@ Papy
Vous êtes trop fort ; faire cet article le jour de la mort d’un grand bienfaiteur pour nos banlieues
http://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/mikhail-kalachnikov-l-inventeur-de-la-kalachnikov-est-mort_1309665.html
Ben oui : qu’est-ce qu’ils le faut à nos « banlieusards » pour être heureux ?
Du Shitt , des Kalaches et des counasses (blondes de préférence)
Le shitt : ils l’importent
Les Kalaches sont à 300 euros à Clignancourt
Pour les counasses : les gauches y pourvoit
« Je plaide en effet coupable pour avoir oublié un A majuscule au mot Arabe. »
Pas grave Fergus
Vous nous ferez 10 sourates et 3 versets , en babouches et djellaba
Vous tiendrez compagnie à Hollande ce gros mécréant
La prochaine incartade vous vaudra un pèlerinage à La Mecque ( à tous les deux )
@ Fergus
Dans le genre article comique vous êtes pas mal non plus
Votre« Conte de Noél » est a mourir de rire lui aussi
Comme celui de Morice « J’avais raison : c’est la CIA qui était responsable »
Agoravox va détrôner Hara-Kiri
Pour un conte hautement imaginaire : le compte n’y est pas
La réalité du quotidien est tout autre :
http://infos.fncv.com/post/2009/03/11/violence-quartiers-bande-jeunes-racailles-attaque-lycee-professionnel-ecole-enseignants-eleves-blesses-gagny-banlieue
http://www.dreuz.info/2013/06/quand-les-racailles-se-reservent-le-dernier-wagon-pour-fumer-les-agents-sncf-se-font-tabasser/
Moi ; au Père Noél il y a longtemps que je n’y crois plus : il n’y a aucune raison d’y croire
Alors votre « conte ciblé sans arrières-pensées aucunes » : me fait doucement sourire (c’est déjà çà)
Dans le genre blague hollandaise , celle qui m’a fait le plus rire :
« Le changement ; c’est maintenant »
C’est à mourir de rire
Sa blagounette algérienne n’est rien que le ressenti des socialos-bobos
Pour qu’elle soit drôle il suffit de penser qu’avec çà il va perdre son électorat favori
L’est rancunier l’algérien
Il a pas oublié les zodeurs de Chirac ; c’est vous dire
Alors se foutre de la gueule de l’Algérie devant un parterre de juifs hilares il est pas prés de l’oublier celle-là