Il me semble avoir vu à plusieurs reprises F.O. Giesbert défendre à la télé, avec un air arrogant et méprisant, la « Version Officielle ». Des gens aussi influents disposent bien sûr de sources d’informations dont ne jouissent pas les citoyens ordinaires, et la seule explication sur ce qui peut les pousser à sortir de pareilles énormités, ce sont les soutiens financiers qui leur sont indispensables pour maintenir à flôt leur entreprise...
Serait-ce le début de la fin du
Reagano-Thatcherisme que nous subissons depuis 40 ans ? Pourra-t-on à
nouveau dire : « Le Bonheur est une idée neuve en Europe » ?
Les deux propositions de Villepinte resteront un évènement historique :
Sarko prend acte du fait qu’une large
majorité de français sont opposés au modèle capitaliste libéral,
à la « concurence libre et non faussée » que les
technocrates de Bruxelles essaient d’imposer au continent. Ce
sentiment est tellement fort que c’est un moyen facile pour gagner
des voix.
Le problème, c’est que durant les cinq
dernières années, le petit Nicolas a été le larbin de Merkel, le
supplétif de José Manuel Barroso et que nous n’allons pas lui
demander de diriger les nouvelles orientations que nous souhaitons
voir mises en oeuvre...