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hommelibre

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Auteur d'un recueil : "Les contes de Crocodile River" (2013), de deux albums 12 titres : "Doa" et "Contre-Courant", d'un roman : "Le diable en été", d'un essai critique : "Féminista : ras-le-bol !". Site ici.

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  • Premier article le 04/06/2010
  • Modérateur depuis le 23/02/2011
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Derniers commentaires



  • hommelibre hommelibre 24 mars 2011 23:21

    Je m’inscris dans la même argumentations que Rodier, avec quelques variantes selon l’angle de vue développé. Par contre les viols de femmes en masse sont clairement insupportables. On détruit les familles pour des génération, en plus de détruire les femmes et leur homme. Le viol en masse des femmes est une manière de prolonger la souffrance pour des générations après la guerre.

    J’ai déjà écrit sur cela :

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2008/11/02/ma-revue-de-presse-congo-la-honte-obama-piccard.html

    et ici :

    http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2010/05/04/le-kivu-le-coltan-et-l-infini.html

    Cela dit qu’est-ce qui est supportable dans une guerre ? Les tortures infligées aux hommes (dont les bâtons ou les fusils dans l’anus) le sont-elles un peu plus ? Il est vrai qu’en parlant de manière systémique des violences faites aux femmes en temps de guerre, on oublie celles faites aux hommes, qui sont quantitativement les premières victimes¨. Mais on trouve cela normal que les hommes se battent et meurent.



  • hommelibre hommelibre 23 mars 2011 22:40

    @ nikko : votre expérience est intéressante. Il faudrait creuser plus pour faire par exemple l’expérience d’une situation de grand stress, et constater qui agit comment, et en quelles proportions.



  • hommelibre hommelibre 23 mars 2011 22:38

    La science propose des pistes et des informations qui nourrissent la réflexion. Je n’en attends pas une idéologie.



  • hommelibre hommelibre 23 mars 2011 22:35

    @ Logan : Où est votre démonstration ? Je vois des affirmations mais pas de démonstration, ni à défaut de source.

    A aucun moment je n’ai parlé de deux blocs homogènes pour les hommes et les femmes. Je n’ai pas dit non plus qu’il faut se cantonner à un rôle particulier. Je relate des recherches qui disent que des spécialisations peuvent exister et qu’elles se sont pas uniquement socio-culturelles. Je suis personnellement intéressé à la valorisation des différences. Il n’y a aucune notion de domination en cela. C’est vous qui parlez de domination, pas moi. Je ne reprends pas à mon compte la théorie féministe sur la domination masculine. Par contre, à vous lire et à voir comment vous traitez les gens qui ne disent pas la même chose que vous, j’ai l’impression que vous avez un problème avec la domination. Définir l’autre (comme vous le faites avec moi) sans même lui avoir posé une question ni avoir vérifié si c’est bien ce qu’il veut dire est un comportement typiquement dominant dont l’objectif est de démontrer votre supériorité (par ex. par le clivage archaïque/moderne). Je ne vois pas la mise en pratique d’une quelconque coopération... Sous le discours qui se veut novateur, résident encore les réflexes reptiliens.

    L’arrogance qui consiste à vouloir interpréter des milliers d’années d’Histoire humaine à partir des 50 dernières années est un obstacle à une vraie réflexion. Tout peut être pensé, repensé, rediscuté. Généraliser le comportement masculin depuis des milliers d’années n’est pas pour moi le signe d’une réflexion.

    La domination existe, elle est largement partagée entre hommes et femmes, mais ne s’applique pas dans les mêmes domaines. Je crois qu’on est allé trop vite sur ces questions et qu’il repenser ce qui prétend être la « modernité » comme le reste.

    En ce qui concerne la spécialisation, rien n’empêche de changer de rôle, heureusement. Mais l’évolution va dans le sens des spécialisations, pour toutes les espèces. La différenciation sexuelle est le signe le plus évident, mais pas le seul, de cette spécialisation. L’organisation biologique des espèces dites supérieures est une démonstration constante de la notion de différenciation, mais avec une complexité croissante qui suppose que les limites entre les spécialités (cellulaires par exemple) est souvent poreuse.

    Les cellules souches sont un exemple formidable à la fois de l’indifférenciation, puis de la différenciation biologique. La plasticité humaine, dont cérébrale, est étonnante. C’est peut-être cela qui en fait l’espèce la plus avancée dans un certain nombre de domaines : langage articulé, pensée abstraite, technologie, entre autres. Les cellules-douches montrent entre autres que nous ne sommes pas « finis » une fois pour toutes. Mais la complexité demande des éléments spécialisés pour fonctionner. Une entreprise, un Etat, a besoin de fonctions spécialisées pour exister et être efficace. Cependant, et paradoxalement, les espèces les plus avancées dans la complexité sont aussi plus plastiques. On peut changer de spécialisation, ou compléter en partie celles dont nous sommes dotés. La spécialisation c’est l’efficacité, la complexité et la conscience. A l’heure actuelle on ne peut donc plus balancer des certitudes sans admettre leur relativité. Y compris dans vos théories.

    Vous dites que la finalité est la même. Quelle est-elle ? A part se reproduire et croître, les espèces ont-elles une autre finalité ? Si oui, laquelle à votre avis ?

    Et est-il possible de dialoguer avec vous ?



  • hommelibre hommelibre 23 mars 2011 19:48

    Je vous propose de lire le magazine auquel je fais référence, ainsi que les études qu’il cite. Un blog est pour moi un espace d’échange sur une proposition. Aller plus loin dans une analyse scientifique est fait dans les études, que je ne vais pas reproduire. J’en cite la source, ou tout du moins le média qui permet d’aller à la source.

    Vous affirmer certaines notions de manière péremptoire. Quelle est votre source, par exemple concernant celle-ci : « Ce qui est déterminant c’est toujours et uniquement l’influence socio-culturelle.... » ? Sur quelle base est-il possible d’affirmer que le socio-culturel est plus déterminant que par exemple des modifications biologiques dues à des modifications alimentaires ou environnementales qui seraient de nature à modfier, de manière pathologique ou non, nos échanges biochimiques, la circulation de l’information neuronale, et partant, notre perception du monde et notre capacité ou manière de nous adapter ?

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