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Liline

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  • Premier article le 14/07/2011
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Derniers commentaires



  • Liline 2 novembre 2011 07:40

    Il est clair que quand on gagne 1200 € et qu’on paye un loyer de 700 € pour un studio, il y a forcément un moment ou un autre où on se retrouve (vilain) mauvais payeur. Des loyers normaux limiteraient le nombre d’impayés.



  • Liline 5 septembre 2011 16:34

    Les prix de l’immobilier atteignent des records. Et la crise du logement ne concerne pas que les précaires, loin de là. Beaucoup de personnes titulaires de CDI à temps plein sont obligées de vivre chez leurs parents ou en hébergement provisoire parce que leurs revenus ne leur permet pas de louer un logement.
    En région parisienne, les gens sont obligés de s’éloigner de Paris, voire de s’installer en province, quitte à effectuer 4h de transport par jour, ce qui occasionne un état de fatigue et de stress épouvantable (retards dans les transports de banlieue qui sont saturés par l’accroissement du nombre d’usagers, peur d’arriver en retard au travail ou à la crèche pour récupérer les enfants, etc). Par ailleurs, la part du revenue sans cesse croissante consacrée au logement oblige les familles à lorgner sur d’autres postes, comme l’alimentation et la santé.
    Quant aux précaires, leur situation est encore plus difficile. Beaucoup sont obligés de dormir dans des hôtels insalubres, voire dans des bidonvilles, qui se développent et ne concernent pas que les Roms.
    Et pendant ce temps ?
    - L’Etat baisse le budget de l’hébergement d’urgence.
    - A Meaux, à la Courneuve et ailleurs, on détruit des tours, alors qu’on manque déjà de logements.
    - L’Etat laisse les prix augmenter, au nom du « libre-échange »
    - Et... de nombreux propriétaires, riches ou de classe moyennes, de gauche, comme de droite, n’hésitent pas à louer une fortune des petits studios ou des chambres de bonne, parce que « ce sont les prix du marché. »

    La situation du logement devient franchement urgente...



  • Liline 27 août 2011 12:38

    Bonjour,

    Je viens aussi de lire le livre. Apparemment, l’auteur ne connaît pas grand chose sur le fonctionnement des bateaux. Moi, qui n’y connais rien non plus, je n’ai pas été choquée, mais il faut être clair, la plupart des romans, comportent des erreurs de ce genre. Je suis par contre très attentive aux erreurs historiques ou géographiques, puisque j’ai plus de connaissances dans ce domaine. Une belle erreur que j’ai relevé, c’est sur le « prix Sanghor » qui aurait récompensé le livre Blackmoon de ce poête Soudanais ou Somalien, mais en tout cas pas francophone. En effet, ce prix récompense des romans francophones. Je le pardonne volontiers aux auteurs pour peu que leur roman soit intéressant par ailleurs, car en lisant un roman, je n’ai pas les mêmes exigences que pour un documentaire. Le but d’un roman est de nous raconter une histoire, et pourquoi pas de nous ouvrir de nouveaux horizons qui nous encourageront éventuellement s à aller plus loin, comme par exemple à consulter un ouvrage sur le la situation dans la corne d’Afrique, sur les pirates de la Mer Rouge, voire sur les voiliers. Quant à la question de la langue, je me la suis posée aussi, et j’ai eu la même interrogation. Ceci dit, nul part il n’est précisé que les dialogues se font en allemand... pas plus qu’en anglais d’ailleurs. Il y a des moment (plutôt rares) où les pirates emploient des dialectes locaux et où les otages ne peuvent rien comprendre. Je pense qu’en fait l’auteur a voulu éviter d’instaurer des barrières de la langue, qui auraient limité les échanges qu’il souhaitaient mettre en scène dans son roman entre les personnages. Pour parler de la langue « aussi évoluée » des pirates, ce n’est pas le cas pour tous, mais pour certains, notamment, Joma, cet poête, devenu haineux, à la suite de la mort de sa femme dans un attentat.
    Enfin, la fin est effectivement assez banale, mais au moins à t-elle été une petite touche de rose dans un roman aussi sombre. Bref, je peux dire que j’ai bien aimé ce roman, qui m’a tenu en haleine du début à la fin.



  • Liline 14 juillet 2011 21:59

    Bonjour,

    Je vais essayer de faire un condensé de réponse aux différents commentaires.
    - Mon article n’est pas dirigé contre les hommes (est-il besoin de préciser que si 10% des femmes sont victimes de violences, ça veut également dire que... 90% ne le sont pas ?). Au contraire, je considère que la vie de couple doit se baser sur le respect mutuel et sur des relations saines.

    - Ce chiffre de 10% est bien une estimation, car les statistiques sur le sujet sont rares. Ceux qui sont le plus cités, viennent de l’enquête de l’ENVEFF, qui... date de 2000. Il faut faire plus d’enquêtes sur le sujet. Bien sûr, les violences conjugales peuvent parfois concerner les hommes, mais le cas est beaucoup plus rares (et celui qui en est victime doit pouvoir être aidé). Je connais par exemple un homme qui a reçu des menaces de mort de la part de son ex quand il lui a dit qu’il voulait reconnaître leur fils, alors âgé de quelques mois. Mais pour quelques cas d’hommes maltraités, combien de femmes ? Cette réalité est liée à une longue tradition patriarcale, celle du « pater familia » qui a autorité sur toute sa famille, épouse comprise. Les lois et l’évolution des mentalités ( et notamment l’éducation) ont changé beaucoup de choses, il y a certainement beaucoup moins de violences conjugales qu’il y a cinquante ou soixante ans.

    - A ceux qui disent que certaines femmes inventent des violences imaginaires dans le but d’obtenir un divorce pour faute ou la garde de leurs enfants, je répondrais que ce n’est pas une raison pour abandonner celles qui sont réellement victimes de violences. Justement, des moyens supplémentaires aux pouvoirs publics permettrait de mener des enquêtes de qualité et de protéger par la même occasion ces hommes victimes de calomnie.



  • Liline 14 avril 2011 12:36

    J’ai beaucoup apprécié ce texte qui remet à sa juste place la définition de la laïcité, que certains ont tendance à confondre avec stigmatisation de l’islam. Or la laïcité est précisément ce qui permet aux gens de vivre ensemble, quelque soit leurs croyances ou leurs non croyances. L’idée de laïcité considère la religion comme relevant de la sphère privée, ce qui nécessite parfois de redéfinir des limites que certains essaient de dépasser, et contrairement à ce qu’on entends souvent, il ne s’agit pas que de musulmans. L’islam est une religion comme les autres, qui, si elle empiète trop sur l’espace public doit être recadrée. Seulement, le fait qu’elle soit avant tout considérée comme « la religion de l’immigré » , fausse le débat. Les uns considèrent que fixer des limites revient à discriminer les musulmans en tant qu’immigrés. Bref, ils confondent une situation économique et sociale que vivent beaucoup d’immigrés (qui d’ailleurs sont loin d’être tous musulmans, de même que les musulmans sont loin de tous êtres des immigrés !) et la nécessité de recadrer une religion qui tend à trop empiéter sur l’espace public, alors que l’objectif est de permettre à tout le monde de vivre librement ses convictions. D’autre au contraire, voient dans la pratique de l’islam une menace pour leur soi-disant héritage culturel. Je ne rentrerai pas dans le débat sur la définition d’un héritage culturel, ni sur sa perpétuelle évolution. Par contre, je ne vois pas en quoi des musulmans qui pratiquent leur religion dans une mosquée (qu’ils ont bien-sûr construites avec leurs propres moyens) perturberait l’identité de gens soucieux de ne surtout pas se mélanger. Des musulmans qui prient dans leur mosquée ne menacent aucunement la laïcité, contrairement à ceux qui viennent prier toutes les semaines dans les rues dans certains quartiers, bloquant la circulation. A ce propos, il n’y pas que des musulmans qui pratiquent des prières dans la rue : des catholiques intégristes organisent régulièrement des prières dans la rue, notamment des « marches pour la vie » contre le droit d’avorter. Il convient donc de remettre chaque chose à sa place et je me reconnais tout à fait dans la définition de la laïcité sous-entendue dans le texte de M Chalot..

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