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Harry Stotte

Harry Stotte

Dès mon arrivée sur AgoraVox, j’ai caché mon âge, non pas que j’en eusse honte, mais se faire traiter de vieux schnoque sans avoir été lu par des gens à qui l’attaque ad hominem tient lieu d’argument, est gênant. Surtout quand on a un entourage, et de surcroît des enfants à qui on ne cache rien de ses activités, fussent-elles clandestines.
Et si j’y réfléchis, je ne suis pas si vieux que ça, j’ai le même âge qu’en 1956, quand l’écrasement de la révolte hongroise m’a fait « entrer en politique »
On nous disait alors que des gosses de notre âge se jetaient sous les chaînes des chars soviétiques, ceints de cocktails Molotov. C’était galvanisant. Tellement, que je le suis toujours.
J’imagine que les élèves des bastions communistes n’auront pas connu cela. D’une certaine manière, je les plains : toutes les expériences enrichissent et contribuent à orienter une vie dans un bon sens.
 
 
Je parlais de honte tout à l’heure, je n’en ai éprouvée qu’une seule, tout au long de ma vie, celle d’appartenir à la corporation des journalistes. Je n’y trouvais ma place nulle part, j’étais capable d’écrire comme les autres, j’étais incapable de penser comme eux. D’ailleurs, je continue. Les lecteurs pourront s’en apercevoir si non premier article franchi le cap de la censure, Ce sera une (pédante) réflexion sur le désespoir et l’euphorie en politique.
Je dédie la présente story stelling, à ceux qui colportent sans réfléchir que “Etre communiste à 20 ans, c’est avoir du cœur ; l’être à 40 ans, c’est n’avoir pas de tête”. C’est ma manière à moi de les remercier de m’avoir fait beaucoup rire, même si je ne les trouve pas amusant.

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Derniers commentaires



  • Harry Stotte Harry Stotte 27 avril 2017 14:52

    @Harry Stotte


    Je vois pas en quoi ça empêche de mettre la machine en route ?!?!?!?!


  • Harry Stotte Harry Stotte 27 avril 2017 08:49

    « Agrégé, pour le moment tous mes organes étant réunis ensembles dans mon enveloppe corporelle. »On se demande si l’auteur, à la rose bleue, ressemble à un Picasso, de la pire époque... Parce que. écrire : 



    « Voter pour l’un ou pour l’autre est un choix, le résultat d’un mental confus, dans lequel les manipulations diverses font un travail de sape... »

    pour conclure que c’est une évidence lumineuse que de ne pas choisir entre un gandin qui est allé féliciter, en sa Reichkanzlei, la Folle de Berlin pour avoir accueilli l,5 million de clandestins et une vraie Française qui entend garder la France aux Français,ça, c’est une lumineuse incitation à mettre en route la machine à coups de pied où je pense.


  • Harry Stotte Harry Stotte 26 avril 2017 21:47

    @Frau Makrel


    Ah, vous revoilà, vous, la retraitée de la Stasi ? Vous allez avoir de mes nouvelles, dans pas longtemps !


    Pendant que je vous tiens, Lavigue, ça devrait vous dire quelque chose. D’autant que ça, s’est passé un peu chez vous. Sigmaringen, c’est bien chleuh, comme douar ? D’un château l’autre, vous y êtes ? Ferdinand, Lucette - elle aura 105 ans le 20 juillet, si elle tient jusque-là - les medias ne parleront d’elle seulement si elle devient doyenne de l’humanité.

    Et ils parleront de Lucette Almanzor, les fumiers. En fait là-bas, dans le Bade-Wurtemberg, ils étaient quatre Ferdinand, Lucette, danseuse, née Almanzor, le chat Bébert et Robert Le Vigan, dit La Vigue, qui avait eu son heure de gloire avant-guerre, notamment en jouant Jésus dans Golgotha, de Julien Duvivier, 


    Et vous savez qui tenait le rôle de Ponce Pilate ? Je ne sais pas pourquoi, je vous demande ça, comme si une Allemande de 2017 pouvait s’intéresser à autre chose qu’au porno, jean Gabin !..Du coup, ça vous dit rien non plus La Grande évasion, Gabin, von Stroheim, Fresnay ? Vous me direz Stroheim war Osterreicher, mais en 45, Allemand Autrichien, c’était tout un. 


    Et, Fous allez Foir comme le monde est betit’... Tandis que La Vigue se mourait dans la misère, en Argentine - vous connaissez, ça l’Argentine, c’était plein de gombadriotes à vous à la fin d e la guerre - Pierre Fresnay enregistrait -ils ont omis dans Wikipedia, ça peut arriver - « Les poèmes de Fresnes » de Robert Brasillach, fusillé le 6 février 45, au fort de Montrouge. Et le disque était édité par la Société d’études et de relations publiques (SERP) la PME fondée par Jean-Marie Le Pen, en 1963. 


    Tout ça ne nous rajeunit pas... 


  • Harry Stotte Harry Stotte 26 avril 2017 20:56

    @Robert Lavigue



    Si c’est des journalistes d’investigation que vous parlez, je vous rappelle que les célébrissimes Bernstein et Woodwar, les saints patrons de la corporation, passaient leur journée à jouer au Texas holdem Poker, en attendant les coups de fil de Mark Feldt. 


    Maintenant si c’est d’autre chose, vous voudrez bien préciser parce que je ne comprensd pas


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