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JL ML

JL ML

Journaliste (ancien ESJ Lille) et professeur en journalisme (CFD-EMI), je suis rédacteur en chef du webzine Ouvertures.
J'ai initié en 2007 sur Agoravox le concept de "co-journalisme" (enquête participative) dans laquelle un journaliste professionnel lance le sujet puis l'approfondit avec les internautes et par lui-même avant d'en publier intégralement la synthèse.
Je crois que l'avenir du journalisme dépend du supplément de qualité qu'il saura offrir, et que ce supplément ne sera possible qu'en intégrant de plus en plus, et en amont, l'opinion et les connaissances du public.
Je milite parallèlement pour la promotion de la liberté d'expression et du journalisme éthique. Je milite ainsi pour la création d'un conseil de la presse indépendant, constitué de journalistes, d'éditeurs et de citoyens, qui aurait pour mission d'assurer une régulation pour faire respecter le droit du citoyen à une information fiable.

Mes livres :
 * Décryptez l'information, Dangles, 2014.
 * Evolution et finalité ; Darwin, Monod, Dieu, L'Harmattan, 2009.
 * Les Droits de l'âme - Pour une reconnaissance politique de la transcendance, L'Harmattan, 2008.
 * Le Guide l'écriture journalistique (La Découverte, 7ème édition 2008)
 * Vademecum de l'eau : le guide de l'acteur de l'eau (Johanet, 2008)
 * Le Journalisme responsable, un défi démocratique (Editions Charles-Léopold Mayer, 2006).
 * Et comment va Youri ? Théâtre, Ed. du Petit Théâtre de Vallières, Clermont-Ferrand, 2007.
 

Tableau de bord

  • Premier article le 26/07/2006
  • Modérateur depuis le 27/11/2006
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Ses articles classés par : ordre chronologique













Derniers commentaires



  • JL ML Jean-Luc Martin-Lagardette 28 septembre 2007 10:44

    Oui, tout à fait sûr.

    Je ne suis absolument pas contre les vaccins mais seulement contre leur usage abusif ou inconsidéré.



  • JL ML Jean-Luc Martin-Lagardette 27 septembre 2007 15:10

    Quelques réflexions suite à certains commentaires

    - Je suis étonné par l’amertume et le procès d’intention de quelques réactions particulièrement négatives suite à mon travail. Alors que, suite à mon enquête, tout le monde a concrètement de quoi se réjouir. Je pense que ces détracteurs font une confusion et sont contrariés parce que mes conclusions ne concordent pas avec ce qu’ils pensent.

    - Les pro-vaccins, d’abord. En effet, j’aurais très bien pu, comme cela est le cas dans de nombreuses revues, me positionner “contre” les vaccins en général. Cela n’a pas été le cas. Je n’ai pas contesté l’utilité des vaccins mais la politique de la France à leur égard, notamment en ce qui concerne les vaccins obligatoires, cœur de l’article (à ce propos, si j’ai aussi parlé parfois d’autres vaccins, c’est que certains aspects concernent tous les vaccins, comme par exemple la problématique de leurs composants). Donc, premier point positif : une position non pas négative mais neutre vis-à-vis des vaccins.

    - Ensuite, les arguments des pro-vaccins sont développés en long et en large, les références sont nombreuses et chacun peut se construire lui-même son opinion à partir de mes informations (2e point positif).

    - Cette enquête (je le reprécise encore une fois) n’avait pas pour but le “principe vaccinal” mais la “légitimité du durcissement des sanctions” contre les refus de vaccination. Je suis désolé pour ceux à qui ma conclusion déplaît, mais je pense avoir apporté de nombreux arguments factuels, pris aux sources les plus officielles (Invs, Afssaps, CTV, OMS, Assemblée nationale, etc.), pour montrer que cette sévérisation, à mon avis, n’est pas légitime.

    - L’enquête montre (lisez les débats à l’Assemblée nationale) que le durcissement des sanctions s’est décidé (contre l’avis du gouvernement !) non à partir d’arguments sanitaires (que j’aurais compris et accepté comme tout le monde) mais à partir d’une peur des dérives sectaires liées aux vaccins, dérives qui concernent, selon les chiffres mêmes du ministère de l’intérieur, 0,0006 % des Français. Menacer tous les parents français de 6 mois de prison et de fortes amendes pour parer à ce risque me paraît irrationnel et incompréhensible. Il y a là une décision qui aurait mérité au moins un débat plus ouvert...

    - L’enquête a été menée dans les règles de l’art (journalistiques). Je ne me suis pas contenté d’être à charge, de reprendre les seuls arguments des opposants à la politique vaccinale, mais j’ai consulté aussi les rapports des plus grandes autorités dans ce domaine. En outre, je suis allé interviewer LA sommité, le président du Comité technique des vaccinations, c’est-à-dire de l’instance suprême qui définit la stratégie vaccinale du pays. On ne peut aller plus haut ! Qui aurais-je dû aller voir pour satisfaire la soif d’objectivité de certains de mes contradicteurs ? Et que dit ce monsieur : « A titre personnel, je suis favorable à la levée de l’obligation ». C’est cette affirmation qui m’a convaincu que mon intuition de départ était bonne. Alors que ce responsable scientifique lui-même se dit pour la levée de l’obligation, je ne vois pas en quoi je serais partial en partageant son avis. Seriez-vous, vous qui ne pouvez accepter même la discussion autour de cette levée, plus royalistes que le roi ?

    - Mon intuition de départ était que cette sévérisation n’était pas justifiée. C’est la partie “subjective” de l’enquête que je revendique parce que cette subjectivité est inhérente à toute enquête, fût-elle policière voire scientifique. Lisez (ou relisez) « La Médecine expérimentale » de Claude Bernard, lui qui disait : « Il faut nécessairement expérimenter avec une idée préconçue. (...) Il n’est pas possible d’instituer une expérience sans une idée préconçue ; instituer une expérience, c’est poser une question ; on ne conçoit jamais question sans l’idée qui sollicité la réponse, etc. ». C’est en cela que l’objectivité (l’abstraction du sujet) est impossible. C’est le « résultat » qu’il faut regarder sans idée préconçue. Et, dans le cas présent, le résultat, c’est que je livre à la sagacité de tous.

    - L’enquête avait pour but de vérifier mon intuition (je rappelle que je ne connaissais rien à ce domaine et n’avais pas d’opinion toute faite à ce sujet ; seulement, je voyais qu’il y avait un sérieux problème de communication entre pour et contre et je voulus savoir pourquoi). Le deuxième argument fort qui m’a convaincu dans mon hypothèse est ce que m’a dit un spécialiste éminent de l’Institut de veille sanitaire : la balance bénéfices/risques (qui est capitale pour connaître le plus scientifiquement possible l’intérêt d’un vaccin) n’a pas été calculée (pour les vaccins obligatoires) depuis le lancement de l’obligation vaccinale il y a plus de 50 ans ! Si ceci n’est pas - pour vous - un argument pour dire que cette balance doit être faite aujourd’hui avant de justifier non seulement la sévérisation des sanctions mais aussi la seule obligation de vacciner, je ne sais pas ce qu’il vous faut ! Ou alors, quittons le terrain rationnel. Les conditions d’aujourd’hui ne sont plus celles d’il y a cinquante ans, époque à laquelle sévissaient d’horribles maladies que les vaccins ont certainement contribué à faire régresser. Aujourd’hui, beaucoup de gens se plaignent des effets secondaires, ceux-ci sont massivement sous-notifiés, des procès sont en cours, des associations se sont crées, des médecins hésitent à se faire vacciner, etc. Ce sont des signes qu’il ne faut pas ignorer et qui plaident pour la nécessité de recalculer le ratio bénéfices/risques.

    - L’angle de mon article est politique et non scientifique. Si j’ai aussi abordé des questions médicales, c’est que cela était nécessaire pour la compréhension. Je rappelle au passage aux farouches partisans de la démarche scientifique que celle-ci a pour principale critère le doute et la capacité à se remettre en question ; ensuite que la médecine n’est pas une science exacte et que donc les paramètres sociaux, politiques et psychologiques sont à prendre en compte (domaines tout à fait de la compétence d’un journaliste).

    - Enfin, les pro-liberté vaccinale peuvent être satisfaits de constater qu’un journaliste sans a priori sur l’utilité des vaccins (même si, au départ il avait une idée sur la politique vaccinale française, idée indispensable à toute enquête), qu’un journaliste, donc, reconnaît publiquement qu’il y a un problème et propose soit un débat collectif sur ces questions, soit la levée de l’obligation. Rien donc, à mon avis, que de très normal, rationnel, démocratique et positif pour tout le monde.



  • JL ML Jean-Luc Martin-Lagardette 26 septembre 2007 15:36

    Puisque, apparemment, vous raisonnez, vous, scientifiquement, scientifique, citez-nous une seule maladie disparue grâce aux seules vaccinations, preuves à l’appui.



  • JL ML Jean-Luc Martin-Lagardette 26 septembre 2007 14:19

    Faux, il y a des faits nouveaux mon enquête mais vous ne les relevez pas car vous seriez apparement bien en peine de les contredire.

    Pour les médecins, je pense que vous faites montre de naïveté.

    Pour l’objectivité, il faut savoir :

    - qu’elle est impossible pour un homme seul. Celui qui prétendrait être objectif serait aussi bien naïf (ou prétentieux)

    - qu’elle réside plutôt dans le fait d’accueillir les remarques des autres et d’étudier leurs arguments

    - de reconnaître les erreurs factuelles quand elles sont signalées (c’est donc ce que je vous invite à faire, de façon précise et argumentée).



  • JL ML Jean-Luc Martin-Lagardette 26 septembre 2007 14:02

    D’entrée de jeu, j’avais averti que cette enquête avait pour objet l’interrogation sur la justification du durcissement des sanctions contre le refus vaccinal - et non une analyse scientifique « pour ou contre la vaccination ». Il est donc normal que « si cet article avait été soumis à une revue scientifique, il n’aurait pas été accepté » ! Ce n’était pas son but.

    De même, j’avais averti que, pour les aspects positifs des vaccins, je laissais le soin aux internautes de consulter leurs médias habituels et la communication des autorités qui, eux, font totalement l’impasse totale sur les effets négatifs des vaccins. En ce moment, voyez ce qui se passe sur la grippe qui s’annonce : avez-vous entendu une seule information disant que le vaccin pouvait avoir des effets secondaires ? Je trouve même que j’ai voulu être trop « équilibré » et « gentil ». S’il avait fallu que je contrebalance la communication des « pro-vaccins » déversée rien que sur une année, il m’aurait fallu une enquête contenant des dizaines de milliers de pages !

    Enfin, vous mettez en avant, comme beaucoup de ceux qui tentent de culpabiliser les critiques, que la vaccination est un acte altruiste et qu’il faut regarder la balance « bénéfices/risques ». Peut-être avez-vous lu l’enquête trop rapidement : vous ne réagissez pas au fait que cette balance n’est plus calculée en France depuis 50 ans pour les vaccins obligatoires ! Et que donc le bénéfice collectif n’est pas mesuré depuis la fin de la deuxième guerre par les autorités.

    Vous n’expliquez pas non plus pourquoi les médecins se vaccinent moins que les infirmières.

    Bref, vous ne répondez pas aux arguments et vous contentez d’une critique générale.

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