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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

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  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 25 mars 2015 21:59

    « Relancer l’économie, tu t’en tapes comme de savoir si le QI de Nadine Morano a bien deux chiffres. »

    je ne crois pas au QI au sens propre mais au sens figuré, si ! smiley

    quand à « relancer l’économie », si l’austérité ce n’est pas de l’économie de dépense des petites gens, qu’est ce d’autre ?

    Car il faut toujours se rappeler que l’industrie du luxe connaît rarement la crise.

    Mais vous parliez de montre connectée il me semble !

    Tant que cela reste une montre, pas ni problem, c’est lorsque cela devient bracelet interconnecté, là, il faut se poser la question de comment c’est géré,.. Par qui ou quoi !



  • Hervé Hum Hervé Hum 25 mars 2015 19:03

    @Hervé Hum

    l’intérêt général est la somme des utilités particulières, par laquelle chacun trouve son intérêt personnel.

    Cet aphorisme définit très exactement ce qu’est une économie dite libérale dans une société organisé, responsable et consciente.

    L’aphorisme défendu par les pseudos libéraux disant « l’intérêt général est la somme des intérêts particuliers » est un pur sophisme, en effet, cet aphorisme signifie littéralement qu’il n’existe pas d’intérêt général, mais seulement des intérêts particuliers en conflits permanents, régulés par un appareil étatique fort.

    en d’autres termes, l’idéologie pseudo néo libérale ne peut fonctionner qu’avec la présence d’un appareil d’état fort, tout le contraire de l’idéal prétendûment défendu. Mais il est vrai que ce libéralisme est à l’usage exclusif de la minorité propriétaire des moyens de productions et de son financement !

    et bien sûr, sans abolition de la propriété des moyens de productions et le contrôle de son financement par la collectivité, impossible de changer quoi que ce soit.



  • Hervé Hum Hervé Hum 25 mars 2015 18:52

    On peut résumer le cahier des charges du modèle ’économique qui doit succéder à l’actuel par cet aphorisme,

    le laisser faire économique commence là où s’arrête les nécessités du contrat social et s’arrête là où commence les contraintes écologiques.

    Le laisser faire économique est donc la variable d’ajustement des nécessités du contrat social et des contraintes écologiques.

    Ce que vous écrivez fait appel au sens de la responsabilité, suivant la définition suivante :

    la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui.

    Vous pouvez lire cet article « droits, devoirs et responsabilité » ; présentant cette définition. Celle ci est l’alpha et l’oméga pour développer le modèle économique pour succéder à l’actuel.

    Article à compléter avec les aphorismes suivantes (mais il y en a d’autres) :

    Tout droit implique un devoir, et tout devoir applique un droit.

    Nul ne peut exiger plus de droits qu’il n’accomplit de devoirs, et nul ne peut se voir exiger de devoirs qu’il ne réclame de droits.

    J’ai écris un autre article basé sur cette définition de a responsabilité, mais limité au cadre économique actuel à titre d’illustration. Les BAL citoyens.

    Enfin, sachez qu’il n’est nul besoin d’éliminer l’individualisme pour l’altruisme, il faut « simplement » renverser le rapport entre l’individu et la collectivité.

    Notamment en se basant sur cet aphorisme

    l’intérêt général est la somme des utilités particulières, par laquelle chacun trouve son intérêt personnel.

    En d’autres termes, l’intérêt particulier ne peut pas être supérieur à son utilité particulière au sens de la collectivité définissant l’intérêt général.



  • Hervé Hum Hervé Hum 25 mars 2015 09:47

    @JC_Lavau

    J’ai écris sur le ton humoristique, mais mon commentaire ci dessus est tout ce qu’il y a de plus censé !

    On dit que certains s’obstinent à chercher sous un lampadaire parce que c’est éclairé, mais il existe aussi ceux qui s’obstinent à chercher dans l’obscurité parce que c’est sombre.

    C’est le cas avec l’objet de recherche de Bernard Dugué qui voit un mystère ontologique là où il n’y en a pas... Alors reste l’énigme scientifique, mais là aussi, il me semble que les pièces du puzzle sont bien rassemblées. Le seul problème est qu’il manque l’image du puzzle, ce qui veut dire que si toutes les pièces s’emboitent bien les unes aux autres, sans l’image, c’est plus difficile de trouver l’ordre dans lequel s’emboitent les pièces. Mais si en plus on ne veut pas voir l’image telle quelle est...

    J’affirme en effet qu’il n’est nul besoin de chercher en dehors du lampadaire pour trouver les réponses sur l’Univers et Dieu, mais au contraire, regarder ailleurs est le plus sûr moyen de ne rien trouver. Non pas qu’il n’y ait rien, mais qu’il n’y a rien qui manque à la connaissance recherché par l’auteur de l’article et accessoirement, par tous ceux qui s’y intéresse.



  • Hervé Hum Hervé Hum 24 mars 2015 21:35

    @JC_Lavau

    ON peut exister sans vivre, mais on ne peut pas vivre sans exister.

    Donc, Dieu peut exister sans vivre, et l’humain de vivre qu’en existant.

    C’est qu’exister ne nécessite qu’être, pas de paraître, pour cela il faut nécessairement vivre, car si je ne paraît pas c’est que je suis mort ! smiley

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