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Lucas Matheron

Lucas Matheron

Français d'origine et résident au Brésil depuis 1985, je suis traducteur indépendant dans ces deux langues.
Écologiste, j'ai participé de plusieurs organisations sociales et dirigé quelques projets d'organisation sociale et d'éducation à l'environnement dans l'État de Bahia.
Depuis 1999, je fais partie du réseau Aliança RECOS (Redes de Cooperação Comunitária Sem Fronteiras) dont je suis coordinateur de communication pour les pays francophones.
Je fais aussi partie du groupe Alerte France Brésil sur Facebook qui réunit Brésiliens expatriés et Français autour de la résistance au coup d'État de 2016.

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  • Premier article le 08/12/2006
  • Modérateur depuis le 29/09/2014
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Derniers commentaires



  • Lucas Matheron Lucas Matheron 18 octobre 2014 20:21

    En effet ! smiley

    La question que me propose ce conte c’est pourquoi ces gens de Stanford (ou de l’ENA) ne se font pas tout simplement pêcheurs. Ça nous éviterait tellement de désagréments...


  • Lucas Matheron Lucas Matheron 18 octobre 2014 00:11

    En effet, 10% de malfaisants semble une proportion raisonnable ; et encore ! Mais vous le remarquez très justement, les autres 90% « laissent faire », sans doute par peur de la mort, en tous cas, d’éventuelles représailles. On m’a déjà conseillé de ne pas « me mettre dans ces histoires », que c’était risqué... et je suis pourtant loin de la « zone de combats »... Mais cette culture de la rétorsion est si présente dans la société brésilienne que la peur est latente. Et ça se comprend (un peu) dans un pays où dans l’actualité la police elle-même est l’objet de représailles de la part de bandits (trafiquants).

    D’ailleurs, c’est peut-être, par intuition, ce qui vous choque dans la phrase que vous citez : le Nordeste est aussi le lieu privilégié de recrutement de tueurs à gages... En fait, je crois que la vie y est si difficile qu’elle a perdu toute notion de valeur.


  • Lucas Matheron Lucas Matheron 31 décembre 2013 16:13
    Effectivement, je ne marche ni sur les traces de l’opium du peuple, ni sur celles de la ridiculocratie en place. Je préfère ennuyer avec des histoires tristement réelles en ce jour bénit où l’an termine pour qu’enfin la vie s’ouvre sur le bonheur, la justice et l’amitié entre les peuples...


  • Lucas Matheron Lucas Matheron 16 décembre 2013 14:57

    Je ne suis pas entré dans les détails que vous rappelez très justement sur les origines du problème, qui sont les conservateurs (n’oublions pas les ruralistes), pour centrer mon article sur les voix qui s’élèvent contre cet état de faits.

    Plus que de dénoncer le problème de la déforestation qui reste mondialement sans grandes solutions car objet de toutes les convoitises, mon but est de faire savoir qu’il y a des gens qui s’insurgent, à l’image et à la suite de Chico Mendes, et font face au rouleau compresseur de la finance alliée aux intérêts hégémoniques des firmes mondiales (pharmaceutiques, cosmétiques, semencières, etc.) et aux grands propriétaires terriens.
    Cela dit, je suis d’accord sur le fait que c’est bien la cupidité de quelques-uns qui est en train de détruire la planète.


  • Lucas Matheron Lucas Matheron 16 décembre 2013 14:40

    Oui, effectivement de nombreux parents vendent leurs enfants, un peu partout dans le monde, et pas nécessairement les Amérindiens

    .
    Économiquement (ou financièrement) parlant, un arbre vaut plus, aujourd’hui (et peut-être que ça l’a toujours été aux yeux d’un Européen moyen) qu’une peuplade de sauvages. Ce n’est pas pour autant que lesdits sauvages ont envie d’être vendus, encore moins d’être exterminés...
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