Eric F

@Montdragon
Des variations -considérées comme brèves à l’échelle de l’histoire- sur quelques centaines d’années sont une chose,
des variations de même ampleur qui s’opèrent en quelques décennies sont d’une autre nature.

Effet du CO2 ou pas ? En tout cas, une augmentation de 40% de la teneur de CO2 dans l’atmosphère en 150 ans ne s’était jamais produite, supposer qu’une telle ampleur n’aurait strictement aucun effet, alors qu’il y a concomitamment un réchauffement rapide ...disons que la probabilité d’une « coïncidence fortuite » semble improbable.
Mais quelle est la gradation, entre le catastrophisme apocalyptique et la négation totale ?

@Francis, agnotologue
« moins de 1% des décès attribués au Covid sont réellement dus à cette cause »

Il faudrait voir qui a effectué cette étude et ce qu’elle expose vraiment. S’il s’agit du fait que, dans leur échantillon, 99% des personnes décédées du covid ont aussi d’autres pathologies (comorbidités), cela rejoint une étude québécoise qui avait relevé des comorbidités chez 97% des personnes décédées.
Une confirmation que ce sont généralement des personnes déjà fragilisées qui décèdent de cette maladie, comme dans le cas de certaines autres maladies virales. Mais ces déficiences ou pathologies ne sont, la plupart du temps, pas en elles-mêmes facteur de mort imminente.

Zemmour est en train d’occuper le terrain et faire de l’ombre aux « petits » candidats anti-système ou alternatifs (dont NDA et Philippot), sans que l’on sache s’il ira vraiment jusqu’au bout. S’il est candidat, la question sera de voir a qui il causera le plus de tort, mais pour l’instant Macron prend le large...

J’ai écouté le début puis quelques séquences : pas trouvé intéressant. Leurs positions sont connues, on n’a rien appris. Zemmour est plus auto-caricatural que jamais, et Mélenchon n’est plus aussi éloquent que naguère. Vinaigre blanc contre vinaigre rouge....

@Captain Marlo
« pour Macron en campagne tous les jours, son temps de parole devrait déjà être épuisé, non ? »
D’accord sur ce point, et en outre il achète de la popularité en distribuant les milliards du « quoi qu’il en coûte » là où il passe. 
A son arrivée au pouvoir, il avait mégoté de 5 euros le montant de l’APL pour économiser quelques millions alors que le déficit budgétaire était pourtant faible, mais depuis deux ans il creuse la dette à la pelleteuse, avec un déficit budgétaire abyssal.