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https://www.youtube.com/watch?v=5VEJRPx0yHM

Oh my god  ! Ils ont réalisé des opérations terroristes sous fausses bannières . Ils font maintenant des commentaires et des intoxs sous fausses bannières.
 
 
 

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  • Les USA, « mère porteuse » de Daesh

    Vous expliquez la manière dont des dirigeants français finançaient des groupes terroristes depuis plus de vingt-cinq ans. Pour quels buts la France financerait-elle les groupes terroristes ?

    Les dirigeants français ne financent pas ces groupes. Ce sont surtout les Etats-Unis qui les financent par le biais d’associations et les dictatures du Golfe, principalement l’Arabie Saoudite et le Qatar.

    Comme je le rapporte dans le tome 1 de 56en citant les noms et les activités de plusieurs d’entre eux, les principaux financiers de ces groupes criminels sont basés au Qatar et en Arabie Saoudite. Concernant l’Etat Islamique, après avoir été organisé par les services étasuniens en 2004, il s’est développé en Irak en 2006 avec pour mission de déstabiliser les Républiques irakienne et syrienne.

    Si les Etats-Unis sont la « mère porteuse » de ce groupe terroriste, celui-ci a organisé par la suite son autofinancement. Ses principales ressources viennent du vol de banques, de l’impôt qu’il lève dans les territoires qu’il occupe, des trafics de drogue, d’armes et d’êtres humains, mais surtout de celui du pétrole.
    La Turquie a permis à ce groupe criminel de se développer en ouvrant la frontière turco-syrienne aux milliers de camions-citernes qui opèrent ce trafic entre les champs de pétrole syriens occupés par l’Etat Islamique et des ports turcs avec la complicité de sociétés turques.

    Le jeu de la France avec les groupes terroristes est surtout axé sur le soutien politique et militaire. Mais on ne peut traiter de la question du développement du terrorisme sans traiter de son origine, du « terreau » sur lequel il prospère. La question de fond est économique. Le capitalisme est en crise et les guerres qui se succèdent depuis les années quatre-vingt-dix ne sont en rien des guerres civiles comme les médias officiels français tentent de l’accréditer.



  • la France protège les Frères Musulmans

    Vous venez d’éditer votre livre intitulé 56, l’Etat français complice de groupes criminels. La France officielle est-elle réellement complice ou est-ce une métaphore pour expliquer comment la politique étrangère de Paris a renforcé ces groupes ?

    Ce n’est pas une métaphore. La France officielle est engagée au plus haut niveau de l’appareil d’Etat, c’est-à-dire la présidence française, mais également plusieurs ministres de l’Intérieur, de la Justice et de la Défense, dans la protection et le soutien à ces groupes terroristes.

    Vous avez pu voir les preuves que je produis dans le tome 1 de mon livre. Par exemple, le pouvoir politique français a protégé de la fin des années quatre-vingt à 2011 des membres d’organisations des Frères musulmans recherchés par l’Organisation internationale de la police criminelle – Interpol – pour, je cite l’une des fiches d’Interpol concernant plusieurs d’entre eux, « association à une organisation extrémiste de terroristes ».

    Une telle protection accordée à plusieurs individus membres de la même organisation politique, durant près d’une vingtaine d’années et qui sont tous recherchés par Interpol pour des crimes graves, ne peut venir que de décisions politiques prises au plus haut niveau de l’Etat.

    Le pouvoir politique français continue d’instrumentaliser le terrorisme contre la République arabe syrienne comme il l’a fait hier contre la Grande Jamahiriya arabe libyenne et contre les autres pays du Maghreb. Quels sont ses partenaires ? Encore une fois, les Frères musulmans. Derrière leur façade de confrérie religieuse musulmane, ceux-ci sont en réalité le principal groupe politique qui collabore avec les dirigeants impérialistes occidentaux pour renverser les Etats les plus modernes du monde arabe.

    Le Conseil national syrien, qui n’a rien de national et de syrien, est une structure créée de toutes pièces par les Frères musulmans avec le soutien des services occidentaux et des dictatures turque et du Golfe. De même, l’Armée syrienne libre, l’ASL, n’est que la copie de l’Armée de libération de la Syrie (ALS) créée en 1982 par les mêmes Frères musulmans « syriens » pour tenter de renverser la République laïque syrienne.

    Ce que le pouvoir français désigne du vocable d’« opposition modérée » n’existe que dans les salons occidentaux. Celle-ci n’est qu’un ramassis d’exilés en mal de pouvoir, de comploteurs, de trafiquants et de criminels. C’est pourquoi il m’a semblé nécessaire de consacrer deux chapitres à ces « opposants modérés » afin de dresser leur portrait de famille.

    La plupart d’entre eux sont du reste liés aux milieux atlantistes et/ou sionistes.



  • Le rôle de la DGSE pour promouvoir le terrorisme dans les pays arabes non acquis

    Journaliste d’investigation indépendant, Jean-Loup Izambert a consacré ses quarante années de journalisme à enquêter sur les secteurs économique, financier et politique. Son indépendance, son engagement et sa rigueur lui ont permis de produire plusieurs ouvrages essentiels sur les cercles de pouvoir et réseaux financiers internationaux.

    Avec les deux tomes de « 56 », il livre une nouvelle enquête sans concession qui, preuves à l’appui, met à jour les complicités de dirigeants politiques et hauts fonctionnaires français avec des individus liés à des organisations criminelles.

     

    Algérie patriotique : Une série d’attentats terroristes, sans précédent, a frappé la capitale française. Quelle analyse faites-vous de ces attaques ?

    Jean-Loup Izambert : Ces attaques ne sont qu’un petit échantillon du drame que vivent chaque jour les citoyens syriens, irakiens, palestiniens et des pays du Maghreb comme l’ont surtout vécu les Algériens dans les années noires de 1990.
    Elles sont le fait de groupes de la même mouvance idéologique que ceux que les dirigeants occidentaux, tout particulièrement étasuniens, anglais et français, protègent depuis la fin des années quatre-vingt. Ces groupes sont tous, d’une manière ou d’une autre, en rapport avec les services occidentaux des mêmes pays, principalement étasuniens.

    Dès 1945, les services étasuniens ont utilisé les Frères musulmans contre les pays socialistes. Puis, à la fin des années quatre-vingt, les Anglais et les Français ont collaboré avec la CIA, les services pakistanais et saoudiens pour renverser la jeune République laïque afghane.

    En 1982, le président François Mitterrand a fait sélectionner et exfiltrer d’Afghanistan des chefs de groupes criminels par la DGSE afin que ceux-ci soient entraînés en France dans les camps militaires de Cercottes, Caylus et de la Braconne. Depuis, les amitiés franco-terroristes n’ont cessé de se développer et de se matérialiser dans plusieurs conflits régionaux (Yougoslavie, Liban, Algérie, Tunisie, Palestine).
    En 2011, le président Sarkozy a armé et apporté, avec l’Otan, un soutien militaire à des groupes criminels pour renverser le gouvernement libyen.
    A sa suite, le président Hollande a armé et soutenu politiquement des groupes criminels contre la République syrienne.

    Les services occidentaux, dont la DGSE française, les conseillent pour déstabiliser les pays arabes laïcs, les entraînent à la guérilla, les arment, les approvisionnent en matériel militaire. Ces actions de guerre s’ajoutent aux sanctions – unilatérales et illégales en regard du droit international – économiques, diplomatiques et aux pressions de toutes sortes, principalement financières pour mettre les Etats à genoux.

    Il s’agit d’une politique coloniale qui vise à déstabiliser ces Etats pour permettre aux transnationales capitalistes de s’emparer de leurs richesses. Ces attentats ne sont donc qu’un petit retour de flamme du jeu de ces puissances coloniales avec le terrorisme. Il n’y a donc pas de raison pour que celles-ci restent à l’abri des crimes qu’elles font commettre en Syrie par ces groupes qu’elles organisent, financent, arment et entraînent.



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    Pendant ce temps, en Syrie, l’armée obtient de grands succès avec la collaboration russo-iranienne
    contre les égorgeurs de la coalition terroriste israélo-turco-saoudienne :
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    18/12/2015

    Gouvernorats / Des unités de l’armée arabe syrienne, en collaboration avec les groupes de la défense populaires, ont repris le contrôle de la hauteur de “754.5”, de la Tour de Syriatel, du Mont al-Aswad al-Kabir et du village d’Atteira dans la banlieue nord de Lattaquié, a fait savoir une source militaire à SANA.

    La source a fait noter que l’armée arabe syrienne avait également dominé par les coups de feu les localités de Beit Malak, al-Qantara, Beit Chorouq, al-Khadraa, Zahya, al-Kabir, al-Sawaf et la citadelle de Boujak.

    La source a indiqué que les opérations menées par l’armée pendant les dernières 24 heures s’étaient soldées par la liquidation d’un certain nombre de terroristes, la saisie d’armes et de munitions et la fuite de plusieurs parmi eux vers les forêts se trouvant dans la zone.

    “Des unités de l’armée, en collaboration avec les groupes de la défense populaires, ont repris le contrôle des hauteurs de /652/, /687.5/, /526/, /662.8/ et /427/ dans la banlieue nord de Lattaquié”, a ajouté la source.

    Dans la banlieue de Damas, des unités de l’armée arabe syrienne ont repris le contrôle de nouvelles zones dans la périphérie de l’aéroport militaire et aux environs de la localité de Marj Sultan à Ghouta est dans la banlieue de Damas, selon une source militaire.

    Par ailleurs, des unités de l’armée arabe syrienne opérant à Daraa continuent à infliger aux terroristes du “Front Nosra” de lourdes pertes.

    Une source militaire a affirmé à SANA qu’une unité de l’armée avait détruit 3 véhicules dotés de mitrailleuses et éliminé 18 terroristes dans une opération menée contre leurs QG dans le quartier de Badou à Daraa al-Balad.

    La source a ajouté qu’une unité de l’armée avait pris pour cible des rassemblements des terroristes du Front Nosra dans le camp de Nazihine à Daraa al-Balad et détruit leur cache avec les armes et munitions qui s’y trouvaient.

    À Daraa al-Mahatta, la source a fait savoir que des unités de l’armée avaient détruit un véhicule doté d’une mitrailleuse lourde sur la route de Sad.

    La source a indiqué que des unités de l’armée arabe syrienne avaient abattu de nombreux terroristes, blessé d’autres et détruit leurs armes dans la localité d’Atman dans la banlieue nord de Daraa et dans la localité de Na’yma jouxtant Atman.

    La source a indiqué que l’armée avait neutralisé et blessé un certain nombre de terroristes et détruit leurs armes et munitions sur la route entre Bosra al-Cham et le village de Barad situé dans la banlieue sud-ouest de Soueidaa.

    Dans la banlieue nord-est de Soueidaa, la source a dit qu’une unité de l’armée avait déjoué une tentative d’infiltration de terroristes dans le village de Thaala.

    Dans la banlieue de Homs, la source a affirmé qu’une unité de l’armée avait détruit des véhicules dotés de mitrailleuses et chargés d’armes des terroristes de Daech à Wadi Zakat, Wadi al-Mesk, au nord des Carrières et au sud de la citadelle de Palmyre.

    Dans la banlieue nord de Homs, la source a fait allusion à la destruction des QG du Front Nosra et d’autres réseaux terroristes dans la colline de Najma et dans le village de Teir Maala.

    Dans la banlieue sud d’Idleb, des sources sur le terrain ont affirmé que des unités de l’armée avaient mené des opérations contre les rassemblements et les QG des terroristes de soi-disant « Jound al-Aqsa » à l’est de Khan Cheikhoun.

    « L’opération s’est soldée par la destruction de 3 véhicules et la neutralisation de plus de 17 terroristes qui étaient à bord », ont ajouté les sources.

    Les sources ont fait savoir qu’une unité de l’armée avait tué un chef du soi-disant « Mouvement Islamique d’Ahrar al-Cham », le terroriste Moudhar Abdel Salam Hamdoun, dans une opération menée dans la banlieue sud d’Idleb.

    Dans la banlieue nord de Hama, les sources ont indiqué qu’une unité de l’armée avait exécuté une opération contre les rassemblements et les caches des terroristes de « Jound al-Aqsa » dans le village d’Attechan, tué un certain nombre parmi eux et détruit leurs armes et munitions.

    Par ailleurs, une unité de l’armée a liquidé un certain nombre de terroristes dans les quartiers de Salaheddin, Rachidin 4, Cheikh Lutfi, al-Kallassa, al-Maasranya et le logement juvénile à Alep, et détruit un nombre de leurs caches et leurs armes et munitions, a fait noter la source militaire.

    Une unité de l’armée a infligé aux terroristes du réseau Daech de lourdes pertes à l’entour de l’Académie aérienne l’est du centre d’Alep, alors qu’une autre unité a abattu des terroristes à la périphérie de l’aéroport de Nayreb dans la banlieue sud-est.

    Ces opérations se sont soldées par la liquidation d’un certain nombre de terroristes de Daech et la destruction de leurs rassemblements et caches dans la ville de Hafer et la localité de Maskana, située à l’est du gouvernorat.

    La source a affirmé qu’un certain nombre de terroristes du Front Nosra ont aussi été tués dans des opérations menées par l’armée contre leurs repaires et leurs rassemblements dans les villages de Zarba, Khan al-Assel, Khan Touman et Tell Hadya dans la banlieue sud et sud-ouest et à Zamam et Hweiz.



  • Les forces de l’armée syrienne, épaulées par les chasseurs russes, ont pris le contrôle de plusieurs bases importantes du groupe terroriste Daech près des frontières de la Turquie

    Les forces syriennes ont également nettoyé deux villages d’Al-Atira et de Jabal al-Aswad, situés sur la frontières turques, de la présence des terroristes de Daech. De nombreux terroristes ont été tués lors de cette opération et plusieurs autres se sont enfuis en Turquie.

    Par ailleurs, l’armée syrienne s’est emparée d’un point de passage que le groupe terroriste Daech utilisait pour l’infiltration de ses éléments armés et équipements militaires.

    Au terme d’intenses combats contre les groupes terroristes, les forces syriennes ont également pris sous leur contrôle la région de Javal al-Aswad et de Jabal al-Kabir à Lattaquié au nord-ouest de la Syrie.

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