Et pourquoi pas imposer le vote blanc comme un suffrage exprimé, ou le vote par internet.
refuser de participer à cette mascarade, comme tant l’ont dit plus haut, est déjà une façon de s’exprimer. la flemme n’est pas l’unique motivation de ces quelques 8 millions de personnes.
mais bien sûr, le vote par internet… c’est la porte ouverte à moultes nouvelles dérives. je vous conseille de vous renseigner sur la sécurité des systèmes informatiques ; pour faire court, il n’en existe aucun de fiable à l’heure actuelle.
un vêtement ample et hérmétique quand il fait chaud dehors garde la transipiration du corps, et retarde ainsi la déshydratation en réduisant les besoins et les pertes d’eau.
à vrai dire, je suis autant choqué par le fait de devoir protéger une œuvre par le droit que par le fait d’utiliser une œuvre sans en citer l’auteur.
je vous rejoins sur la distinction entre œuvre et support, ou encore sur le fait qu’un auteur met une partie de lui-même dans sa création. j’ai en revanche quelque difficulté à comprendre l’interêt pour l’auteur d’avoir un monopôle d’exploitation.
Il me semble aussi qu’un support numérique a tendance à modifier l’effet sensible procuré par l’œuvre. par exemple, une version informatisée d’une musique, d’une peinture ou d’un spectacle ne retranscrivent qu’une version éducolorée de l’œuvre. l’ambiance du spectacle/concert, la précision de l’image/de la musique font partie des détails perdus lors de la numérisation.
ce manque est néamoins compensé par le fait que l’œuvre sous cette forme se propage plus vite, à bas prix. toutes les personnes désireuses d’accéder à l’information sont sur un pied d’égalité.
l’écrit est un cas à part, dans le sens où le texte, qu’il soit stocké sur un livre physique ou immatériel ne change pas.
ça me rappelle une petite histoire (à priori un proverbe chinois), que je restitue de tête (je l’avais lu sous une forme bien plus concise et agréable, sur une carte de vœu)
un jour, deux amis se font des cadeaux : chacun vient et repars avec un bien. ils se retrouvent alors, désireux d’échanger des informations : chacun partage la sienne avec l’autre, et tout deux repartent alors avec deux idées.
merci à l’auteur pour les solutions proposées. j’ajouterais une remarque, sur ce qui me semble être un problème : un fichier informatisé (quelque soit le support, dvd, cd, disque dur, etc.) n’est au fond qu’une succession de bits, c’est-à-dire un nombre. comment est-ce rien qu’envisageable de se proclamer auteur d’un nombre ?
alors que payer le support paraît normal, le contenu, de part sa nature même, n’a aucune valeur matérielle.