Je cite : « Cette perte de stabilisation latérale conjuguée à un effet funiculaire des planchers encore arrimés sur les façades, a causé le flambement des poteaux périphériques comme ce fut visible sur plusieurs vidéos (Figures 6 et 7). » (page 6)
Regardez les images page 7, celle de droite, le flambage est impressionnant.
« Assez logiquement, même si nous pouvons trouver quelques différences sur les facteurs les plus influents, toutes ces études concluent qu’entre les redistributions de charges induites par le crash des avions et la perte de rigidité de l’acier en raison de sa montée en température, ces facteurs étaient suffisants pour qu’un (ou plusieurs) étage(s) cède(nt) complètement. »
Page 14 pour l’éffondrement successif.
Voilà, vous retrouvez mon baton de ski qui vous prend pour un gosse de 8 ans, mais vu votre potentiel scientifique, j’aurai pu l’éviter, c’est sur.
Mon pauvre, vous ne faites pas le poids avec non666 ?
Au
lieu de nous prendre pour des gamins de 8 ans qui n’y connaitrait rien
à la physique avec votre exemple du baton de ski, repondez à la
question de la chaleur massique et vous aurez des surprises.
Comment
faire dépasser la limite élastique (même avec un module de Young
rabaissé sous les 210 GPa) de plusieur milliers de tonnes d’acier avec
40 T de kerosene en combustion incomplete (donc de grosses pertes
energetiques). Evidemment le tout de facon homogene dans une tour
prévue à la base avec des securites incendie ?"
Ahh, vous postez ici aussi. Bon, voir ma réponse à votre post précédent. le postulat de départ de Non666 n’est pas le mien. A mon sens, seuls les étages impactés on vu leur résistance baissée par l’action de la chaleur et de l’effort mécanique du au crash, les étages du dessus s’étant ensuite écroulés sur ces dits étages.
(voir mon post dans la première page de commentaires).
Evidemment que 40T de kérosène ne vont pas faire fondre 100+ étages d’acier.... Votre interprétation de mes propos est vulgaire !
Pour moi, techniquement, il y a 3 facteurs : - la chaleur. Chez les pompier, on se méfie toujours plus d’un incendie dans un entrepot avec charpente métallique que dans une maison charpente bois, la première cèdant plus rapidement. Le bois brule, mais ne cède pas. - l’arrachement de certaines poutre, ou la flèche crée sur les poutres par l’impact. Comme je disais dans un autre post, si on prend un baton de ski, on ne peut pas le plier en appuyant verticalement dessus. Mais si on le tord, et ensuite on appuie dessus, le baton va vite céder. Même principe ici. - après, mes connaissances en BTP sont plus limitée. Si, du côté de l’impact, les poutres cèdent, le plafond descend un étage, entrainant les autres étages du dessus ensuite, chaque étage reposant sur celui du dessous, c’est comme ça que j’expliquerai l’effondrement. Les étages touchés cèdent, les étages du dessus descendent, et leur poids associé à leur vitesse donnent suffisamment d’énergie pour écraser comme un chateau de carte les étages inférieurs les uns après les autres.
Mais encore une fois, sur ce dernier point, je suis techniquement plus limité.
Bon, outre le manque de liens vers le sources, qui ne me permettent pas de clairement donner mon avis, je prend juste un petit bout :
»Par ailleurs, piliers et planchers n’ont point été conçus pour résister à l’enchaînement impact-explosion/inflammation consécutif... à la collision avec un avion de ligne à 800 km/h !"
Mais si , ca avait été prévu.
Quasiment aucun élément en acier du WTC n’a montré une exposition à une température supérieure à 260 ° (normal vu les incendies finalement classiques de cet immeuble de bureau)
Ahh, ils ont prévu lors de la conception que le 9/11, un avion AA allait se cracher dans les tours ? Ca met de l’eau au moulin de nos amis anti VO ça non ? C’est comme notre bon vieux gouvernement qui nous assure que la centrale du Bugey a été prévue pour résister à un impact d’avion... le tout en installant l’armée avec des missiles sol-air à côté :D
Quant à ces 260°, j’aimerai bien avoir la source de vos informations....