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Guy Liguili

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  • Guy Liguili Guy Liguili 24 août 2010 21:50

    Les Bogdanoff sont à la science ce que McDonald’s est à la gastronomie.
    Je vous renvoie à un article démolissant le mythe



  • Guy Liguili Guy Liguili 11 août 2010 19:54

    En fait, j’ai une explication beaucoup plus prosaïque, comme Rue 89 l’a souligné, le 11 aout est officiellement déclaré « jour le plus chiant de l’année » .
    Les journaux n’ont rien de passionnant à se mettre sous la dent alors entre certains titrent sur l’équipe de France de ballon au pied, les autres sur le Ramadan, ça fait plaisir au rédacteur en chef, aux pigistes, aux kiosquiers, aux imprimeurs, au banquier... Tout le monde est content !



  • Guy Liguili Guy Liguili 27 juillet 2010 03:50

    Être de gauche n’est pas être pour la générosité des Dames Patronesses mais être pour la justice de l’État, le Contrat Social ; quant à la tolérance, il y avait des maisons pour ça, désormais il y a le consensus mou.



  • Guy Liguili Guy Liguili 9 juin 2010 02:13

    En fait, pour synthétiser et conceptualiser la chose, l’important dans une lutte, comme dans la varappe ou le judo, est d’avoir une prise. Celui qui n’a pas prise est impuissant ! La prise des travailleurs est le travail, la prise du patronat est le salaire. Les travailleurs menacent de cesser le travail, les patrons de licencier ou de délocaliser (privant les travailleurs de revenus).
    Que se passerait-il si, demain, les travailleurs argumentaient qu’étant donné que, tôt ou tard, ils se retrouveront sans emploi et sans salaire, ça ne leur fait ni chaud ni froid que celà se produise tout de suite ? Les patrons peuvent essayer de retrouver une prise en décidant de les menacer de les licencier immédiatement. Que se passe-t’il si les travailleurs ripostent en abandonnant illico leur emploi, sans même démissionner ou se mettre en congé maladie, juste en partant  ?

    En fait, le vainqueur est celui qui ignore la peur, celui qui, lorsque l’on menace d’abattre ses enfants, les abat lui même et les mange devant son tortionnaire en lui proposant même de partager son repas.

    Comme je l’ai dit hier, c’est utopique car excessif mais le concept est une piste de réflexion pour les luttes à venir.



  • Guy Liguili Guy Liguili 9 juin 2010 01:41

    Il ne s’agit même pas (même plus) de tout bloquer, il s’agit de dire « Stop ! On ne joue plus ! On sait que vous allez utiliser la charme ou la menace ou d’autres subterfuges pour nous convaincre de reprendre le travail mais, comme nous n’avons même pas l’ombre d’un embryon de confiance en vous, nous sommes venus vous dire que l’on s’en va et que vos larmes n’y pourront rien changer ! ».

    Imaginez le choc, surtout si c’était les services régaliens de l’état qui démissionnaient sans préavis : plus de police, plus de pompiers, plus de gardiens de prison...

    Vous me direz qu’ils seraient réquisitionnés, je vous répliquerai « Certes ! Mais être obligé de se rendre au travail n’oblige pas à travailler ». Que peut faire un commissaire si, à chaque plainte déposée, les policiers répliquent : « Que voulez-vous que ça nous foute ? », qu’au moindre incendie les pompiers se contentent de distribuer des pistolets à eau ?

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