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Hervé Hum

Hervé Hum

Chacun doit être son dernier maître et son premier disciple. Telle est ma devise. Ma conviction est que nous sommes devant la porte d entrée d une nouvelle dimension de conscience d être. Soit nous y entrons, soit nous périssons. Cette porte s'est ouverte fin 2012....

Tableau de bord

  • Premier article le 17/07/2012
  • Modérateur depuis le 01/08/2012
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 août 2014 00:29

    Bonsoir Alinea, avant d’aller faire dodo, juste pour te dire que tu donne la réponse à ta question !

    Un objet, on s’en moque, on le casse par inadvertance, et je sais bien aussi que l’on traite ainsi l’animal, mais justement, dans la barbarie vis à vis des animaux, il y a une « rupture » en l’homme qui se comporte ainsi, quelque chose du miroir dans lequel on ne veut pas se voir....

    C’est ton humanisme invétéré qui te fais refuser que des humains puissent reléguer, rejeter la même qualité d’humain à d’autres humains en se fondant sur la différence " mythologiques, théologiques, idéologiques, psychologiques et dramaturgiques.« dès lors où ces références sont placés au niveau de la réalité et non au niveau de l’imaginaire.

    L’empathie est une relation d’intériorité, la non empathie ou/et parfois l’antipathie, sont des relations avec l’extérieur à soi. Je peux nier, rejeter, détruire, objetiser tout ce qui est extérieur à soi sans éprouver culpabilité, remord ou immoralité, mais pas pour ce qui m’est intérieur.

    La haine se fait toujours contre ce qui viole son intimité, son intériorité. Que ce viol soit réel ou imaginaire est accessoire, car c’est le sentiment d’être expulsé, donc extériorisé à soi même qui engendre la haine, pour reprendre possession de son intériorité, là aussi, peu importe que cela soit vrai ou faux. Ceci devrait faire partie d’un futur commentaire en réponse à Philippe, pour expliquer la différence entre morale et empathie, leur relation et mécanisme de développement possible en dépression, névrose, apathie, perversité et haine (ou psychopathie).

    Mais la haine est toujours le sentiment d’une dépossession de soi, d’une »mise hors de soi".

    Bonne nuit

     



  • Hervé Hum Hervé Hum 29 août 2014 00:13

    Philippe,

     j’ai lu le commentaire de Alinea, telle que je l’aime, anarchiste, où elle reprend un extrait de la citation que tu reporte de Rifkin. En la relisant, je réalise combien je partage cette philosophie et dont toute ma recherche consiste à trouver la voie qui mène à cette conscience biosphérique.

    La notion de temps d’action en découle directement, pour démontrer le rapport de causalité entre la conscience d’un monde partagé parce que que unique comme l’est la planète Terre, d’avec la conscience d’un monde divisé. Le premier se fait par association, comme pour les cellules d’un corps ou les fourmis d’une fourmilière, tandis que le second se fait par exploitation des uns contre les autres ou tout le monde est l’ennemi potentiel de tout le monde.

    J’ai déjà écrit que la seule manière de préserver l’histoire passé dans ses mythologiques, théologiques, idéologiques, psychologiques et dramaturgiques. « est précisément de la réduire à notre imaginaire et non plus à notre réalité, c’est à dire, de lui ôter son caractère conflictuel dans la réalité, mais le préserver en tant que patrimoine du passé ayant crée ce qui dans un cerveau s’appelle.... Souvenirs sacré de sa vie passé (merci Krishnamurti pour cet enseignement !). Le conflit intérieur est toujours le résultat d’une impossibilité à accepter que le passé est mort pour la réalité et ne vit qu’en son imaginaire, tel qu’en lui même. Or, la seule manière de faire passer ces »références" du stade de la réalité à l’imaginaire, passe par la vision d’une Terre unique car dès lors, il n’y à plus division par opposition des cultures, mais union par association où toutes trouvent l’intérêt de se garantir mutuellement (principe de l’ONU), sans prédisposer du futur, mais en assumant son propre temps d’action qui n’est qu’un présent éphémère. Enfin, dire que la biologie tient son rôle dans le développement de la conscience et des émotions, consiste à dire au niveau collectif, qu’il ne saurait nier la place que tient la nature dominante et prédatrice, mais aura appris à la dominer... SE DOMINER SOI MEME... Donc sans l’éliminer, mais à savoir l’utiliser !

    J’attendrai ton commentaire pour poursuivre le mien  !

    Bonne nuit.



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 août 2014 22:30

    Bonjour Alain Souloumiac,

    l’idée est juste, donc le fond visant à donner le mérite intrinsèque au créateur n’est que justice, mais en rester en l’état est certainement insuffisant.

    Comme le dit diogène, le monde est dominé par des prédateurs qui ont la haute main sur la finance et donc sur les financement d’une part et de l’autre, sont aussi les actionnaires majoritaires des grandes entreprises contrôlant les moyens de productions économiques.

    Bref, le droit du créateur s’oppose directement au droit du propriétaire non pas dans le fait qu’ils ne puissent pas partager les profits, mais qu’ils découlent bien de deux philosophies différentes comme vous le dites si maladroitement.

    Votre maladresse vient du fait que vous avez du mal à harmoniser droit du créateur et droit du citoyen, alors que l’évidence du droit du créateur face au propriétaire des moyens de productions et financiers sont, eux, limpide.

    car enfin, si vous dénoncez le principe du brevet comme étant une survivance vénale du système monarchique, il n’en demeure pas moins que toute création s’appuie sur celles qui les ont précédés et sur la société qui encourage son propre apport. De ce fait, le principe même d’exclusivité est anti démocratique, anti social, anti droits de l’homme en tant que corpus social.

    La reconnaissance du droit d’auteur et sa récompense en fonction de sa réception par le corpus social, n’est donc pas lié à l’exclusivité du droit en question qui reste toujours une survivance du principe de souveraineté, donc un principe monarchique, mais est lié au profit procuré à la société. C’est ce profit qui fait droit au corpus social et entraine son devoir de reconnaissance et la récompense.

    Ceci ne contredit donc pas le fond de votre article soutenant le droit du créateur, bien au contraire, mais souligne qu’il n’est cohérent avec lui même que s’il abandonne toute idée de souveraineté sur la création, dès lors où celle ci est à destination du corpus social.

    Vous ne pourrez lever les contradictions qui pointent dans votre articles tant que vous voudrez à toute force conserver le principe de souveraineté de la création par son créateur, toujours dès lors que cette création est destiné au corpus social, car c’est vouloir toujours être roi en ses terres. Voir, être dieu en ses créations. Sauf que comme vous le dites ici, toutes ces créations sont la conséquence d’autres créations... Anonymes et ne sont possible que par l’association de tous les citoyens anonymes !

    En d’autres termes, si ceux qui dirigent l’économie de la Terre sont réticents, c’est que le principe du droit du créateur n’a de sens que si elle se fonde sur une économie basé sur l’association des créateurs et des exécuteurs qui sont de manière interdépendante tous les consommateurs et non plus sur l’exploitation des réalisateurs et des créateurs par une minorité propriétaire du capital.

    CQFD !



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 août 2014 19:49

    La puta madre que le palio ! encore un commentaire de perdu, Les autres, je les tapes d’abord sur word et pas celui là !

    Je vais faire plus court, je dis que tu y participe comme moi jusqu’à présent d’ailleurs, parce que tu te trompe de cible, il ne s’agit plus de désigner ces pervers ou psychopathes qui nous gouvernes, mais de montrer que l’injonction contradictoire est lié au décalage entre la réalité et notre conscience de cette même réalité.

    C’est à dire, que la réalité actuelle permet aux gens grégaires et pacifiques, non dominant, de s’affranchir des natures prédatrice et dominante, et ce en raison des moyens techniques dont dispose l’humanité permettant à tous les êtres de communiquer et donc de coopérer. Bref, d’intérioriser la Terre, c’est à dire, d’en faire un objet commun et non plus divisé. Et d’expliquer que le déni de cette conscience est dû à la peur extrême que nous avons de l’inconnu qu’est le cosmos. Le noir n’évoque pas la lumière divine, mais l’inconnu, le froid, la peur, le monde des ténèbres si profondément ancré dans notre conscient collectif.

    La DCE actuelle et qui est en train d’être dépassé, est dominé par les natures prédatrices, dominante ou perverse car la Terre est pensée comme toute notre réalité, comme tout l’Univers, dans laquelle, l’intériorité s’arrêtait aux limites de son pays et l’extérieur tout le reste de la Terre. Or, pour lutter contre un ennemi extérieur, c’est le rôle des natures dominantes, prédatrices et perverses, non des natures grégaires, pacifiques et honnêtes.

    Seulement sur une Terre intériorisé où donc il n’y a plus de frontières militaires car plus d’ennemi en tant que tous passagers d’un même vaisseau qu’est la Terre, ces natures dominatrices, prédatrices n’ont plus de raisons de dominer car il n’y a plus d’ennemi extérieur à combattre et il n’y a d’ennemi intérieur qu’eux même.

    Donc, il s’agit de dépasser l’injonction contradictoire véhiculé par ces gens là pour leur propre profit et leur permettant d’avoir toujours un temps d’action d’avance, mais de montrer que la seule injonction contradictoire qui nous arrête et nous plonge dans la schizophrénie collective est notre propre peur du noir où nous servons de ces gens là comme excuse, car aujourd’hui ils ne disposent plus de la réalité de la force, seulement l’illusion que nous entretenons uniquement pour ne pas affronter nos propres angoisses. Donc, de prendre un temps d’action d’avance sur eux, contre lequel ils ne peuvent rien.

    Dans un monde en abondance, où le savoir et la responsabilité est partagé par 99% de l’humanité malgré tous les messages déviants de la télé, il n’y que soi même en son intériorité pour refuser de prendre conscience de la réalité qui elle, nous permet de changer de paradigme sans chaos, le plus facilement et simplement du monde et d’ouvrir une ère d’une incroyable richesse créative et d’explorer l’espace où là, les natures dominantes trouverons leur espace de conquête.

    quand je dis qu’il est possible de faire la transition facilement et simplement, je parle en connaissance de cause. Mais ce n’est pas ton objet !



  • Hervé Hum Hervé Hum 28 août 2014 14:55

    suite

     La difficulté d’appréhension du principe itératif est que chaque changement d’échelle par processus itératif fractal, induit un espace-temps propre ou dimension de temps d’action propre, créant une dimension de conscience d’être qui sera relationnée directement à celle qui l’a précède et celle qui l’a suit et donc par saut d’échelles à toutes les autres. Mais la conséquence est que chaque dimension ou DCE est figé dans son propre temps d’action et relationnellement aux autres DCE, apparaît comme exclusive et non inclusive, soit, extérieure et non intérieure, car en changeant d’échelle, la DCE antérieure n’évolue plus en elle-même, sa dimension d’espace-temps étant délimité par les DCE qui la précède et la suive. Seule la dernière DCE est en évolution car elle n’a pas encore déterminé son espace-temps propre.  Elle est animé par l’itération de sens initiatrice de l’Univers, autrement dit, l’itération de causalité entre la conscience et la connaissance, entre la vérité et la réalité, entre extérieur et l’intérieur, donc toujours une dualité, que d’autres appellent système ago-antagoniste, dans un mouvement consistant à déterminer  l’ordre de  causalité par le temps d’action entre les deux éléments de la dualité (cela demande un développement que je ne ferai pas ici pour ne pas alourdir davantage le commentaire).

    Si on applique ce principe à la conscience humaine globale, on se rend compte que au vue de la connaissance humaine de son environnement, celle-ci se doit de prendre conscience que la DCE dans laquelle elle s’est développé jusqu’à présent, doit être déterminé pour commencer à entrer dans une nouvelle DCE. Sauf que ceux qui dirigent le monde ne peuvent et ne veulent pas admettre la conséquence directe qu’implique un tel changement de DCE…  malheureusement, ce refus vaut aussi pour ceux qui les subissent et donc s’associent à leur bourreaux. La raison en est que ce changement de dimension né de la connaissance de notre environnement et de la réalité de celui-ci, implique une inversion des rapports dimensionnel, c’est-à-dire, que relationnellement à la DCE dans laquelle l’humain a évolué jusqu’à présent qu’est la Terre, n’apparaît plus comme la totalité de la réalité de son univers et l’espace le domaine de son imaginaire, mais comme le lieu de son propre imaginaire et le cosmos comme la réalité de l’Univers. Autrement dit, nous passons d’une conscience où l’Univers est réduit à la taille de la Terre, d’une conscience ou la Terre est réduite à la taille d’un grain de sable par rapport à l’image que nous avions d’elle ! le problème pour ceux qui nous dirigent, c’est que la Terre ne peut plus être divisé car elle est devenu un espace intérieur à tous les humains et dès lors, il n’y a plus de place pour exercer leur propre pouvoir par la propriété de la terre qui n’existe plus de facto et où le temps d’action est parfaitement connu de tous (moyens communications). Ils sont obligé à renoncer à leur situation dominante exclusive pour ne rester que sur une domination inclusive dont la différence tient dans la transparence totale dans la raison de cette domination. Ce n’est donc pas l’authenticité qui est en cause, mais la transparence entre les uns et les autres quand à leur temps d’actions dans la réalité (la vérité reste elle individuelle).

    Le problème pour ceux que Tall appelle les dominés, est qu’ils perdent l’image d’une Terre univers rassurante pour entrer dans un Univers froid, inconnu et incommensurable, donc, terrifiant et pour beaucoup insupportable.

    Alors, nous sommes bien face à un déni collectif de la réalité dont le contenu de tes articles ne font que témoigner et souligner la force répulsive. tu fais tout, absolument tout pour nier cette évidence d’injonction contradictoire entre une DCE devant se terminer et une autre devant commencer et qui est la cause phénoménale de la schizophrénie et psychopathie collective.. Et tu y contribue !

    On peut même supposer que la disparition de civilisations avancée puissent êtres dû à cette vision insupportable, mais ce n’est qu’une hypothèse !

    Bon avec tout cela, je n’ai pas encore parlé directement du cerveau, mais je ne voyais pas comment faire sans d’abord préciser le principe itératif. Je pense que déjà,  tu commence à voir plus clair avec ce que j’écris !

    jusqu’à présent mon discours s’arrêtait ici, mais j’ai réalisé qu’il me faut passer à la vitesse supérieure car il y a urgence.

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