Ce qu’il y a de nanotechnologique et de nouveau dans cette démarche ce n’est pas le principe physique de ces cellules mais le procédé de fabrication, un procédé basé sur la mise au point d’une encre de nanoparticules de CIGS produite par auto-assemblage moléculaire. La frontière entre la chimie et la nanotechnologie est parfois floue, mais plus on avancera dans ce domaine plus la nanotechnologie se démarquera des anciennes disciplines. Nanosolar ne fait qu’illustrer le tout début de l’incursion des nanotechnologies dans l’industrie de l’énergie.
Je viens de découvrir qu’un colloque a eu lieu en novembre 2006 à propos des nanomatériaux pour l’énergie,mais impossible malheureusement d’en savoir plus.