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Jean-Louis Lascoux

Jean-Louis Lascoux

Auteur de "Pratique de la Médiation Professionnelle, une méthode alternative de gestion des conflits" et du Dictionnaire encyclopédique de la Médiation (ESF), "Et tu deviendras médiateur..." (ME) et co-auteur du "Code de la médiation" (ME) Vice-président de lCPMN, Président de l'EPMN, formation professionnelle des médiateurs. Rédacteur en chef de L'Officiel de la Médiation

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  • Premier article le 05/06/2006
  • Modérateur depuis le 17/07/2006
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Derniers commentaires



  • Jean-Louis Lascoux Prosope 10 juin 2006 12:32

    Bonjour

    Décidément, vous avez le clavier bien pendu... smiley Un père qui, dans ces conditions, est soutenu pour faire incarcéré la mère de ses enfants, ne peut qu’être mal conseillé. La prolixité des arguments est ici un entraînement dactylographique. bonne journée, et si vous le pouvez, pensez à autre chose... smiley



  • Jean-Louis Lascoux Prosope 10 juin 2006 11:21

    Bonjour,

    Décidément, l’affectivité est difficilement contrôlable. Il n’y a aucun « merci » a avoir pour l’un ni pour l’autre. Encore moins aux systèmes judiciaires.

    La contrainte de vivre dans un pays ou dans l’autre est valable des deux côtés. Il reste simpliste de dire « elle n’avait qu’à »...

    La situation est dramatique, et pour l’un et pour l’autre des parents. Et pour les enfants. Le système judiciaire, qu’il soit français ou canadien, qu’il soit oriental ou occidental, n’a pas « raison » d’incarcérer pour ce type de comportements. Ce faisant, il alimente un passé qui sera désormais entâché plus gravement qu’il l’était déjà - non seulement pour cette femme en prison, mais pour les enfants qui auront cette histoire à porter.

    J’ai lu depuis longtemps le contenu des sites sur les « enlèvements » par les parents. Dans cette situation, il ne s’agit manifestement pas de l’intérêt des enfants mais de l’exercice d’une autorité étatique aveugle à ce qui fait l’humain, avec ses états émotionnels, ses désirs, ses motivations.

    Les lectures « psychologiques » ne fournissent pas les clés pour dénouer les conflits familiaux. Je reste à dire que ces parents sont mal conseillés, entourés de personnes qui interagissent avec des points de vue qui ne les aident pas ; ils sont mal accompagnés.



  • Jean-Louis Lascoux Prosope 10 juin 2006 00:00

    Bonsoir Et dans le pays de la médiation familiale et pénale, les éléments que vous apportez justifient l’incarcération, bien évidemment...



  • Jean-Louis Lascoux Prosope 9 juin 2006 17:26

    Bonjour Houla, les arguments commencent à être des attaques personnelles. Si vous lisez mon propos, précisément sans parti pris, vous constaterez que c’est la compétence des médiateurs que je place en exergue. Vous en prendre à mon sens de l’impartialité professionnelle est vain. Le sujet traité ou maltraité ne changera pas la situation de cette jeune femme en prison.

    La polémique de savoir si elle a la tête en l’air, si elle a eu raison ou tort, si le père a les pied sur terre ou s’il a raison ou tort est totalement déplacée. La dame est en prison pour un délit très grave : elle est partie, très loin, mais sur la planète, dans un pays aux frontières ouvertes, avec ses enfants. En effet, sans aucun doute, ça méritait la prison. Elle fait partie des « ravisseurs », bien plus que ces sectes qui endoctrinent. Et puis la prison, au nom de la présomption d’innocence, n’est-ce pas une mesure prise en toute impartialité ? Bien sûr que si.

    Et puis... ça serait si bien, si clair si vous sortiez de cet anonymat smiley pour vos commentaires qui témoignent d’une si forte revendication de neutralité et d’impartialité...

    Petite lecture sympa conseillée : la grammaire est une chanson douce...



  • Jean-Louis Lascoux Prosope 5 juin 2006 17:26

    La partialité dénoncée est ici une technique sophistique déjà utilisée pour argumenter contre des propos qui gênent. Je me demande en quoi la dénonciation d’un fonctionnement judiciaire faisant violence aux personnes peux être partial...

    Ce n’est pas parce que depuis quelques années il y a une tendance à tout qualifier juridiquement qu’il faut adopter ce mode de pensée. Si la presse est partiale, c’est surtout en ne retenant que l’accusation qui parle « d’enlèvement d’enfants ». Or, s’agit-il d’enlèvement ? Pour la défense, il est question de protection. Retenir le terme d’enlèvement est un parti pris.

    La question n’est pas de savoir si oui ou non cette jeune femme est partie avec ses enfants en ne respectant pas une ou plusieurs règles de droit. Nous sommes confrontés à une situation qui interpelle : son acte mérite-t-il l’incarcération ?

    JLL

    Ps : le mandat d’arrêt avait été annulé, c’est la raison de la « bouche en coeur »... Subitement un mandat ressort, de manière très opportune. Il fallait bien que quelqu’un soit au courant de son arrivée. Il fallait bien que quelqu’un lui en veuille pour la faire incarcérer. Quelle réjouissance ???

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