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francis

francis

Je ne suis personne et tout le monde.
On m’a amené la, alors je vie.
Et j’aime diablement la vie.
Mon cursus ? Quelle importance ?
Je suis comme beaucoup d’entre vous, je pense.
Au sens propre du terme.
Et cela me donne donc le droit de dire : non
Mais aussi de dire : oui
Je vous l’avais dit, je ne suis personne..

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Derniers commentaires



  • francis francis 16 juin 2012 04:15

    Cogno lorsque tu dis :

    N’importe quoi, tes valeurs n’existe pas, ou n’existent plus si elles ont jamais un jour existé.
    Elles ne sont que l’enfumage pour envoyer les troufions crever

    Tu ne sais pas de quoi tu parles.
    Je pense aux légionnaires, aux paras qui vont lire tes lignes.
    Ils vont être stupéfaits par tes propos....
    Ils pensent l’inverse, sache le.
    Mais dans le monde civile et cela je te l’accorde, de tels mots n’ont guère de sens.

    Alors qui a raison ? La Légion ? Les Paras ? Toi ?
    Toi le civile, essaye de réfléchir à tout cela et aux conséquences que cela aurait si hors armée, on avait encore en tête de telles valeurs. Peut-être que le monde serait un peu meilleur. En tous cas, il serait bien plus droit.



  • francis francis 16 juin 2012 04:08

    Cogno, je m’excuse, mais il me semble que vous mélangez tout.

    Dans une section de combat, chacun protège l’autre. Il faut l’avoir vécu pour le croire.
    C’est pour cela que le racisme est tellement combattu parmi les militaires.
    Celui qui est à coté de toi est peut-être arabe, noir ou jaune. Peu importe, il faut le respecter car c’est de lui dont tu dépends. Le courage n’a pas de couleur.

    Dans une armée, les Officiers, plutôt devrais-je dire dans notre armée, je ne connais pas les autres, sont comptables de la perte d’un soldat et doivent en rendre compte.

    Mais vous êtes sans doute étranger à ces notions de base de notre armée.

    Vous préférez dire qu’ils n’avaient rien à foutre la bas.
    D’autres préfèrent dire qu’ils n’avaient qu’à pas y aller
    D’autres encore qu’ils sont payés pour cela.

    Non, non et non. Ce sont des hommes de métier, être militaire est un métier ou, une fois de plus, on doit rendre compte.

    Ce jour d’hommage, notre pays a rendu des comptes en faisant un hommage très solennel à des soldats, morts pour avoir fait leur métier.

    S’il vous plait, ne les salissons pas de propos totalement à côté de la plaque.

    Honneur à nos morts, honneur à notre pays, ce jour était le jour de l’Honneur, rien d’autre.



  • francis francis 16 juin 2012 04:00

    Bloggerfou

    Oui, tu dis, bien mieux que moi ce que je pense profondément.

    Une fois de plus pas d’amalgame.

    Nous parlerons politique lorsque ce sera le moment.

    Ici, il nous faut faire une minute de silence pour des hommes, jeunes, tués au combat pour, tout simplement, faire leur devoir.



  • francis francis 14 juin 2012 22:32

    Pardonnez-moi, mais je ne comprends pas très bien vos réactions...
    Ancien para, nous avions à cœur, quel que soit la cause, d’honorer les morts.
    C’est ce qui c’est passé et qui est bien décrit par bloggerfou.

    Ce n’est pas à un système financier ni à une institution ou aux vues d’entreprises dont on a parlé ce jour. Ce n’est pas à des systèmes politiques, des erreurs volontaires ou non, des échecs eux aussi volontaires ou non que l’on a rendu hommage.

    Mais à des hommes, qui ont fait ce qu’on leur a demandé de faire.

    Je me souviens de mes lectures sur le retour des paras d’Indochine ou d’Algérie, les réactions, furent les mêmes que les vôtres. Un gigantesque amalgame ou l’on avait oublié que ceux qui revenaient étaient des soldats, des hommes, étrangers, complètement étrangers aux imbroglios politiques. Des hommes qui avaient fait leur job, c’est tout. On les a insulté...

    Alors, permettez-moi de ne pas me joindre à vous et de rejoindre le camp de l’hommage.

    C’est avec émotion que j’écris ces lignes. Je pense aux familles, aux amis, mais aussi, surement, aux souffrances de ces soldats avant de mourir, aux pleurs de leurs camarades de combat devant cette énorme boucherie.

    ... Et de rejoindre dans leur témoignage, ces chefs d’État, ancien président, ces parlementaires, et tous ceux qui ont souhaité, ne serait-ce qu’une petite heure, penser profondément et avec respect à nos soldats.

    Paras, Légionnaires ont toujours enterrés leurs morts avec respect, dans le silence et la compassion. Et sans tout mélanger.



  • francis francis 3 juin 2012 05:57

    Gros travail que cet article qui m’a, je dois le dire, enchanté.

    Certes on aurait pu approfondir le sujet, mais ce travail est déjà, en lui-même, très important

    Il pourrait d’ailleurs servir de base à une conférence.

    Merci pour toutes ces explications auxquelles je n’avais pas pensé, moi qui ai fait si peu d’études.

    Me restera à le lire à nouveau, à m’en imprégner, comme on s’imprègne d’un bon livre bien au chaud sous sa couette.

    Décidément, sur Agoravox, il existe des gens de grand talent.

    .

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