longtemps en opposition de phase). Et que le phénomène de cohérence se retrouve à des niveaux d’organisation supérieurs à la molécule.

A y réfléchir, je ne vois jamais le rôle de l’eau évoqué dans les quelques schémas biologiques inclus dans la culture scolaire de base.

@Durand

A vous lire, j’imagine que M.Scipion vous aimait, lui qui parle de paysans instruits.
L’autre fois, j’ai lu avec intérêt le plaidoyer pour la forêt d’un agronome que vous nous avez soumis ; cette fois, 40 pages très spécialisées ... Ce sera bien si vous arrivez à placer ces points de vue dans la perspective du « viol du sacré ».

« Mon » Marcel était trop cajolé par les femmes pour que ma proposition de lui servir de scribe ait une chance d’aboutir. Etant marchand de chevaux et étalonnier, sa famille était au coeur des évolutions du monde paysan, allant du journalier au boucher en passant par le meunier et sa femme. Saviez-vous que l’élevage de mules a perduré le temps que les tracteurs ne mettent plus le feu à la forêt ?

Le pseudo @Aristide n’a pas relevé mon incitation à nous rejoindre. Pour l’ICHN, je mettrai dans un coin du réseau une anecdote professionnelle qui incite à penser que l’administration de l’agriculture a pris le parti de transférer les décisions à l’agro-industrie. On ne peut acquérir cette conviction sur un exemple, d’autant plus que les non-dits sont nombreux dans le mode agricole.