Puis, aux premiers
mots échangés, le décor s’efface pour ne laisser place qu’à un être
d’exception.
On s’attend donc à en apprendre bien plus sur l’exceptionnalité de l’homme que sur le décor. Or, le texte révèle le contraire. Je trouve cela maladroit. J’ai lu la description du décor en diagonale, impatient d’entrer dans le vif du sujet, l’homme. Et je suis parvenu à la fin, déçu.
Soit il aurait fallu éviter cette phrase pour ne pas créer d’attentes insatisfaites, soit, et cela aurait sans doute été le plus judicieux, présenter davantage les qualités de cet homme.