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jege117

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Tableau de bord

  • Premier article le 24/01/2011
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Derniers commentaires



  • jege117 16 février 2013 20:44

    La Classe !!!! C’est vrai que le support où exerce ce monsieur ses talents, est assurément la classe totale et le seul fait de brocarder le président en l’affublant du pseudo de « flamby » , dénote que machin Bastiat est un pur démocrate.
    Votre article est le reflet d’un droitiste aigri et jaloux, vous écrivez de purs ragots de concierge, alors que dans l"état pitoyable où vous et vos amis ont laissé la France en Mai 2012, il serait beaucoup plus classe d’adopter un profil bas et vous battre pour les valeurs démocrates de notre pays au lieu de palabrer et aussi de balayer devant la porte de l’ump, mais n’avez vous peut-être pas vu que ce n’était pas très propre. JG.



  • jege117 15 février 2013 01:24

    Tout étant dans la démesure il n’est pas impossible qu’un gamin de 10 ans qui, comme j’en vois tous les jours, se colle un mobile à l’oreille 12 h par jour, à 30 ans ait le cerveau légèrement embrumé ou atteint de je ne sais quelle maladie. Si comme moi le téléphone fixe ou mobile on s’en sert raisonnablement et surtout quand c’est nécessaire, à mon avis il n’y a que peu de risque.
    De toute façon avant que ces fameuses « ondes » soient responsables de autant de morts et de blessés qu’en a produit l’automobile ou la prochaine guerre qui risque de nous tomber dessus, i
    il aura passé beaucoup sous le pont de l’Alma. JG.



  • jege117 23 novembre 2012 19:05

    Monsieur Cozin, il faut mettre un peu le nez dehors pour voir ce qui se passe. Si j’ai bien compris les français sont de grands feignants, les autres états sont tous extraordinairement plus « bosseurs » ? c’est avec des gens comme vous que la France a mal, il ne faut pas aimer beaucoup son pays et ses congénères pour écrire de telles balivernes.
    Je ne vais pas vous expliquer ce qui se passe en France et en Europe en général car vous le savez très bien. Je n’exagère nullement si je vous dis que le tableau que vous brossez de ces « feignants de français » est surement valable pour moins 2% des travailleurs, quels qu’ils soient. Chacun de nous dans sa vie n’a eu d’autre espoir que de trouver un travail payé en fonction de ses aptitudes dans son métier ( qu’il n’a pas toujours choisi) et un travail qui lui permette de vivre avec son temps. Vous êtes ingénieur, vous avez un travail, j’imagine très bien rémunéré, grand bien vous fasse car je connais plusieurs jeunes ingénieurs qui, malgré leurs efforts n’ont trouvé aucun job durant deux ans après l’obtention de leur diplôme, si ce n’est quelques intérims. Et bien pour au moins deux d’entre eux ( ce sont des petits neveux) le premier, ingénieur en electro mécanique en a eu ras le bol de courir aux quatre coins de la France pour des missions de m...de, il a monté son entreprise de pose de terrasses en bois, et de cabanes de jardin il travaille seul et ne craint pas les ampoules aux mains, ni les échardes. La deuxième diplôme d’ingénieur du son elle travaille chez Auchan à vendre de l’électroménager et autres telés fabriqué en Chine pour la plupart.
    Je n’espère en aucun cas vous faire changer d’avis, mais tout au moins de vous engager à vous renseigner un peu sur ce qui se passe dans la vraie vie de nos concitoyens.
    Personnellement je suis retraité, ex cadre du bâtiment, donc je ne suis plus concerné directement j’ai eu la chance d’avoir du travail pendant 43 ans sans aucun jour de chômage, mais j’ai eu souvent la hantise de ne plus en avoir. JG.



  • jege117 26 septembre 2012 12:40

    « L’Europe n’a jamais avancé autant que pendant cette crise »

     

     

    Le Monde.fr | 12.09.2012 à 09h19 • Mis à jour le 12.09.2012 à 09h36

     

    ( Lire cet article sur le Monde du 12/9)

      J’avais relevé cet article écrit par un « économiste » qui m’a énervé « grave » j’avais fait le commentaires ci-dessous il y a une quinzaine de jour

     

    L’Europe en crise ! Je n’ai pas envie d’en rire et pourtant quand on lit de tels titres d’articles, de surcroit émanant d’un journal comme le Monde, il y a vraiment de quoi pleurer.


    L’idée de créer une Europe en tant que nation au même titre que les Etats Unis a fait rêver en son temps bon nombre d’habitants de notre vieux continent.

     

    Souvenons nous de l’Europe des six, il y a maintenant plus de cinquante ans. Pourquoi nos têtes pensantes on voulu créer l’Europe, pour en faire une entité Nationale, mais aussi pour soit disant sauver la paix et surtout créer pour la haute finance un pool charbon acier. Pour la paix elle a été préservée mais pas seulement grâce à l’Europe, quant à l’acier et le charbon on sait ce qu’il en reste avec au passage la destruction de dizaines de milliers d’emploi principalement dans la sidérurgie du bassin de Loraine. et les mines du Nord.

     

    Ensuite la Politique agricole commune ( PAC). Idée géniale, appuyée sans restriction par les gouvernements des années 60 et 70. Là aussi le résultat fut des plus catastrophiques pour la France. La brutalité des décisions du parlement européen a détruit en France prés de deux millions de petits agriculteurs en 30 ans, sans parler des professions satellites aux métiers de la terre, et paradoxalement enrichissant les gros propriétaires terriens avides d’expansionnisme agraire.

     

    De plus aujourd’hui avec les adhésions successives l’Europe est constituées de 27 pays dont au moins la moitié est incompatible avec l’esprit des créateurs (Schuman, Jean Monet etc.) ainsi qu’avec le traité de Rome de 1957. Même le marché commun, leit motiv d’une décennie des années 70 80 est passé à la trappe comme le pool charbon acier 10 ou 20 ans plus tôt.

     

    Ainsi l’Europe est devenue une cacophonie, un souk ou chacun des 27 pays fait son marché et essaye de tirer la couverture à soi afin de concurrencer tous les autres avec ses moyens.

     

    L’Allemagne et sa puissance industrielle, sa rigueur économique écrase sans conteste les autres états.

    La Grande Bretagne (refusant l’Euro) et sa Livre Sterling liée au dollar américain draine vers la City des capitaux européens considérables ne laissant aux  places financières européennes liées à l’euro, qu’une part congrue du gâteau capitalistique.

     

    La fiscalité afférente aux entreprises de la plupart des pays voisins de la France comme la Grande Bretagne, la Belgique, Luxembourg, Monaco, Pays bas etc.. Attirent des entreprises souvent  performantes et créatrices d’emplois, faisant fi du service public, santé, éducation etc.. Il n’est pas non plus concevable que dans certains pays comme la Roumanie, la Pologne, certains pays des Balkans le prix de la main d’œuvre y soit scandaleusement bas. 

     

    Donc on peut aisément affirmer que dans de telles conditions l’Europe en l’état et en tant qu’Etat économique, financier, social, et même politique n’existe pas, c’est une création utopique, une vue de l’esprit.

     

    Oui moi aussi j’ai cru  à l’Europe car j’espérais comme beaucoup d’électeurs que les douze états la composant à l’époque auraient à cœur de se fédérer, établissant un Etat social, économique et financier auquel les nouveaux arrivants devraient  adhérer sans condition.

     

    A mon sens, en 2012 les économistes de tous bords ne font que palabrer sur une situation actuelle de l’Europe vouée à un échec retentissant, aucun n’est capable d’aller au fond du problème, ce qui va se passer dans les 10 ans à venir est pourtant prévisible, où bien les états sont capables de se fédérer, ou alors l’Europe va entrer dans une violente récession où les plus faibles et même des grands pays comme l’Espagne resteront sur le carreau, incapables d’éponger leurs dettes colossales sinon par des régimes autoritaires appliquant des solutions drastiques où le prolétariat paiera le prix fort. JG



  • jege117 29 juillet 2012 00:34

    Il y aurait tant de choses à dire sur les agissements de la direction de Peugeot et de quelques autres, que l’on pourrait passer la nuit à pérorer sur ce phénomène de notre société je veux parler des licenciements. Pourquoi Peugeot, société privée, ferait il exception à la règle, je devrais dire à la mode. Prétextant de la sacrée bon sang de crise, qui je le rappelle, existe pour ces gens là seulement depuis le 6 mai 2012.
    Depuis 2008, en bon gestionnaires d’une industrie de l’automobile, soutenue à bout de bras par les primes à la casse et autres artifices de l’État, la direction de Peugeot connaissait parfaitement l’usure du système en tous cas depuis disons mi 2010.
    Pourquoi avoir attendu mai 2012 pour mettre d’un coup 10.000 salariés sur le tapis, pourquoi avoir continué d’investir par des prises de participations hypothétiques ( Opel par exemple), pourquoi avoir fait croire à l’ensemble du personnel que la pérennité de l’usine d’Aulnay était assurée.
    Le scénario qui arrive avait en fait plusieurs objectifs, dans un premier temps préserver les dividendes des actionnaires ( ce malgré une chute vertigineuse du titre en bourse) de permettre à la famille Peugeot de continuer à se gaver, et enfin de ne faire aucune vague pendant la campagne présidentielle afin de laisser un certain Sarkozy raconter ses salades aux gogos de la droite soi disant démocratique. On verra dans les mois qui arrivent que quelques fourbes de l’UMP n’hésiteront pas à à faire porter le chapeau de cette catastrophe industrielle à François Hollande et à son gouvernement, ( la preuve cela a déjà commencé)
    Dans l’état actuel de la situation, effectivement la seule chose possible pour « sauver les meubles » c’est de nationaliser l’entreprise. Oui ! c’est nous qui allons payer,mais par rapport à ce que nous ont coûté le renflouement des banques j’irai jusqu’à dire que c’est de la bricole, mais cela je ne crois pas que Hollande ait les c.. les pour le faire.
    De toute façon, depuis la nuit des temps c’est toujours les ouvriers qui ont subi les contre coups des mutations industrielles. C’est comme les guerres ce ne sont pas ceux qui les décident qui eux se connaissent bien, mais bien les trouffions qui se font trouer la peau par des gars qu’ils ne connaissent pas.

     

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