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franc3704

Marié, 4 enfants.
Ingénieur agronome.
Retraité.
citoyen engagé.
ancien Maire.
président d’association pour la promotion et la commercialisation des produits du commerce équitable.

Tableau de bord

  • Premier article le 24/04/2007
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Derniers commentaires



  • franc3704 7 mai 2007 10:18

    Déjà cocus ! il parait que 60% des ouvriers et employés, et une majorité de jeunes ont voté SARKO ; pour leur marquer sa reconnaisance SARKO a consacré 1/4 d’heure de son précieux temps au peuple de France à la concorde et le reste au fouquet’s ou en boîte de nuit avec ses amis friqués du show-bizz et du monde des affaires. Toujours à l’écoute notre SARKO national !



  • franc3704 5 mai 2007 15:30

    NON, Sarkosy ne sera pas un président comme les autres. Comme Ségo si elle est élue, ils feront ce qu’ils ont dit. Cette élection a été celle de la rupture. C’est pour cela que j’ai essayé de prendre du recul et de piocher, dans l’histoire du siècle dernier, ce que cela fait un candidat qui, élu, fait ce qu’il a dit ! En allemagne entre 1930 et 1932, bien que leurs bases souhaitaient un front uni, les dirigeants communistes accusant les sociaux-démocrates d’être des « sociaux-fascistes » et les dirigeants sociaux-démocrates refusant le « diktat de Moscou », aucun contrepoids politique n’a pu se mettre en place face à la poussée fasciste. En janvier 1933, Hitler était nommé Chancelier. On connait la suite ! Au soir du 6 mai, je ne serai pas dans le camp de ceux qui ont, peu ou prou, contribué à l’élection de Sarkosy dont tout le monde sait qu’il ne sera pas là que pour 5 ans. Le pire n’est pas certain mais je ne prends pas le risque. De toute façon on aura, au minimum, une politique néo-libérale assise sur le capitalisme financier qui le parraine. Ne nous faisons pas d’illusion, l’élection de Sarkosy conduira à une assemblée nationale bleu-horizon. Un signe, l’arrivée en masse des élus UDF derrière Sarko. Le peuple hypnotisé par Sarko, comme la souris devant le cobra, lui donnera les moyens de sa politique. Quant au 3ème tour social, ................. ! Le 2ème tour des législatives est le 17 juin et aprés, ce sont les vacances, période préférée des dirigeants pour faire leurs mauvais coups. En septembre, l’état Sarkosy sera en place pour 10 ans, au moins ! Au fait, avez-vous remarqué qu’il ne parle jamais de république mais de nation : çà ne vous intrigue pas ?



  • franc3704 26 avril 2007 18:31

    Il est tout à fait impressionnant de comparer les méthodes Sarko et Ségo pour ce deuxième tour. Sarko qui annonce à tous vents qu’il ne négociera rien, qu’il ne fera pas de pression, ...... Et on constate un certain nombre de ralliements, comme par hasard, d’élus qui ont un besoin impératif de l’UMP pour être réélus ! Et un refus de discuter en public avec Bayrou, comme si ses électeurs du premier tour comptaient comme quantité négligeable. Et, pour couronner le tout, il compare les présidentielles à un tournoi de foot ! Ségo ne négocie pas de ralliements en catimini et le débat avec Bayrou va se faire en direct à la télé devant tous les électeurs car ceux qui ne pourront être sur canal à ce moment là verront, forcément, les moments les plus intéressants du débat, aprés ! D’un côté la méthode des Hauts de Seine héritée de Pasqua, champion des coups tordus. De l’autre la méthode des débats participatifs transposée au plus haut niveau du débat politique. Impressionnant !



  • franc3704 26 avril 2007 14:58

    navré mais je pense que votre raisonnement est alambiqué, sans rigueur et d’une totale inconsistance ! Vous donnez, par défaut, votre abstention au représentant du parti qui gagnera l’élection. Vous vous privez du droit au débat car le vote, dans une élection est, pour une démocratie, l’expression naturelle du citoyen. Il faut, par ailleurs, arrêter de rendre les autres responsables de ses incapacités ou incompétences. J’ai, en mémoire, la primaire du PS, pour laquelle de nombreux commentateurs ont énoncé péremptoirement que la vainqueur était le fruit de la manipulation des médias ! 60% dans un vote militant contre 20 et 20 ! il n’y avait pas photo, du moins pour les observateurs indépendants. C’était une démonstration réussie de vie démocratique. En réalité vous avez le comportement de l’enfant gâté qui a des jouets à disposition mais réclame, nécessairement, celui qui n’est pas accessible. Enfant gâté de la démocratie, vous l’êtes en comparaison des millions de citoyens du monde qui se trouvent dans des pays où ils n’ont aucun moyen de s’exprimer. Il est évident que si « les autres » ont désigné 2 finalistes pour ce scrutin, c’est qu’ils n’ont rien compris à la politique et aux enjeux. Accepter que « les autres » puissent penser ou agir différemment de vous, c’est les respecter. C’est la base de la vie démocratique.



  • franc3704 25 avril 2007 09:51

    le débat vaut, aussi, d’être conduit sur le thème de la sécurité des Français : Dans la nuit du 31 mars au 1er avril 2004, vers minuit 1/4, des amis venaient de partir. Je sors arrêter le chauffage. Dans la nuit noire, sortant du local, je reçois des coups et me retrouve, au sol, estourbi. Ma femme entendant des bruits arrive dans la cuisine, au moment où 3 cagoulés rentrent, le 4ème, derrière, me tirait, au sol, par la cravate. un torchon arraché sert de lien pour les mains de ma femme. 2 d’entr’eux font le tour des pièces, sans un mot d’échanges, et cassent tout, retournent tout, boîtes, tiroir, à la recherche d’argent et de coffre fort. Le cagoulé de ma femme parle beaucoup, simule le viol sans, heureusement, aller au bout, la gifle, la menace, en français de chez nous. Le mien tape ce qui a pour effet de me réveiller et je lui indique ma caisse de marché, dans un meuble. Nous n’avons pas de coffre fort. Il prend les billets, me lie les mains dans le dos avec ma cravate et me met dans la salle d’eau. J’arrive à me délier, saute par la fenêtre et cours chez le voisin qui, au bout d’un temps bien long pour moi, ouvre. J’ai, évidemment, du sang partout avec la joue, sous l’œil droit, ouverte. Ma femme me rejoint. Appel des gendarmes, le chef de gendarmerie de Marle arrive 7 minutes après, difficile de faire mieux. Prise en charge successive d’ambulanciers charmants, du service des urgences, attentionné, et d’un médecin de garde qui me recoud, à chaud, de la brigade de recherche et de la brigade scientifique, très professionnels et rassurants, de l’hôpital qui trouve une chambre avec 2 lits libres. A ce jour mes cagoulés n’ont toujours pas été arrêtés. En disant cela je ne m’en prends pas particulièrement à la brigade de recherche de la gendarmerie ; elle travaille avec les indices recueillis et lorsqu’ils sont minces, pas facile. Pourquoi je raconte tout çà ? Parce que vivre la violence en situation conduit à chercher à mieux comprendre les disjonctions de notre société. 1ère sensation : la société, globalement fonctionne. les gendarmes sur place en 7 minutes : difficile de faire mieux ; Et puis la chaîne de secours aux victimes, irréprochable : ambulanciers, infirmières, gendarmes, .. Ce n’est pas toujours le cas : il y a 5 ans, j’étais Maire à l’époque, j’ai attendu l’intervention de la police de permanence, en pleine nuit, 1 heure 1/2, sous la menace d’un ivrogne qui cherchait à m’embrocher avec un couteau ! Gardons notre indépendance d’esprit pour mieux dire ce qui conforte une société plus humaine et plus solidaire et dénoncer ce qui y porte atteinte, hors de l’esprit de système qui couvre toutes les atteintes inacceptables. Ce que je veux exprimer c’est que ce qui m’est arrivé, ce qui arrive dans les banlieues, contribue à détruire le sentiment de cohésion sociale et doit être combattu. Il faut rappeler que N Sarkozy, ministre de l’intérieur, crée les conditions de l’insurrection par la mise en place d’une police pour les classes privilégiées avec le repliement des forces de police vers la protection des biens au détriment d’une police de proximité dans les quartiers populaires ou en zone rurale. Les gendarmes qui enquêtaient sur mon agression appelaient çà l’effet Sarkosy. Ses manières de faire ont aussi créé un climat de suspicion vis à vis de la police, de la part des citoyens, ce qui compromet son efficacité. J’ai, par ailleurs, déjeuné la semaine dernière en face d’un Officier de Police Judiciaire qui me disait ne plus supporter, avec se collègues la pression aux résultats qui leur était imposée. Il est attaché à un commissariat d’une ville importante de province qui est parmi les mieux classées en matière d’efficacité policière et les obligations de résultat qui leur sont imposées n’en tiennent pas compte. Ils sont complétement découragés. Même en matière de sécurité, le point fort de N Sarkosy, les résultats ne correspondent pas à la réalité.

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