Plutôt que pot de vin, je pense simplement à Impôts. Les activités de microsoft en france rapportent certainement plus à l’état que celles de mandriva. C’est d’ailleurs une tendance générale que de soutenir politiquement les grands groupes industriels au détriment des « autres ».
Les éditeurs d’anti-virus et autre anti-machin ont assis leur buziness sur le monopole de microsoft. La roue tourne comme on dit. Ils ont soutenu un monopole, ils s’en mordent maintenant les doigts. Et pourtant, n’importe quel économiste vous dira que le monopole, ça craint.
J’ai travaillé comme enquéteur pour une société d’étude sur le cinéma. L’expérience que j’ai eu m’a fait comprendre que tout ceci était un business sans aucun fond. Tout est sévèrement lourdé par les enquéteurs eux même qui doivent travailler le plus vite possible et rendre un certain nombre de questionnaire en un certain nombre d’heure, et qui finalement passent leur temps à falcifier des trucs pour rentrer dans leurs quotas.
En plus, j’ai cette mauvaise impression que les sondages marqueting rendent de plus en plus la société de consomation asseptisé. On se fie à ce que pense la majorité sans tenir compte des goûts de tout le monde, c’est ainsi qu’on voit fleurir des campagnes de pub suite aux résultats d’un sondage sur un produit qui va s’éforcer de briser les idées reçu de peut-être 60% du panel de sondé (« ce truc n’est pas amère », « ha non beurk », « bah t’aime ça toi ? »). Et aujourd’hui, il n’est plus possible de se lancer dans quelque chose sans que la speudo-majorité ait donné son accord par un sondage.
C’est nawak ce truc... Les journalistes avec leur accent français sont risibles au possible. Je suis franchement content de pas payer d’impôt si c’est pour des conneries pareilles (je sais, commentaire pas contructif, vous pouvez noter, mais ça fait du bien de le dire)...