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  • lchant lchant 16 juillet 2018 16:04

    @lchant
    Désolée pour les fautes , j’aurais du prendre soin de me relire...



  • lchant lchant 16 juillet 2018 16:00

    En premier , l’examen poussé du corps de Krisztina , n’a révélé aucune blessures présentes ni antérieures à sa pendaison, quand elle parle de cartilage désolée mais à mon avis il y aurait trace.


    2éme : l’amie de Krisztina qui a traduit ce message , dit q’une phrase a tranformée, que des mots sont inaudibles les a t-on rendus audibles par la magie de la vengeance .

    3éme Krisztina était multi dépressive , c’est elle qui le dit ,mais Krisztina elle-même dans ses écrits.

    4éme : Son amie justement ne parle jamais de Bertrand Cantat , et cite plusieurs personnes qui lui ont fait du mal , dont une pour « le pouvoir » et on imagine l’on poussé au suicide...Et sur sa lettre , on n’a pas cette impression d’animosité enver Bertrand Cantat , à part qu’il reste contrit dans sa peine et ne s’inquiète pas de la sienne.

    Eva nous dit : Deux mots sur un mot d’adieu

    On dit, on dit, on dit, et voilà que, avec des on-dit, un article du JDD relance « l’affaire » du suicide de Kristina Rady. Une informatrice anonyme mais « proche de Noir Désir » « croit savoir » que la lettre d’adieu de Kristina comporte cinq pages qui accablent Bertrand Cantat. Eh bien non. J’ai en main une copie certifiée du document, moi, qui ne me sens pas tenue au secret, car je n’ai rien signé. Devant autant de malveillance, de suggestions malsaines, de fantasmes, j’ai décidé de m’en ouvrir ici, dans ce blog abandonné où il y a quelques années j’avais déjà donné la parole à Cini – Kristina Rady de son surnom.

    Alors, cette lettre. Sur deux petites pages en vis-à-vis d’un cahier spiralé ouvert, quelques phrases griffonnées à l’écriture grosse qui émeuvent notamment par des ratures et des corrections d’orthographe. Cette femme va se donner la mort, elle va se pendre, elle doit trembler, être bouleversée au dernier degré, et elle hésite entre « lamentables petits caporaux » ou « caporals » qu’elle cite nommément. Ensuite seulement elle dit « merci » à Bertrand pour ses « cris incessants » et parce qu’il croit seul souffrir. Elle demande pardon à ses enfants, pardon aussi à ses parents et à ses amis (dont « ne font partie » les fausses amies qui ont « dit beaucoup de mal sur [elle] » et qui l’ont fait « beaucoup souffrir ». Elle ajoute qu’elle ne sait même pas pourquoi, « sûrement le pouvoir, le pouvoir ».

    Et c’est tout. Il y a sept noms dont quatre du côté des « méchants » et ce ne sont pas ceux qu’on croit. Prune V., Robert L., Valérie D. et Sophie C. Arrêtez l’acharnement hystérique, cette haine qui la désolerait, qui n’est pas une façon de lui rendre justice. Laissez-la en paix, s’il vous plaît. Les suicidés, ce sont des enfants qui n’en peuvent plus.


    Et on se souviendra à quel point on en voulait à Kristina qui a eu sa maison brûlée , et que l’on a envoyé des menaces sur les enfants, don des personnes sans scrupules.Parce qu’elle est ses enfants étaient sensés être dedans. C’est la peur de conduire la nuit à fair qu’ils étaient absents.



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