Je n’ai pas oublié les garçons, je les ai écartés. Pour trois raisons :
1- Le père prend soin de la femme-mère, qui elle prend soin des bébés. Finis les hommes roses que les mères incompétentes transforment en nounou pour cacher justement leurs carences transgénérationnelles à elles.
2- Je compte sur la nouvelle génération de garçons désirés par ces filles nettoyées des « logiciels malveillants » pour mettre fin aux pratiques des pervers narcissiques selon le constat suivant :« Et dire que ce dont souffrent les femmes, ce sont elles qui l’ont engendré en revendiquant pour elles seules l’éducation du jeune enfant, dire que les futurs misogynes dont souffriront leurs filles, ce sont les mères qui les préparent. »(Olivier, Christiane, Les enfants de Jocaste, p.72, Paris, Denoël/Gonthier)
3- Les filles conscientes choisiront leur compagnon/conjoint/père avec clairvoyance. L’enthousiasme de l’amoureux fait des miracles lorsque motivé par une compagne digne : http://www.agoravox.tv/tribune-libr...
[15] Robespierre donne de cette politique de la galanterie une remarquable définition : « Nous (les hommes) le savons et elles (les femmes) ne l’ignorent pas : nous sommes tout ce qu’elles veulent que nous soyons. C’est à elles à exiger que nous soyons toujours dignes d’elles », op. cit., p. 197.
« Vous évoquez, une éducation des filles à l’école : »
Je n’ai pas évoquer une éducation pour les filles. J’ai écrit :
La seule, la vraie solution consiste à obliger toutes les filles à dresser leur biographie (ontogenèse) avant qu’elles ne commencent à se reproduire. Cela est très facilement faisable à l’école entre l’âge de 10 et 15 ans.
Dresser sa biographie (ontogenèse) c’est sa propre vérité, pas celle d’un autre.
Vous décrivez un EFFET :
« Par contre, sur la même période notre société est de plus en plus dans la décrépitude, pour ne pas dire dans la décadence, avec à tous les niveaux bien plus qu’un simple manque de respect, je dirai une absence totale de respect, et de plus en plus une violence destructrice. »
Je vous parle de la CAUSE :
"Le mauvais côté par les plus anciennes perceptions du comportement parental qui ne se montre à nu que devant son propre enfant utilisé comme exutoire. »(Miller, Alice, L’enfant sous terreur, p.84, Aubier 1986)