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L'Oeil qui court

L’Oeil qui court

Amoureuse d'un petit coin de l'espace appelée Terre...
Emplie par le spectacle des mille vies qui bruissent et murmurent, jacassent et folâtrent
 

Tableau de bord

  • Premier article le 10/10/2011
  • Modérateur depuis le 15/10/2011
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Derniers commentaires



  • L'Oeil qui court L’Oeil qui court 4 mars 2012 15:06

    Il ne s’agit pas ici de convaincre - ce qui repose sur la notion de croyances - mais d’informer. Monsieur, si vous connaissez bien les éléments que j’apporte, qui sont des faits et non une question de foi, et que vous pensez qu’ils sont faux ou insuffisants pourquoi venez-vous les relire et les relire encore ?

    Une information complémentaire, un reportage du magazine Interception de France Inter sur les graves conséquences en Corse du passage du nuage de Tchernobyl, intitulé « Corse un nuage en travers de la gorge ». Il régnait durant dix jours un temps brumeux humide qui a plaqué la radioactivité sur l’Ile  :
    http://www.franceinter.fr/emission-interception-corse-un-nuage-en-travers-de-la-gorge



  • L'Oeil qui court L’Oeil qui court 2 mars 2012 16:46

    Elle est à combien de kms de chez vous, l’inoffensive et irremplaçable centrale la plus proche ?



  • L'Oeil qui court L’Oeil qui court 2 mars 2012 16:08

    Les centrales françaises ont été conçues pour vivre 30 ans. 13 ont plus de 30 ans et ont obtenu l’autorisation d’être prolongées de 10 ans sous couvert de multiples travaux (10 milliards de travaux doivent être opérés sur l’ensemble du parc français). 13 de plus vont avoir 30 ans dans les 3 ans qui viennent.

    Quels choix dans 10 ans (si ça n’a pas explosé avant) ?

    Une reconversion dans le renouvelable est possible en France comme dans tous les pays qui tournent actuellement le dos au nucléaire et comme dans ceux qui ne s’en sont jamais approchés. Il faut une volonté politique et des investissements en recherche pour développer une excellence dans la conception et la réalisation du renouvelable comme les ingénieurs et techniciens français sont capables de faire. Il faut investir dans des études pour définir quelles énergies de remplacement et où. Et enfin il faut investir dans l’équipement.

    Et en fonction de ces résultats mettre en œuvre de façon réaliste la substitution.

    Quand la France donnera au renouvelable des budgets de recherche et d’investissement équivalents à ceux du nucléaire ....



  • L'Oeil qui court L’Oeil qui court 2 mars 2012 14:09

    Une idée des intérêts économiques en jeu :

    Les pronucléaires 

    François Roussely 

    PDG d’EDF de 1998 à 2004, il est aujourd’hui vice-président du Crédit suisse, chargé du secteur de l’énergie. En 2010, il a conduit une mission sur la réorganisation de la filière française du nucléaire civil, à la demande de Nicolas Sarkozy. Son rapport, classé "secret défense", préconise de faire d’EDF le chef de file du nucléaire français, au détriment d’Areva. 

    EDF 

    Chez le premier producteur mondial d’énergie nucléaire, on a l’uranium dans le sang. Peut-être plus encore chez les 158 000 salariés que dans la sphère dirigeante. Henri Proglio, PDG de l’entreprise, le sait bien : après Fukushima, il a appelé ses employés à la rescousse, en leur demandant de rassurer leurs familles, amis et voisins, sur le sérieux du nucléaire à la française. 

    Claude Birraux 

    Député depuis 1978, il préside l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques, un organisme commun à l’Assemblée et au Sénat. Avec son alter ego du PS, Christian Bataille, l’élu UMP est de tous les rapports parlementaires sur le nucléaire. Tous favorables, bien sûr. 

    CGT 

    Premier syndicat dans le secteur de l’énergie, particulièrement bien implantée chez EDF, la CGT est l’un des plus ardents défenseurs de l’atome, présenté comme le symbole de notre indépendance énergétique. Le syndicat n’a pas hésité à qualifier d’irresponsable le volet nucléaire de l’accord électoral entre le PS et Europe Ecologie-les Verts. Et, en novembre 2011, la section CGT d’Areva a refusé de rencontrer Eva Joly lors d’un déplacement près du Creusot (Saône-et-Loire). 

    Bernard Bigot 

    C’est un homme clef pour l’avenir de la filière nucléaire. Vice-président du conseil de surveillance d’Areva, il est surtout administrateur général du Commissariat à l’énergie atomique et aux énergies alternatives (CEAA). Cet organisme a décroché 650 millions au titre du grand emprunt pour préparer la construction d’Astrid, le premier réacteur nucléaire français de quatrième génération, prévu vers 2020 à Cadarache (Bouches-du-Rhône)

    Corps des Mines 

    Ce corps d’Etat détient pratiquement tous les postes stratégiques des entreprises et organismes publics du secteur de l’énergie, ainsi que dans les ministères. Composé, pour l’essentiel, des meilleurs élèves de Polytechnique, il fonde sa légitimité dans le fait de contrôler des activités industrielles dangereuses. Le charbon, hier ; le nucléaire, aujourd’hui.
    L’Express

    "Depuis un demi-siècle, les intérêts économiques et stratégiques du nucléaire civil sont si vertigineux qu’ils se confondent avec l’intérêt supérieur de l’Etat. Cela peut se concevoir... A condition toutefois que la puissance publique inspire confiance et puisse rassurer l’opinion quand survient un pépin ou un accident dans une centrale. Or, depuis des lustres, le grand bond de l’énergie nucléaire repose sur des non-dits, des silences, des secrets. Il aura fallu Tchernobyl et la fable du nuage radioactif bloqué aux frontières du Rhin pour que l’imposture soit révélée."
    Le Nouvel Obs



  • L'Oeil qui court L’Oeil qui court 29 février 2012 22:47

    Que cela fait du bien un coup de gueule passionné et tant de bon sens !

    C’est bien ainsi que je ressens cette trahison du parti Hollandais, appelons le ainsi puisque le parti socialiste est mort.

    Jean Luc Mélenchon énonce un combat et des valeurs qui sont les miennes. Mais les politiques qu’ils soient locaux, nationaux ou internationaux ont pour la plupart fait la preuve de leur fascination du pouvoir et/ou de l’argent. Alors ?

    J’ai à côté de mon lit la toute récente biographie de l’homme pour tenter d’éclairer mon choix pour les présidentielles...

    Un article récent de médiapart laisse entendre du flottement autour du MES et de son acolyte dont je n’ai pas retenu le nom du côté de l’Europe :

    Un conseil européen bousculé par le référendum irlandais.
    http://www.mediapart.fr/journal/economie/290212/un-conseil-europeen-bouscule-par-le-referendum-irlandais?page_article=3

    "Après une succession hystérique de sommets « de la dernière chance » pour sauver l’euro, le Conseil européen, qui s’ouvre jeudi après-midi à Bruxelles, devait mettre en scène l’apaisement retrouvé. Les chefs d’État et de gouvernement devaient signer, sourire aux lèvres, leur « pacte budgétaire », qui prévoit, entre autres, l’adoption de la règle d’or par chacun des pays signataires. De quoi en mettre plein les yeux aux marchés financiers, inquiets, depuis le début de la crise, de la capacité de l’Union à jouer collectif. (...)

    (Mardi,) la Cour constitutionnelle de Karlsruhe a bloqué les pouvoirs d’une commission parlementaire sur la crise. Ce panel avait été constitué pour prendre des décisions dans l’urgence et la confidentialité, au nom du Bundestag, sur le soutien à l’euro. (...)
    Un grain de sable, dans la grande mécanique bruxelloise, qui risque de ralentir la mise sur orbite du futur « MES », le Mécanisme européen de stabilité.

    (...)Mais la plus violente des secousses de la semaine est venue d’Irlande. En poste depuis moins d’un an, le premier ministre irlandais, Enda Kenny, a pris son premier vrai risque politique, en annonçant la tenue d’un référendum sur l’île sur le pacte budgétaire.
    (...) Les institutions bruxelloises sont allergiques à ce genre de consultations populaires.

    (...)Le pacte budgétaire ne serait pas pour autant caduc : il suffit que douze pays, sur vingt-cinq, le ratifient pour qu’il entre en vigueur.

    (...) De plus en plus d’États ne croient plus dans l’austérité massue imposée, pour le dire vite, par Berlin.«  »

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