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HappyPeng

Etudiant à l’école des Mines de Paris, politiquement proche du Parti Communiste Français, passionné, outre de politique, d’informatique, de culture populaire japonaise moderne et du Japon en général.

Tableau de bord

  • Premier article le 23/06/2008
  • Modérateur depuis le 15/07/2008
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • HappyPeng 29 mai 2009 12:19

    Si on était davantage violent avec les enfants ils seraient eux-mêmes moins violents ? Ou peut-être qu’ils intérioriseraient cette violence jusqu’à l’exercer sur leur propre progéniture...

    L’ordre n’est pas la violence. Cette vision brutale relève plutôt du fantasme barbare qui sous-tend le fascisme, l’anarchie dont je parle dans cette conclusion.



  • HappyPeng 28 mai 2009 14:20

    De deux choses l’une :
    - soit un enfant n’est pas considéré comme une personne autonome, ses parents et la société, au travers de l’école, ayant à charge de l’éduquer, et considérer l’enfant comme responsable équivaut à couvrir la faillite de leur action
    - soit un enfant est une personne autonome, et la société lui reconnait le droit de ne pas obéir à ces parents et à ne pas être éduqué par l’école, auquel cas il peut être considéré comme unique responsable de ses propres actes.

    Il s’agit ici uniquement de rapport cause-conséquence et de principe de responsabilité, ce n’est pas exactement ce que je traite dans l’article.



  • HappyPeng 28 mai 2009 14:13

    Cela n’a aucun rapport avec l’article, donc, non.



  • HappyPeng 28 mai 2009 03:12

    J’ajouterais encore une chose sur cet article : l’image se suffit à elle-même, comme l’avoue d’ailleurs volontiers notre ami Villach. Le texte n’est lui qu’un mauvais « commentaire » de 3ème, c’est-à-dire destiné avant tout à montrer que l’on maîtrise les notions purement techniques enseignées par nos chers professeurs de français, plutôt qu’à commenter.

    Paul Villach, vous n’êtes ni le Roland Barthes de « l’Empire des Signes », ni le Michel Foucault des « Mots et des Choses ».

    Vous n’avez pas votre place dans ma liste des grands écrivains. Par contre, comme élève de 3ème (ou professeur, après tout quelle différence à ce niveau), vous méritez 20/20, et le rang de Chevalier de l’Ordre de la Métonymie.



  • HappyPeng 28 mai 2009 03:02

    Dans le cas d’un fait public réalisé par un enseignant dans le cadre de ses fonctions, comme une sanction ou une notation, il on appelle ça un recours auprès de la hiérarchie. Dans le cas où l’on suspecterait un abus d’un professeur, comme de la violence verbale ou physique, il s’agit d’une plainte.

    Le mot « délation » ne peut être utilisé que lorsque l’on rapporte aux autorités un fait, réel ou imaginaire, qui ne nous concerne aucunement, dans le but de nuire à quelqu’un ou d’en retirer un bénéfice. Cette délation peut-être anonyme ou non, cela n’est pas un critère.

    En l’occurence, les élèves étant directement concernés, il s’agit de recours ou de plaintes auprès de la hiérarchie. Elles ne sont pas anonymes au sens où elles parviennent signées des parents au rectorat. Ce n’est que leur forme archivée qui est rendue anonyme.

    La nécessité de rendre anonyme ces archives est évidente : il s’agit d’éviter qu’un différend entre un élève et un professeur n’entraîne par la suite une réaction de solidarité des autres professeurs, au détriment de l’élève, et quelque soit la conclusion du rectorat.

    J’illustrerai ceci par un exemple bien moins grave mais que j’ai l’avantage d’avoir moi-même vécu. Après un stage en entreprise d’une semaine en 3ème, j’ai inclu dans mon rapport, rendu aux professeurs de technologie et de français, un passage, d’ailleurs fort argumenté, où j’expliquais préférer la vie en entreprise à celle du collège. Le professeur de technologie m’a mis la meilleure note. Le professeur de français a mis une note exécrable et s’est répandu en commentaires outrés sur ma vision prétenduement fausse du collège, de l’entreprise, du travail, bref, de la vie en général.

    Au conseil de classe, une professeur de biologie, qui n’avait à voir ni avec le stage, ni avec la notation du rapport, mais ayant eu vent de l’affaire par ses collègues, hurle au traitement inadmissible du corps enseignant et demande des sanctions. Le résultat sera l’interdiction des récompenses, que les notes justifiaient pourtant amplement, et un commentaire négatif de la principale sur le bulletin. La liberté d’opinion ne s’enseigne pas au collège de la République.

    La leçon de cette affaire, heureusement sans conséquences puisqu’il s’agissait du collège, est que la solidarité du corps enseignant est sans limites. Oter le nom des élèves dans ces archives du rectorat est donc une simple mesure de justice et de bon sens.

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