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Florence Signoret

Florence Signoret

Rédactrice aux mille passions, dont la première est celle d'Apprendre !
De la (géo)politique, aux sujets sanitaires, jusqu' à l'Art, sous toutes ses formes, le besoin de connaître et de comprendre est partout !
Avec un credo : l'humour, qui, plus qu'une politesse du désespoir, se révèle une philosophie de Vie ... Rire pour "mieux" vivre ! Car, comme dirait Woody Allen :"Tant que l'homme sera mortel, il ne sera jamais décontracté".

Tableau de bord

  • Premier article le 27/02/2007
  • Modérateur depuis le 21/02/2008
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Derniers commentaires



  • Florence Signoret Florence Signoret 7 mai 2007 01:46

    Bravo, Koz, pour votre excellent article de rectification de la vérité sur une hérésie révoltante du débat télévisé Ségo-Sarko, qui m’a scandalisée autant que vous, par rapport à cette fausse et répugnante colère de la candidate socialiste, qui pensait peut-être que les français allaient se contenter de son abérrante colère sans vérifier si elle était fondée. Comme je n’ai pas eu le temps et (je n’aurais pas mieux fait que vous au niveau de l’argumentation et du ressenti sur ce passage du débat) je me suis permise de mettre votre article sur mon blog politique http://poli-tics-et-toc.blog.20minutes.fr en prénant soin de citer votre nom . Mille merci d’avoir fait un tel rapport sur le scandale du débat... qui coûtera des points à Mme Royal ! smiley Une rédactrice d’Agoravox



  • Florence Signoret Florence Signoret 30 mars 2007 02:23

    A Arnaud,

    Génial, génial, génial...non pas, parce que vous faites référence à mon article smiley... qui fait pâle figure, du coup, à côté du vôtre ! Mais le fond, la forme, l’illustration, sont un vrai bonheur à lire et à regarder... et je partage tellement, évidemment, cette analyse ! Mentions spéciales pour l’introduction percutante (après le chapeau) de l’article où tous les mots renvoient satiriquement à un pseudo « film de science-fiction et d’horreur (... »le bébé installé sur les genoux"...) à la fois tellement vrai. Percutant !!! J’adore. Comme le paragraphe sur la « certaine Julie » et si je dois, à mon tour, vous citer, à propos d’une des nombreuses phrases, qui me touchent le plus, ce serait, entre autres, celle-là :« le risque n’est-il pas grand d’accomplir son chemin dans un système que l’on questionne peu, dont on accepte à priori les dérives et les travers comme inéluctables... » Merci. Et les compliments ne courent pas les rues virtuelles chez moi smiley. Au plaisir de vous lire à nouveau... Florence



  • Florence Signoret Florence Signoret 29 mars 2007 01:58

    A l’auteur,

    Tout à fait d’accord avec vous, voici mon avis voisin du vôtre !

    Une femme au Parti Socialiste, candidate à la Présidentielle ? Qui donc ? ... Madame Royal ! Celle qui persiste, signe et graverait presque sur le pupitre électronique d’Arlette Chabot, dans l’émission « A vous de juger », « qu’elle est contre l’assistanat », (« aucun soutien sans contrepartie ») déclinant cette phrase, aux antipodes de la gauche, dans toutes les autres prestations politiques audiovisuelles. Madame « Gagnant-Gagnant » (la belle formule incantatoire n’aurait-elle pas pour but d’influencer inconsciemment les esprits, comme un programme-message subliminal pour gagner, elle, en premier lieu, ces élections présidentielles), optimise un « donnant-donnant », loin de tous les clichés socialistes « cosmico-ancestraux. Ségolène Royal est à la gauche de la droite, ce qui nous donne en géométrie, le centre, et en politique, Monsieur Bayou !

    Ne soyons pas « bêtes » :

    Le : furet Royal est passé par ici, et repassera par là . Pendant que le renard Sarkosy guette sa proie, tout en levant, à chaque instant, les yeux vers l’aigle Le Pen . Et, l’on s’étonne, après cela, du score de l’impassible tortue (Ninja), Nicolas Bayrou ! Humanisons et déchiffrons la fable, que le poète Jean de La fontaine aurait eu un malin plaisir à écrire : François Bayrou, est le seul individu à bénéficier d’un jeu de cartes politiques, incroyablement mélangées, où les joueurs étonnent et détonnent, bluffent les électeurs, depuis le début de cette campagne.

    Monsieur Bayrou est le « ramasse-miettes » électoral des cartes qui ne sont pas clairement estampillées de droite ou de gauche, à l’instar du clivage classique « paléolithique » ! « Magic Bayrou » ne trouve la force de son nouveau pouvoir, que dans la faiblesse des valeurs politiques traditionnellement opposées, qui, aujourd’hui, flirtent ensemble, se font la cour dans cette cour présidentielle. UMP, FN, PS, chacun fait de l’œil et du pied au parti qu’il dit et se doit de condamner. Avant, cela se passait en coulisse. Là, c’est : « demander le programme ! » ; il est clairement confus ou confusément très clair :

    - Madame Royal, qui l’a encore répété à la télévision, est pour une société « contre l’assistanat », « de la responsabilité », où le RMI, par exemple, ne se donnera non sans contrepartie (pour Sarkozy aussi, rappelons-le, la contrepartie étant une activité au sein de la société). De plus, Madame « Gagnant-Gagnant » réitère son action « de solidarité et d’efficacité politique » avec, entre autres, une régularisation au cas par cas des immigrés en situation irrégulière, comme son voisin de palier UMP...
    - Monsieur Sarkozy, ensuite, sort de son château présidentiable en construction, un « appartement », dont les cloisons sont en papier-cigarettes avec celui du FN, lorsqu’il entend créer le Ministère de l’Immigration et de l’Identité Nationale, s’il est élu !
    - Monsieur Le Pen, quant à lui, choqué, révoque, à travers la voix de sa fille, Marine, l’idée d’un tel Ministère, dont la teneur a pourtant toujours été son fond de commerce, jouant les vierges effarouchées, en brandissant le drapeau de « la prétention » de Monsieur Sarkozy, se demandant sur quel critère ce dernier, pouvait décider du sort de celui qui méritait, ou pas, l’identité nationale !

    ... La politique en ce moment : le meilleur antidépresseur qui soit

    De la fable à la farce :

    Au jeu des quatre familles : je demande le « parrain », Nicolas, qui a la mainmise sur une grande troupe de filleul(e)s adroit(e)s, qui jouent eux-même, à un autre jeu dangereux (mais jeu de mains, jeu de vilains) : à vouloir chiper les petits-enfants du « grand-père » de la deuxième famille, Jean-Marie, Nicolas va se brûler les doigts ! et les voix. La famille de droite ne reconnaît pas la famille de l’extrême droite... donc ne se reconnaît plus dans cette famille UMP, et est tentée d’aller dans une autre famille.

    Dans le rôle de la « sœur (jumelle d’idées) du parrain », je demande Marie-Ségolène, reine élue de la troisième famille, la tribu de L’Ancien, (François...Mitterand !), qui chipe, elle aussi, les filleul(e)s de Nicolas, en leur faisant les yeux doux et les mots durs (le drapeau tricolore, maintenent !)...Mais la famille de gauche ne reconnaît pas la famille de droite, donc ne se reconnaît plus dans cette famille PS, et est tentée d’aller dans une autre famille. « Le grand-père » Jean-Marie, et sa « fille », Marine, (la cousine du « parrain »), rassemblent toujours les laissés pour comptes, en rejetant toutes les familles étrangères, mais en adoucissant leurs discours, un peu à court d’idées.

    Ce qui nous amène, au final, à la (fameuse) quatrième famille, que l’on nomme UDF, dirigée, par le paysan du Béarn, le « frère ennemi » (de tous), François, qui tire son épingle, voire son poignard, du jeu, et égratigne toutes les familles au passage, en accueillant, les bras ouverts, les déçu(e)s de ces dernières, et les « cocufié(e)s des adultères » de leurs chefs !

    Florence SIGNORET



  • Florence Signoret Florence Signoret 18 mars 2007 15:58

    mais aussi, « l’option sirènes » dans les portables !...on y viendra ! Patience, Tall.



  • Florence Signoret Florence Signoret 18 mars 2007 12:32

    Par contre cher Tall, si je rajoute des « r » partout...toi tu les oublies ? (mare ou marre)...tu manques d’air, l’ami ! smiley

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