Tout à fait d’accord. Un simple raisonnement logique permettrait de comprendre que l’on ne touche exclusivement qu’à ce qui rend service au plus grand nombre alors qu’on continue de subventionner un petit nombre grâce à l’argent public.
Réduire les services publics, c’est ouvrir la porte aux services payants sans garanties de résultat.
Pas de grèves dans le privé ? La belle affaire ! Si le service rendu est plus cher et de moins bonne qualité, en quoi y gagne-t-on ?
Les autoroute privatisées ? Augmentation abusive des péages malgré les engagements pris.
Un sécu privée ? Qui pourra se payer une mutuelle efficace avec un SMIC ou en étant au chômage (remontée spectaculaire prévue) ?
Les supermarchés (privés évidemment) ? Marges fantastiques sur tout ce qu’ils vendent.
Total, Elf and co ? Bénéfices énormes sur le dos des contribuables qui n’ont pas le choix.
On pourrait donner de nombreux exemples d’entreprises privées qui fonctionnent mais sur le dos des Français, qui payent toujours plus sans avoir plus d’avantages.
Merci bien. Avec le public, je sais que mes impôts servent à la collectivité y compris à ma famille.
Avec les milliards donnés aux banques ou à l’industrie automobile, rien ne me reviendra.
Que chacun en France participe à l’effort commun selon ses possibilités, mais que ce ne soit pas toujours les mêmes.
Lorsque dans une société on en vient à considérer que ne pas pouvoir perdre son emploi c’est un avantage (autrement dit un "privilège"), c’est qu’il y quelque chose qui ne fonctionne plus.
Si vous trouvez ça normal, dans ce cas assumez votre choix professionnel et laissez vivre les autres. Et cet "avantage" ne doit pas pour autant les empêcher de défendre leurs droits.
A voir cette petite vidéo pour voir à quel point notre gouvernement est prêt à participer à l’effort pour redresser la France et réduire la dette publique : http://www.onnouscachetout.com/
L’Irlande a largement profité des subsides de l’Europe et a vécu à crédit assez longtemps. Cela lui a permis d’alléger la fiscalité sur les entreprises et d’en recevoir un grand nombre sur son territoire.
Les prix ne sont pas les mêmes qu’en France et baisser le salaire des fonctionnaires n’a pas grande incidence sur le niveau de vie.
Par contre, en France, le salaire des fonctionnaires n’a pas été réévalué au niveau de l’inflation depuis plus de 20 ans. Un fonctionnaire d’aujourd’hui gagne proportionnellement moins qu’un fonctionnaire des années 80.