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Et hop !

Et hop !

Je suis un-e-s chien-ne-s et je suis agent-e-s titulaire-e-s de l’administration pénitentiaire. 

Je suis militant-e-s syndical-e-s et très intéressé-e-s par la théorie du gender.

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Derniers commentaires



  • Et hop ! Et hop ! 14 avril 15:28

    @Jules Seyes

    Le but des USA était de couper complètement les relations commerciales entre les pays de l’UE et la Fédération de Russie, accessoirement de remplir leur carnet de commande d’armement.

    Ils ont parfaitement réussi leurs deux objectifs, donc ils ont gagné leur guerre.

    Ils ont gagné la guerre tant que le commerce ne sera pas rétabli entre Europe de l’Ouest et Russie, et que les pays de l’OTAN emprunteront des dizaines de milliards de dollars à leurs banques pour acheter à leurs entreprises des armes de guerre, chasseurs, et autres missiles, en faisant croire qu’il y a un danger d’invasion russe.

    Nos ennemis contre lequel il faut nous défendre, c’est l’empire prédateur anglo-américain.



  • Et hop ! Et hop ! 13 avril 22:51

    @rosemar : «  je-prefere-aller-en-prison-ces-russes-qui-se-cachent-pour-ne-pas-combattre-en-ukraine-4142633  »

    Vous relayez des informations sans réfléchir, en Russie il n’y a pas de mobilisation comme en Ukraine, donc personne n’est obligé d’aller dans l’armée, leurs soldats sont uniquement des volontaires qui présentent leur candidature.

    Et ils ont trop de volontaires qui se présentent.



  • Et hop ! Et hop ! 12 avril 09:42

    @Michel DROUET

    Il me semble que la répartition des compétences du préfet et du maire est déjà définie depuis longtemps, le premier succède aux intendants, le second existe depuis le Moyen-Âge, avec recours pour abus de pouvoir devant le juge administratif, appel devant la Conseil d’État (anciennement Conseil du roi).

    Elle est territoriale (pas de subvention pour un village africain), et fonctionnelle (police, urbanisme, hygiène, sécurité, scolarisation, défense civile, transports, environnement, monuments historiques,..).

    Au niveau départemental il faudrait mieux articuler les compétences entre la préfecture et le Conseil général. Mieux définir les compétences fiscales et financières entre l’État, le département et la commune. Il faudrait développer l’usage du référendum au niveau départemental et communal, favoriser les législations particulières locales, comme en Suisse. Il faudrait réautoriser les frontières, les villes closes et les péages.

    Ce ne sont pas les régions mais les départements qui sont les territoires historiques, ethniques. Ils sont en gros les anciens diocèses, qui étaient les anciennes cités gauloises, et les préfectures leurs anciens chef lieux : il faudrait leur rendre leur nom ethnique remplacé sous la Révolution par des noms de géographie physique.
    Par exemple le département de la Vienne est l’ancien Poitou, ancienne cité des Pictons, chef lieu Poitiers ; la Charente-Maritime l’ancien Saintonge, ancienne cité des Santons, chef-lieu Saintes ; l’Aveyron, ancien Rouergue, ancienne cité des Ruthènes, chef-lieu Rodez ; la Haute-Marne, ancienne cité des Lingons, capitale Langres ; le Morbihan, ancienne cité des Vénètes, capitale Vannes ; la Loire-Atlantique, ancienne cité des Namnètes, capitale Nantes.



  • Et hop ! Et hop ! 11 avril 18:13

    @L’apostilleur : « ...  qui équilibre la richesse des territoires ... »

    Ça veut rien dire.

    La multiplication des échelons territoriaux a multiplié le nombre de commissions, de conseils, d’administrations, de décideurs, d’indemnités, de fonctionnaires, de presataires extérieurs (conseil, communication,..), rendu invisibles les décideurs et rendu opaques les décisions, augmenté le gaspillage d’argent public et la corruption.
    Il faut revenir aux trois échelons territoriaux : État, Département, Commune,
    et supprimer tout le reste :
    Agglomérations,
    Intercommunalités,
     Bassins d’emplois,
    Union européenne,
    Communautés de communes, 
    Districts,
     Pays,
    Communauté d’aglomération,
     Régions (sauf missions interdépartementales très précises),
     Super-régions,...

    Permettre la création de syndicats et de commissions intercommunales ou interdépartementales sans personnalité juridique, ni locaux ni personnel permanent pour gerer des questions précises le nécessitant : eau, transports ferroviaires, culture,..

    Remettre dans chaque préfecture et sous-préfecture toutes les directions administratives (DDE, DDA, DASS,..), avec tous les tribunaux (civils, pénaux, prudhommes, commerce,..), et dans chaque chef lieu de canton tous les services publics (hôpitaux, gendarmeries, postes, impôts,..).

    Planifier une décroissance des grandes agglomérations et une répartition des populations dans les départements villes de provinces. 

    Supprimer tous les députés et sénateurs sauf 1 de chaque par département (ce qui fait 200 en tout au lieu de 1000). Mieux les indemniser et les obliger à participer en personne à toutes les séances et à tous les votes. 



  • Et hop ! Et hop ! 10 avril 12:58

    @Fanny : «  Mais la loi, c’est la loi, sinon c’est le bordel. »

    Je suis bien d’accord, c’est pour ça que j’ai commencé mon commentaire par ce liminaire : «  Les préconnisations de l’Académie font autorité, mais leur justification est vraiment stupéfiante. »

    On trouve : « Les deux orthographes sont correctes mais « autant pour moi » et « au temps pour moi » ont des sens différents.

    L’expression « autant pour moi » peut être reformulée par « la même chose pour moi ». Par exemple, si une personne commande trois choses et que vous souhaitez la même chose, vous direz « autant pour moi ».

    « Au temps pour moi » s’utilise lorsque l’on admet une erreur ou une maladresse. Cette expression serait d’origine militaire : l’expression « Au temps ! » est prononcé lorsqu’un soldat fait une erreur dans un mouvement. Il doit alors recommencer.

    Lorsque l’on se trompe, on dit alors « au temps pour moi ! », autrement dit « j’avoue mon erreur et je vais reprendre les choses depuis le début. » (c’est pas du tout le sens, on ne recommence rien quand on reconnaît qu’on s’est trompé, par exemple en disant »Il va pleuvoir demain.« et le lendemain on vous fait remarquer qu’il fait beau)

     » Plusieurs linguistes comme Maurice Grevisse ont contesté cette orthographe et son origine militaire. Certains soupçonnent aussi une parenté avec l’expression anglaise « so much for (X) », qui se traduit par « autant pour (X) » et exprime l’échec de (X).

    D’après l’outil d’analyse Google Ngram (qui scanne tous les livres numérisés par le géant du Web), « autant pour moi » est boen attesté en littérature depuis 1700, avec deux pics en 1760 et 1800, alors qu’« au temps pour moi » est inexistant ou rarissime jusqu’aux années 1990. Ces chiffres sont toutefois trompeurs, puisque Ngram recense aussi des phrases comme « tu en ferais autant pour moi » ou « arrête de te tracasser autant pour moi », qui n’ont rien à voir avec notre locution.

    L’expression avec la graphie « au temps pour moi » apparaît dans la littérature tardivement, seulement à partir de la première moitié du XXe siècle (chez Roland Dorgelès en 1923). C’est pourquoi certains spécialistes de la langue française mettent en doute son antériorité sur l’expression « autant pour moi ». 
    La date du premier usage de la graphie « autant pour moi » reste mystérieuse. Toutefois, une mention ancienne a été trouvée en 1640, dans Curiositez françoises pour supplément aux dictionnaires, d’Antoine Oudin qui signale la locution « autant pour le brodeur » signifiant « raillerie pour ne pas approuver ce que l’on dit ».

    Commentaire de l’auteur du site Linguiticae (qui déteste l’Académie)

    https://www.lalanguefrancaise.com/orthographe/autant-au-temps-pour-moi

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