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Emmanuel Guillot

Emmanuel Guillot

Journaliste et auteur, j’ai étudié deux ans les Lettres modernes à l’Université d’Aix-en-Provence avant de suivre une formation à l’Ecole Supérieure de Journalisme de Paris (ESJ).
En 1996 je débute en tant que secrétaire de rédaction dans un magazine d’insertion des travailleurs handicapés avant de m’orienter vers la critique de jeux vidéo, aussi bien sur PC que sur console. Mon parcours m’a conduit notamment à devenir chef de rubrique du magazine PC Team. Mon premier roman de science-fantasy, Le Souffle d’Aoles, est à commander sur mon site : http://emlguillot.free.fr/

Tableau de bord

  • Premier article le 08/08/2006
  • Modérateur depuis le 04/10/2008
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Derniers commentaires



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 9 août 2009 13:02

    Bonjour Objectif,

    Vous avez l’Espresso Book Machine (EBM) : http://www.ondemandbooks.com/hardware.htm

    Je crois que son prix la met pour l’instant hors de portée de la plupart des libraires, mais Pierre Assouline, sur son blog, avait rédigé un intéressant article à ce sujet : http://passouline.blog.lemonde.fr/2009/05/16/demain-les-livres-seront-inepuisables/

    Enfin, si vous cherchez aussi un moyen de diversifier vos activités de libraire, sachez que la librairie Kleber de Strasbourg s’est mise à vendre des livres électroniques et des livres audio sur son site : http://www.librairie-kleber.com/livreldetail.php?ean=9782916546315

    A noter que j’ai moi-même mis en place un site de vente de livres électroniques : www.babelpocket.fr



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 5 octobre 2008 22:34

    @radix : "un livre papier est mille fois plus écologique qu’un e-book ! Le bois est une énergie renouvelable, pas les plastiques qui servent à la fabrication de ce "machin". "

    Pour pouvoir affirmer ceci d’une manière définitive, il faudrait savoir en moyenne combien de papier va faire économiser un e-book. Par ailleurs, le papier n’est pas le plus polluant dans un livre : c’est bien l’encre qui est l’élément le plus polluant.

    Enfin, ce qui est applicable en France, la gestion des forêts et la replantation, ne doit pas être forcément applicable, en tout cas pas dans les mêmes conditions, en Chine. La densité de population y étant incomparablement plus élevée qu’en France, l’impact de la production de livres papier doit être beaucoup plus difficile à compenser par des replantations. Il paraît donc logique que le gouvernement chinois se soit lancé dans la production d’e-paper de masse.
    Par ailleurs, jusqu’à présent, aucun pays ne s’est lancé dans la production d’e-paper à grande échelle. Pour qu’un marché qui n’a pas été préalablement duement sondé et étudié soit exploité à ce point, il faut à mon avis qu’il y ait urgence économique ou écologique, voire les deux.

    @Dominique : concernant "l’industrie qui a envie de s’en mettre plein les poches" avec les lecteurs d’e-book, il me semble qu’en France, sur ce terrain on avance au mieux à reculons. Moi, ce que je trouve dommage, c’est que quand j’achète un livre papier, je rémunère seulement à 40% au grand maximum le binôme éditeur/auteur, qui représentent à mes yeux la création littéraire. Le reste part vers des intermédiaires comme le libraire/ la grande surface, le diffuseur ou le distributeur. Et pour dire le fond de ma pensée, je trouve dommage qu’en 2008, l’auteur en soit encore réduit à 10% en moyenne de droits d’auteur.

    Je ne dis pas que l’e-book va remplacer le livre papier, simplement qu’il peut fournir une alternative intéressante, que ce soit pour l’amoureux inconditionnel d’un auteur finlandais qui va acheter l’e-book en version originale bien avant qu’il ne soit traduit en France, ou l’étudiant aux fins de mois difficiles qui va acheter par ce biais un roman moins cher qu’il ne l’aurait payé en version papier, tout en rémunérant beaucoup mieux les créatifs sans lesquels l’oeuvre n’aurait pu voir le jour.




  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 4 octobre 2008 18:00

    Petite rectification par rapport à la phrase : "En france, le prêt d’e-book a déjà commencé dans les bibliothèques". L’information n’est pas exacte, il fallait lire : "une expérimentation de prêt de lecteurs d’e-book s’est déjà mise en place à la bibliothèque universitaire d’Angers "

    @asp explorer : intéressant, ton article sur ton blog, mais comparer les lecteurs d’e-book aux dirigeables ou même aux visiophones ne me paraîtra pertinent que lorsque les prix des lecteurs d’e-book auront diminué, ou bien quand on s’apercevra que la technologie restera toujours trop onéreuse, ce dont je doute. En effet, si les prix des lecteurs d’e-book diminuent, disons à 60 euros pièce et qu’ils ne se vendent pas, on pourra parler d’échec. Pas avant. 

    Pour l’instant, je connais des personnes qui possèdent un lecteur d’e-book, mais ils ne sont pas représentatifs de la population : ce sont soit des professionnels de l’écriture, soit des blogueurs très portés sur la technologie. En effet, le lecteur d’e-book, ou liseuse électronique, est encore trop cher. La bonne nouvelle, c’est que ce n’est pas une fatalité. La seconde bonne nouvelle, c’est que les lecteurs d’e-book, comme l’ont fait les lecteurs de MP3, vont rendre le livre moins cher. C’est pourquoi, à mon avis, ils ont de l’avenir. Leur avenir n’est peut-être pas une autoroute comme les lecteurs de MP3, c’est peut-être une route plus étroite et sinueuse, car les gens mettront du temps à prendre conscience de la richesse textuelle d’Internet, de l’avantage de pouvoir communiquer à un collègue de manière quasi-instantanée un livre libre de droits que l’on a aimé, ou bien simplement le texte d’un blog, de l’énorme gain en confort de lecture que représentent les lecteurs d’e-book par rapport à la lecture sur écran d’ordinateur, des gains sur les frais médicaux dûs à des scolioses pour les enfants surchargés de livres, etc.

    Ce qui est encore incertain, c’est quel format de lecteur d’e-book va l’emporter. Qui va créer le prochain I-Pod ou I-Phone dans ce domaine ? Est-ce que la technologie de l’encre électronique va être transposable très rapidement sur ordinateur, rendant obsolète le lecteur d’e-book en lui-même - mais évidemment pas la lecture sur écran ? Que tous ceux qui dénigrent les lecteurs d’e-book réfléchissent à ceci : combien de temps passent-ils par jour devant leur écran d’ordinateur à lire du texte ?

    En conclusion, je dirais que le lecteur d’e-book deviendra indispensable s’il est pratique, confortable et qu’il fait gagner du temps et de l’argent à ceux qui l’utilisent. Pour l’instant, seules trois de ces conditions sont réunies, ce qui est insuffisant. Mais les choses évoluent.



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 30 septembre 2008 23:56

    En France, il y a déjà un collectif d’auteurs vendant des livres de fantasy, Science-fiction et Fantastique sans DRM en format PRC (le plus adapté aux lecteurs d’e-book) sur le site Babelpocket.fr. Les e-books, ou livrels, y sont vendus entre 2 euros et 8 euros (au maximum).

    Selon la revue Médias, en Chine, la production de masse a démarré et devrait faire baisser les prix des lecteurs d’e-book, encore trop chers il est vrai. La Chine prévoit pour 2012 de remplacer tous ses manuels scolaires par des e-books, pour des raisons à la fois économiques et écologiques.

    Demandez-vous une chose : quand vous achetez un livre papier, quelle est la part de création littéraire que vous payez ? Quelle est la part de transport ? De stockage ? De marge libraire ? De rémunération des diffuseurs ? Si le couple auteur-éditeur arrive à 40% du prix du livre, c’est un grand maximum. L’e-book va permettre de remettre les choses un peu à plat et de faire aller l’argent là où il doit vraiment aller : à la création.



  • Emmanuel Guillot Emmanuel Guillot 20 novembre 2007 19:44

    Tout dépend qui effectue la vérification. Je vois mal un écrivain public céder ses droits sur une oeuvre cohérente de 500 000 signes ou plus. Il ne le ferait pas gratuitement, en plus.

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