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  • Gemini Gemini 25 septembre 2014 11:04

    Cf mon message précédent. À partir de deux, le coût est équivalent. Et encore, je pars sur du plein tarif. Il est très facile d’avoir des réductions pour quasi tout le monde ce qui fait qu’en réalité, le train est encore plus avantageux.

    Si je prends l’exemple de ma région, n’importe qui peut avoir au moins 25% de réduction, et 50% les WE pour peu qu’il ait la bonne carte de réduction, qui coûte très peu cher et est valable une année complète.

    Au delà de l’aspect purement financier, il y a d’autres aspects importants : le confort, la pollution, etc.

    En train, je peux lire, ou, si je suis en famille, je peux jouer avec mes enfants, discuter avec mes parents, manger si c’est le temps de midi ou du soir, etc. . En voiture, tout cela est impossible. Et ça, surtout le temps passé ensemble ou pour moi-même, c’est « priceless » comme le dit une certaine publicité.

    Terminons par un point légèrement plus politique : nous dépensons de l’argent dans le train plutôt que dans de l’essence. Nous favorisons donc le développement de son réseau plutôt que celui de Total et consorts.



  • Gemini Gemini 25 septembre 2014 10:48

    Je vous invite à calculer le coût de revient kilométrique d’une voiture, et vous verrez que le coût du billet de train est peu élevé.

    Un kilomètre en voiture coûte entre 0,35 et 0,75€, selon le modèle du véhicule.

    Récemment, j’ai acheté des billets de train régional (TER donc) au prix de 17,20 € pour 105 km, soit un coût de 0,16 € par kilomètre. Dans le meilleur des cas, la voiture est deux fois plus cher.



  • Gemini Gemini 24 septembre 2014 21:36

    Bel argumentaire. Donc, que suggérez-vous ? J’attends vos idées avec impatience.

    En outre Votre postulat de base qui est de dire que très nombreux sont ceux à devoir se déplacer en voiture est faux. Toutes les études de déplacement montrent que plus de 50% des trajets font 3km ou moins. Tous ces trajets pourraient être effectués à pied ou à vélo. Si l’on va un petit peu plus loin, plus de 80% des trajets font moins de 10km. Tous pourraient donc être fait à vélo.

    Il ne reste que 10 à 20% des trajets qui font plus et qu’il devient difficile de faire à pied ou à vélo. Ça nous laisse déjà pas mal de marge pour réduire les risques de pénurie et le temps pour réorganiser notre société afin de réduire les distances nécessaires.

    Quant à pleurnicher que les centre-villes sont hors de prix, c’est un faux problème pour le sujet qui nous intéresse. Le fait d’habiter quelques kilomètres plus loin ne rend en rien obligatoire l’utilisation de la voiture (cf plus haut).

    Le vrai problème est une question de mauvaises habitudes encroûtées chez beaucoup de nos concitoyens.

    Relisez vos arguments. Tous, un à un, sont facilement démontable par toute personne s’étant un peu renseignée sur le sujet.

    Parlons simplement d’un sujet qui me tient à cœur : vous indiquez « confiscation de l’espace commun pour rançonner le stationnement ». Rien n’est plus faux. Si l’espace commun est bien confisqué, il l’est par l’automobiliste. Aucun autre usager n’y a accès. Ni le piéton, ni le cycliste, ni la personne en fauteuil roulant, ni la personne poussant sa poussette. Tout cet espace confisqué empêche de faire des trottoirs plus larges, des parcs, des espaces verts, etc.

    Pour terminer, un lien vers un superbe contre-exemple de volonté d’aménagement d’une ville où le piéton reprend enfin sa juste place. Ça marche, et tout le monde en bénéficie : http://www.mobilicites.com/011-3078-Espagne-Pontevedra-la-ville-ou-les-pietons-sont-rois.html



  • Gemini Gemini 24 septembre 2014 21:22

    Afin d’aider à la lecture de cet article, il me semble utile de rappeler quelques points de vocabulaire :

    Syndicat responsable : syndicat de salariés se contentant d’avaler les couleuvres de la direction. Son rôle réel est de s’assurer que les rentes des actionnaires augmentent et de faire en sorte que toujours plus de valeur ajoutée soit capturée par ceux-ci au détriment de ceux qui la génèrent réellement.

    Privilégié : personne dont le revenu dépasse 0 €. Sont exclus de cette dénomination les rentiers et autres patrons gagnant des millions. Eux, sont appelés créateurs de richesse par le libéral.

    Bien commun : bien ne profitant qu’à une caste minoritaire de privilégiés, appelés entrepreneur ou créateur de richesse par le libéral. Le bien commun est donc le bien qui profite à l’actionnaire et au dirigeant.

    Réactionnaire : personne de basse extraction luttant contre l’idée pourtant évidente que la valeur ajoutée d’une entreprise doit revenir quasi exclusivement à l’actionnaire et au patron. Le salarié doit se contenter de miettes toujours plus petite car il faut être compétitif.

    Compétitif : se dit d’une organisation qui assure que l’essentiel de la richesse générée par celle-ci soit captée par les seuls créateurs de richesses que sont les actionnaires et dirigeants ou entrepreneurs.

    Citoyenneté : citoyen faisant en sorte de créer des emplois en France, en acceptant de demander plus de travail pour toujours moins de salaire. Un bon citoyen travail gratuitement pour le bien être des créateurs de richesse, les seuls dignes de quelque chose.



  • Gemini Gemini 24 septembre 2014 12:33

    La Suisse ne vit mieux que parce que, par ses banques, elle permet aux assistés des autres pays de cacher leurs magots indus à l’abri des regard et de leur FISC local. Belle réussite.

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