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gogoRat

gogoRat

citoyen français

 participant à :  http://okidor.free.fr/reflects/
________________
marotte principale pour agir :
Objectif :
  • une reconnaissance officielle d'un égal poids d'expression publique attribué à chaque citoyen-français (ie : en âge d'assumer son expression publique autant que les lois officielles en vigueur).
     ( Chacun pouvant à tout instant réajuster cette expression publique qu'il a la responsablité morale d'assumer personnellement )

    Nota Bene :
     on distingera légitimité morale (d'appréciation individuelle) de légalité officielle (ce qui est procédurièrement licite) et de 'reconnaissance officielle' (qui n'est pas nécessairement caution implicite, mais plutôt prise en compte actée ) !
     
Le contre-pouvoir à mettre en place ? des cahiers de doléances permanents - à faire officialiser !
10000 points permanents de 'reconnaissance officielle' à chaque citoyen
(en fait peu importe le nombre pour peu que ce soit strictemement le même pour chaque électeur)  :
à répartir à tout moment entre des doléances existantes
(par initiatives individuelles antérieures) ou à rédiger de sa propre initiative ... 
 Les doléances ayant recueilli le plus de points devant être traitées en priorité par les détenteurs officiels du Pouvoir : élus ou dictateurs, ils ne pourront pas les ignorer devant le Monde et l'Histoire ...
 
 
 
 esquisse de brainstorming collectif, par ce "framapad"  :
 http://lite3.framapad.org/p/2OVC8AvGrv&nbsp ;&nbsp ;&nbsp ;
( apportez-y vos idées sans même vous inscrire : chaque modification y est archivée en permanence )

___
 présentation globale de KDO
___
un Kdo-fork bien outillé (wiki)
... dans ggouv.fr
+ mindmap
présentation interactive
 
 
 



 
voir , par ailleurs :
démocratie liquide (video : https://www.youtube.com/watch?v=SIbc_xa4ilE ;
 book : démocratie électronique ..
 ou encore cet open source : http://liquidfeedback.org/ 
 et ce MindMap : https://mind42.com/mindmap/b4c7b420-9669-4b79-8212-4a28006c2c26
avec : DOSONS (développement collaboratif) - l'essentiel en 3 points https://docs.google.com/document/pub?id=1jaOewI2pVM3n4qneGl97QNmji6xECUn3JLJL7SNVWus
)
 cf 'révolution permanente' ... 'que l'on poursuit, que l'on traque ... qui vous donne envie de vivre, envie de la suivre ... ' chantait Moustaki : https://youtu.be/fgKEXKwpx0g
 Cette 'révolution permanente' n'est ni une attente de plus d'un 'Grand Soir' , ni ce que d'aucuns (mal instruits, mal renseignés, mal affranchis des poncifs de l'anti-conformisme pré-mâchés encadré par d'autres ...) se croient autorisés à nommer 'anarchie'. Cette attention permanente et incessante aux différences en quête de leurs points de convergences n'est qu'un chemin vers l'avénement d'une vraie démocratie !

Tableau de bord

  • Premier article le 30/07/2010
Rédaction Depuis Articles publiés Commentaires postés Commentaires reçus
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5 jours 0 0 0

Ses articles classés par : ordre chronologique




Derniers commentaires



  • gogoRat gogoRat 27 janvier 2012 16:09

    «  forcer machin ou truc une fois élu à travailler à la réalisation de la volonté du peuple. »


     Comment le faire de façon pacifique, non violente, démocratique ?
    Une piste pourrait être envisagée :
     une sorte de cahier de doléances/propositions officiel, permanant, accessible par tous ( avec lâ même capacité d’expression pour chacun). 
     Ce cahahier pourrait dans un premier temps avoir valeur « consultative » pour les élus ;
    ... puis, progressivement, on pourrait , par des décisions officielles, contraindre les élus à tenir compte des doléances ou propositions les plus largement partagées .
     Un remue-méninges à ce sujet pourrait dès maintenant être lancé ...


  • gogoRat gogoRat 27 janvier 2012 13:50

    vous avez dit « Revenu de Solidarité Active » ?




  • gogoRat gogoRat 27 janvier 2012 12:45

     le problème du RSA mérite effectivement cette tentative de sensibilisation, mais il mérite aussi une remise en question beaucoup plus large !

    Qui souhaite vraiment « REFLECHIR LOIN DES DOGMES » ... aura peut-être le temps de considérer les remarques suivantes.

    (Je commencerai par commenter cet article, puis avancerai quelques suggestions)

    L’idée directrice étant que en politique, et a fortiori au Pouvoir, le mandat essentiel à respecter est d’abord de rendre crédible une justice garante de cohésion sociale : il faudrait pour cela assurer dans les faits cette justice ! ...

    Remarque 1 : qualification / (formation)

    ’BURIDAN’ insiste sur une question de qualifications

    « ... l’absence de qualification (60 % des bénéficiaires de minima sociaux n’ont pas le niveau du CAP) »
    « ... le taux de chômage des personnes sans diplôme atteint 40 %. »

    ... tout en évitant cependant soigneusement (ou prudemment ?) de parler de formation ...  :

    ".. les sorties du système scolaire sans diplôme. Dans le marché du travail actuel, cette dernière équivaut à une condamnation au chômage tout au long de la vie ..."
    * premier point :
     est-il juste, dans une démocratie prônant « Egalité et Fraternité », de conditionner les efforts de « Solidarité » (dite Active - RSA), à la hauteur de qualifications ou diplômes décernés soit par une « élite » officielle (système scolaire), soit par une « élite » officieuse ( qualifications professionnelles décernées par l’Industrie privée ) ?

    * second point :
     en mettant ainsi l’accent sur un défaut de qualification, ne risque-t-on pas d’occulter, tout en l’aggravant, une injustice plus fondamentale ?
     En effet, s’il est déplorable que "60 % des bénéficiaires de minima sociaux n’ont pas le niveau du CAP" ... n’est-il pas encore plus déplorable que les 40%, (qui ont au moins le niveau du CAP !) , en soient réduits aux minima sociaux ?
     Si « le taux de chômage des personnes sans diplôme atteint 40 % », il faut croire alors que 60% des personnes sans diplôme arrivent à trouver un salaire. Ce qui pourrait laisser entendre que tous ces diplômés « bénéficiaires de minima sociaux » (ayant au moins le CAP) ne seraient pas très excusables ? ...
     Ce genre d’argumentation occulte la question fondamentale d’essayer de savoir dans quelle mesure les détenteurs de qualifications ou diplômés sans travail sont ou pas responsables de leur situation : on peut y voir un a priori qui ne fait que renforcer une fort déplorable culpabilisation non justifiée des « bénéficaires » qualifiés, diplômés, voire même expérimentés ...
     
    * troisième point :
     ne parler que d’un problème de qualification sans envisager l’état de l’offre et de la demande en matière d’emplois peut laisser soupçonner une double confusion :

    - concernant, d’une part, l’état réel des compétences ou potentiels et l’instrumentalisation de leur reconnaissance officielle,

    - et, d’autre part, dans l’analyse des causes du non emploi !
     D’une part, on pourrait certainement augmenter très facilement le taux de diplômés : en dévaluant les diplômes ! ...
     D’autre part, s’il est vrai qu’un chômage structurel est à l’oeuvre dans notre pays : en quoi l’idéal même d’une formation, voire d’une compétence parfaite, obtenue de façon idyllique par tout le monde, ... changerait quoi que ce soit au pourcentage de laissés pour compte  ?
     Ne pas évoquer ce problème risque de n’être qu’une acceptation, en creux, d’un système de concurrence (plus ou moins juste ou plus ou moins faussé) justifiant la mise à l’écart d’une partie non négligeable de la population !

    * quatrième point :
    au-delà des problèmes de justice, est-il pertinent de laisser déconsidérer (ou « déclasser ») les laissés pour compte qui pourraient avoir été écartés de façon injuste ? 
     Ne s’intéresser qu’au manque de « qualification » d’un pourcentage de ceux qui ne sont pas embauchés ne ferait que renforcer la dérive d’employeurs qui plutôt que de corriger les « bogues » écarteraient les compétents qui osent remettre en cause ce qui doit l’être 
    ( Cette cause possible de la Crise économique que nous subissons aujourd’hui n’a jusqu’ici été envisagée par aucun de nos analystes méritants, de quelque bord politique qu’ils soient ...)
    ...

    Remarque 2 : ’accompagnement’
    l’auteur de cet article dit :
    « . Un accompagnement renforcé des personnes en difficulté permettait d’améliorer de manière significative le retour à l’emploi. »

    * Cette assertion n’est ici pas argumentée ni documentée ...
    Elle me semble sujette à caution  ! ...
     Et puis que signifie ici "accompagnement ? A-t-on cherché à mesurer le pourcentage de ceux qui demandent à être « accompagnés » ?
    Qui détermine (et comment ? selons quels critères précis ?) le besoin réel « d’accompagnement » de certains de ses concitoyens ? ...


    Remarque 3 : pôle emploi / contrats aidés

    Nous lisons :
    " ...la loi créant le RSA a en outre voulu faire de Pôle emploi le principal acteur de l’insertion des bénéficiaires de minima sociaux. Mais elle ne lui a pas donné les moyens nécessaires alors que les conditions de la fusion entre ANPE et ASSEDIC ont désorganisé la nouvelle entité."

    ...

    « dispositifs destinés aux personnes en difficulté, tels que les contrats aidés. »

    * a-t-on fait une enquête (neutre et indépendante) auprès des personnes « aidées » pour savoir, après quelques années de recul, quel bilan elles établissent des « aides » que sont censés leur avoir apporté l’ANPE" ou les contrats aidés ? Et QUI aidents d’abord, concrètement, ces "contrats aidés ? ...

    Suggestions :
     il faut décidément réfléchir plus sérieusement à revenu minimum assuré pour chaque citoyen : que l’on appelle cela « Revenu Universel », "crédit d’impôt" ... ou autre. Mais il serait dommage de se tromper de combat en se dispersant dans des querelles de chapelles ....



  • gogoRat gogoRat 24 janvier 2012 10:54

     Ne craignons pas de rebuter l’entendement des lecteurs par des considérations plus précises :
    Un des défauts fondamentaux du scrutin tel qu’il est organisé actuellement tient au fait qu’il refuse d’évaluer (ou de mesurer) les expressions de rejet ou de boycott que les électeurs devraient pouvoir exprimer.
     Les seuls moyens laissés à l’électeur pour laisser deviner son refus de cautionner sont : - le vote blanc ou nul, - l’abstention (ou boycott du vote), voire : la non inscription sur les listes électorales.
    Or, structurellement autant que par la propagande entretenue par les détenteurs ou défenseurs du système de pouvoir actuel, une grande confusion est entretenue et exploitée autour des interprétations possibles de chacune de ces options.
     Puisque l’honnêteté devrait interdire de commenter des actes dont la signification est ambiguë et excessivement floue, la logique devrait condamner les principes officiels de scrutin qui exposent tout un peuple à une telle malhonnêteté !

     De plus, il est plus aisé et plus naturel de savoir d’abord ce que l’on rejette, avant même que d’être certain de ce que l’on souhaiterait.
     ( Il est plus honnête d’affirmer que l’on ne saurait cautionner tels et tels candidats dont on a suffisamment connaissance ... que de se déclarer d’accord avec un « programme politique » ou pour déléguer son pouvoir citoyen à un candidat que l’on sait trop méconnaître.)
     Pourtant, une mesure, la plus précise possible, des expressions citoyennes de rejets devrait être considérée comme indispensable pour réguler l’exercice du pouvoir : sinon le candidat sortant n’a plus qu’à interpréter lui-même son propre bilan tout en affichant de nouvelles promesses ...

    Enfin, aucune des options « vote blanc », « vote nul », abstention, boycott, ou non inscription sur les listes électorale ... n’a un impact imposé sur l’exercice du pouvoir. Seul les citoyens qui cautionnent ont voie au chapitre : ce qui est contraire à notre principe d’égalité citoyenne.

    De ce point de vue, l’avantage de votre bulletin de couleur est qu’il permet une mesure plus précise de l’expression citoyenne.
     Resterait à s’assurer que le mot « Démocratie » à la même signification pour tous les votants ...



  • gogoRat gogoRat 23 janvier 2012 19:14
    L’idée que vous soumettez ici est intéressante , et à creuser ...
     sa réalisation est-elle plus plausible et plus attrayante que le simple boycott du système de scrutin ? 
    cela reste à débattre ...
     en attendant BRAVO quoi qu’il en soit pour avoir ainsi démontré qu’il reste possible d’innover en matière de consultation du peuple !

    Remarque tout de même en faveur d’un « boycott du système de scrutin actuel » =
     vous écrivez :
     “Lors du dépouillement les votes blancs et nuls sont comptabilisés et sont annexés au procès verbal dressé par les responsables du bureau de vote. Mais ils n’apparaissent pas dans le résultat officiel où ne sont mentionnés que le nombre des électeurs inscrits, le nombre de votants, les suffrages exprimés (ensemble des bulletins moins les votes blancs et nuls). “
    ---
    or, il suffit de consulter 
     pour vérifier que le nombre de votants et de non-votants sont pourtant bel et bien officiellement comptabilisés ...
    en 2007 :
    Inscrits44 472 733100,00Abstentions7 130 72916,03Votants37 342 00483,97

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